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Conseils en Management et RH
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  • Favoriser le développement professionnel

     

    Combler les lacunes fondamentales pour favoriser le développement professionnel

    Combler les lacunes fondamentales, pour favoriser le développement professionnel, une nouvelle mission pour l’entreprise.

    La notion d’entreprise apprenante distingue depuis longtemps les employeurs attentifs au développement professionnel de leurs équipes, même si les offres de formation s’apparentent à des catalogues souvent méconnus des managers.

    L’entreprise apprenante joue de plus en plus un rôle social essentiel

    En ce sens, l’entreprise apprenante joue depuis toujours un rôle social essentiel en permettant autant à des profils non qualifiés qu’à des profils qualifiés, d’évoluer et de s’insérer parfaitement dans des environnements professionnels en changement permanent.
    Le succès de l’apprentissage permet lui aussi à des jeunes (et moins jeunes) non seulement de finaliser leurs études mais aussi et surtout de s’insérer efficacement. Six mois après leurs sorties d’études, deux apprentis sur trois sont en effet embauchés, dont plus de 60% en CDI et un quart dans l’entreprise qui les avait recrutés durant leurs études (source Cap métiers).

    Mais au-delà de cette réalité se dessinent de nouveaux défis liés directement à la baisse générale du niveau de culture et d’apprentissage des enseignements fondamentaux à l’école. Les collégiens/lycéens d’aujourd’hui maitrisent 40% de mots en moins que les jeunes des années 80. L’usage intensif des réseaux sociaux et autres activités en ligne génère des troubles de l’attention et un usage appauvri du langage au profit de raccourcis réducteurs. Le recours à l’IA avec son ambassadeur ChatGPT accélère la paupérisation de la pensée.

    C’est un fait et toutes les études le démontrent, le niveau général est en forte baisse, au point où le marché de l’enseignement supérieur ne cesse de développer des prépas à destination de bacheliers, non pas dans l’espoir d’intégrer les écoles de rang A, mais d’atteindre le niveau légitime d’un vrai référentiel de connaissance. Cette réalité heurte de plein fouet le développement futur des entreprises.

    Le monde professionnel ne peut se contenter de l’à-peu-près sur le plan des acquis

    Que ce soit en orthographe ou en conceptualisation, voire tout simplement en rigueur.
    Dans les années à venir, les Directions des Relations Humaines/les Directions du développement des Energies Humaines vont devoir inscrire dans leur feuille de route la remise à niveau des fondamentaux via des parcours de formation adaptés au cas par cas.

    Le débat sur les soft kills et les hard skills est bientôt dépassé, car de plus en plus intégré, au profit d’une exigence de niveau. Soit les humains sont de simples ressources interchangeables, soit ils représentent vraiment le capital immatériel de l’entreprise et, à ce titre, réclament un suivi adapté pour en faire fructifier les potentiels.
    Il sera de moins en moins rare de voir en entreprise des cours d’orthographe dispensés à des personnes de niveaux Bac+5 ou encore des cours de philosophie et de psychologie pour des managers confrontés à des situations où la sagesse primera sur l’expertise.
    Le choc générationnel n’est pas celui que l’on croit, à savoir celui des usages digitaux et les nouveaux comportements qui vont avec, mais se situe bien sur un enjeu de culture générale.

    Combler les lacunes fondamentales pour favoriser le développement professionnel, nouvelle mission de l’entreprise ?

    L’apprentissage, à l’exemple de ce qu’est pratiquée chez GIFI avec des dizaines de jeunes, est non seulement un apprentissage professionnel au sens «apprendre un métier» mais aussi un apprentissage de vie au sens des interactions relationnelles et de la culture.
    L’entreprise va devenir progressivement le prolongement pédagogique de l’école au sens de l’enseignement et va devoir adapter toute sa stratégie de recrutement pour ne plus subir la baisse de valeur due au niveau moyen.

    La notion de potentiel devra être évaluée comme un critère prioritaire en apportant des réponses concrètes d’accompagnement au-delà même de l’implication managériale. Tests, salaires, formations… Tout va devoir être repensé.

    Pour la majorité des jeunes désormais, le premier emploi est un test, un passage ; c’est de fait de plus en plus un défi économique pour les employeurs responsables qui intègrent des débutants entre le coût salarial, le coût de formation et d’intégration…
    La valeur ajoutée sur l’employabilité face à des publics volatils devra demain être explicitée et valorisée. L’emploi des jeunes est plus que jamais un enjeu pédagogique. L’entreprise pédagogue peut-elle vraiment exister face aux enjeux économiques ? L’avenir le dira.

    L’entreprise ne se nourrit pas de promesses, elle est légitime par ses résultats et ses engagements qui, par définition, sont censés être uniques. Elle doit rester pleinement une aventure humaine.

    Combler les lacunes fondamentales pour favoriser le développement professionnel, nouvelle mission de l’entreprise ?

  • Prendre la meilleure décision

     

    Prendre la meilleure décision avec la bonne méthode !

    Mieux vaut avoir une méthode pour prendre la meilleure décision. La stratégie, étape par étape, apporte clarté et satisfaction pour une décision insignifiante comme importante, en cadrant nos actions et nos priorités. Explications.

    Définissons un objectif avec précision

    Au départ, nous devons être clair sur notre objectif ou les résultats que nous voulons obtenir, les décrire clairement, préciser à quoi ils doivent ressembler, en fait c’est ce qui nous permettra de savoir que nous avons vraiment réussi. L’établissement d’un planning nous indique quand nous voulons atteindre l’objectif, si une autre personne peut être impliquée.

    Nous devons aussi pouvoir décrire ce qui sera différent dans notre vie lorsque l’objectif sera atteint. Ces grands avantages deviennent partie intégrante de notre stratégie de motivation pour nous tenir en haleine, même si les choses ne tournent pas rond.

    Collectons toutes les informations

    Soyons curieux, ouvert à l’apprentissage, recueillons tous les éléments liés à la décision que nous voulons prendre. Rassemblons les critères qui importent à propos de cet objectif, les limites qui existent ou les restrictions qui s’imposent, les choix ou les options à notre disposition pour atteindre notre objectif.

    Évaluons avantages et inconvénients

    Analysons avantages et inconvénients de la prise de décision par rapport à l’objectif ou au résultat souhaité. Faisons une liste des avantages d’un Plan A, ses inconvénients, et si nous ne le choisissons pas, de quelles autres options disposons-nous pour atteindre l’objectif ? Si nous prenons en compte un Plan B, vérifions bien ses avantages et inconvénients.

    Pour bien démarrer, mieux vaut disposer d’au moins 3 options pour une solution optimale. Avec un seul choix, nous risquons d’être « coincé », deux seulement peuvent nous enfermer dans un dilemme; au moins trois nous conduisent à penser plus large et à envisager tous les aspects de notre vie qui seront impactés par le choix que nous faisons.

    Priorisons le meilleur choix

    Quelles sont les meilleures options qui nous mèneront au résultat recherché ? Comparons-les et mesurons bien quel sera le meilleur choix. Le Plan A est meilleur que le Plan B ; le Plan C est meilleur que le Plan B, et ainsi de suite jusqu’à créer une hiérarchie complète entre tous nos plans.
    Avec chaque plan définissons comment nous saurons que nous avons atteint le but que nous nous assignons, si nous mesurons ce degré de satisfaction par un ressenti du corps, une impression personnelle ou un élément extérieur.

    A ce stade, nous pouvons nous poser trois (3) questions de réussite :

    – quelle est la meilleure chose qui peut arriver ? C’est un facteur de motivation ;

    – quelle est la pire chose qui peut survenir, et comment pourrons-nous y faire face ? C’est un moyen de nous maintenir mobilisé dans l’action ;

    – qu’est-ce qui est le plus susceptible d’arriver ?

    Cela nous donne un pourcentage général des risques et des avantages à mettre en balance. Si les risques dominent les bénéfices retirés, ce n’est pas une bonne décision pour atteindre l’objectif.

    Créons un plan d’action

    Maintenant, imaginons l’objectif exactement comme nous le voulons et faisons l’inventaire de ce qui existe et ce qui doit arriver pour l’atteindre correctement. C’est le moment d’élaborer un plan d’action qui trace le parcours, étape par étape, pour atteindre le résultat prévu.

    En avançant, nous devrons faire régulièrement un point sur les actions menées, et régler, corriger ou adapter ce qui est nécessaire pour la prochaine étape de notre plan, tout en gardant en perspective notre cible de réussite. Prendre toute décision, étape par étape, revient à prendre plusieurs mini-décisions. L’élément le plus souple dans un processus conditionne le plus le choix et influence le processus.

  • Reconnaître ses talents

     

    Je reconnais mes talents

    Reconnaître nos talents est le premier pas vers une réalisation personnelle véritable et profonde. Nous avons en nous des capacités uniques et des dons qui ne demandent qu'à être explorés et exprimés. Chaque talent que nous détenons est une pièce du puzzle qui constitue notre essence. En les valorisant, nous ne faisons pas seulement briller notre propre lumière, mais nous permettons également aux autres de voir le monde sous un angle nouveau et enrichi.

     Lorsque nous acceptons et développons nos talents, nous ouvrons la porte à des possibilités infinies.

    Utilisons ces dons pour forger un chemin qui nous est propre, un chemin où la satisfaction et l'épanouissement ne sont pas de lointains mirages, mais des réalités tangibles.

     En valorisant ce que nous faisons naturellement bien, nous donnons non seulement un sens à notre vie, mais nous contribuons aussi à enrichir celle des autres. Chaque talent reconnu et cultivé devient une source d'inspiration et une force qui propulse vers l'avant.

    Fructueuse  lecture et très belle journée !

  • Prendre la meilleure décision

     

    Prendre la meilleure décision avec la bonne méthode.

    Mieux vaut avoir une méthode pour prendre la meilleure décision. La stratégie, étape par étape, apporte clarté et satisfaction pour une décision insignifiante comme importante, en cadrant vos actions et vos priorités. Explications.

    Définir un objectif avec précision

    Au départ, vous devons être clair sur notre objectif ou les résultats que nous voulons obtenir, les décrire clairement, préciser à quoi ils doivent ressembler, en fait c’est ce qui nous permettra de savoir que nous avons vraiment réussi. L’établissement d’un planning nous indique quand nous voulons atteindre l’objectif, si une autre personne peut être impliquée.

    Nous devons aussi pouvoir décrire ce qui sera différent dans notre vie lorsque l’objectif sera atteint. Ces grands avantages deviennent partie intégrante de notre stratégie de motivation pour nous tenir en haleine, même si les choses ne tournent pas rond.
    Collectons toutes les informations

    Soyons curieux, ouvert à l’apprentissage, recueillons tous les éléments liés à la décision que nous voulons prendre. Rassemblons les critères qui importent à propos de cet objectif, les limites qui existent ou les restrictions qui s’imposent, les choix ou les options à notre disposition pour atteindre notre objectif.

    Évaluons avantages et inconvénients

    Analysons avantages et inconvénients de la prise de décision par rapport à l’objectif ou au résultat souhaité. Faisons une liste des avantages d’un Plan A, ses inconvénients, et si nous ne le choisissons pas, de quelles autres options disposons-nous pour atteindre l’objectif ? Si nous prenons en compte un Plan B, vérifions bien ses avantages et inconvénients.

    Pour bien démarrer, mieux vaut disposer d’au moins 3 options pour une solution optimale. Avec un seul choix, nous risquons d’être « coincé », deux seulement peuvent nous enfermer dans un dilemme; au moins trois nous conduisent à penser plus large et à envisager tous les aspects de notre vie qui seront impactés par le choix que nous faisons.
    Priorisons le meilleur choix

    Quelles sont les meilleures options qui nous mèneront au résultat recherché ? Comparons-les et mesurons bien quel sera le meilleur choix. Le Plan A est meilleur que le Plan B ; le Plan C est meilleur que le Plan B, et ainsi de suite jusqu’à créer une hiérarchie complète entre tous nos plans.

    Avec chaque plan définissons comment nous saurons que nous avons atteint le but que nous nous assignons, si nous mesurons ce degré de satisfaction par un ressenti du corps, une impression personnelle ou un élément extérieur.

    A ce stade, nous pouvons nous poser 3 questions de réussite :

    – quelle est la meilleure chose qui peut arriver ? C’est un facteur de motivation ;

    – quelle est la pire chose qui peut survenir, et comment pourrons-nous y faire face ?

    C’est un moyen de nous maintenir mobilisé dans l’action ;

    – qu’est-ce qui est le plus susceptible d’arriver ?

    Cela nous donne un pourcentage général des risques et des avantages à mettre en balance. Si les risques dominent les bénéfices retirés, ce n’est pas une bonne décision pour atteindre l’objectif.

    Créez un plan d’action

    Maintenant, imaginons l’objectif exactement comme nous le voulons et faisons l’inventaire de ce qui existe et ce qui doit arriver pour l’atteindre correctement. C’est le moment d’élaborer un plan d’action qui trace le parcours, étape par étape, pour atteindre le résultat prévu.

    En avançant, nous devrons faire régulièrement un point sur les actions menées, et régler, corriger ou adapter ce qui est nécessaire pour la prochaine étape de notre plan, tout en gardant en perspective notre cible de réussite. Prendre toute décision, étape par étape, revient à prendre plusieurs mini-décisions. L’élément le plus souple dans un processus conditionne le plus le choix et influence le processus.

  • Le coach professionnel

     

    Le métier de Coach Professionnel

    Le coach professionnel a pour mission d’accompagner des salariés, des équipes de travail ou des particuliers dans des progressions professionnelles qui passent par l’acquisition de nouvelles compétences.

    Par son expertise en matière de développement personnel, il accompagne l’individu, le guide et le conseille afin de l’aider à avoir de meilleures performances dans un domaine donné. Il intervient à la demande de personnes ou peut intervenir dans le cadre de plans de reclassements, de bilans de compétences…

    Le coach professionnel doit, dans un premier temps, réaliser un diagnostic de la situation et du niveau de compétences de son client afin d’identifier les compétences à développer.

    Dans son approche, il prend en compte les savoirs, les savoir-faire et les savoir-être.

    Expert en accompagnement, il sait motiver des personnes et les pousser à atteindre les objectifs fixés ensemble lors du cadrage initial de l’accompagnement.

    Dès le début de sa mission, il établit une relation de confiance et passe un contrat moral afin de disposer de tous les éléments nécessaires à la mise en œuvre du projet envisagé.

    Il prend en compte les motivations, les freins, les envies de la personne concernée et élabore un plan d’action, avec des échéances, des outils, des objectifs.

    Si son travail prend fin une fois les objectifs atteints (objectifs de la mission d’accompagnement), il œuvre également pour que ses clients soient suffisamment autonomes et disposent d’outils et de méthodes pour se coacher eux-mêmes et continuer à développer leurs compétences.

    Possibles débouchés

    • Coach en développement de compétences
    • Coach professionnel
    • Consultant coach
    • Consultant en développement personnel
    • Consultant en gestion de carrières
    • Outplacer
    • Coach en orientation professionnelle

    Cadres d’exercice

    Le métier de « Coach Professionnel », se réalise dans tout type d’entreprise et dans tous les secteurs d’activités.

  • CROIRE EN SOI

     

    Croire en soi

    Croire en soi, c’est croire en notre potentiel, en nos ressources personnelles et en nos capacités. Le manque de confiance en soi empêche l’épanouissement des individus. Par conséquent, il est bien difficile de concrétiser de grands projets sans une solide confiance en nos capacités.

    En plus, plus une personne croit en son potentiel, et plus elle prend des actions pour le développer. Ce cercle vertueux, idéalement, il ne faut jamais cesser de l’entretenir ! Mais comment le mettre en place lorsque l’on manque d’assurance ? Il existe des actions simples à réaliser qui nous aideront dans ce sens. Croire en soi est un état d’esprit que nous pouvons conquérir afin de vivre pleinement! <

    Qu’est-ce qui fait que l’on a de la difficulté à croire en soi?

    Le fait qu’il n’est pas toujours si simple de croire en soi provient en partie des événements de la vie. Un licenciement, une séparation, la perte d’un être cher sont autant d’exemples d’épreuves qui peuvent affecter la confiance personnelle.

    Et il y a un contrecoup à cela, car le manque de confiance à un impact direct sur l’estime de soi : lorsque l’on croit moins en nos capacités de réussir, cela à des répercussions sur l’estimation de notre valeur personnelle.

    D’autres phénomènes peuvent avoir une incidence sur la confiance en soi :

    • Les problèmes de santé
    • La peur du regard des autres
    • Un échec personnel
    • L’opinion de notre entourage
    • Les relations avec nos parents dans notre enfance
    • etc.

    À l’inverse, croire en soi signifie donner de la valeur à notre propre opinion. Ce qui aide à ne pas nous laisser influencer par des avis ou des critiques négatives. Toutefois, cela ne veut pas dire de ne plus prendre en compte le point de vue des personnes de confiance qui nous entourent.

    Mais il convient de nous arrêter pour évaluer qui est la personne que l’on est sur le point de laisser nous juger. Cette personne est également faillible et imparfaite, et notre propre jugement sur nous-même n’est pas inférieur au sien.

    Croire en soi-même est essentiel pour cesser de créer trop de pensées limitantes ou négatives. Il est important de prendre conscience que nous, comme chaque être humain unique sur Terre, avons la capacité de réaliser des projets de vie extraordinaire !

    Croire en soi à l’avantage de nous faire sortir plus facilement de notre zone de confort, ce qui nous permet :

    • De nous fixer des objectifs de vie pour incarner notre vision
    • D’avoir l’énergie de défendre ce en quoi nous croyons
    • De faire de nouvelles rencontres
    • De saisir les opportunités qui s’offrent à nous
    • De développer une meilleure connaissance de nous-même

    Comment faire? Croire en soi en mettant en valeur ses réussites

    Qu’importe l’âge d’une personne, elle a déjà accumulé un certain nombre de réussites !  Établissons une liste des réussites dont nous êtes le plus fier·s. Ce n’est pas la taille du défi qui compte ici, mais bien le sentiment d’accomplissement que nous avons ressenti.

    L’objectif de créer cette liste n’est pas de nous brosser dans le sens du poil. Cela dit, une petite tape dans le dos est toujours la bienvenue pour renforcer notre confiance en nous ! L’objectif est de nous aider à identifier nos compétences et nos forces.

    Une astuce qui peut nous aider est de noter en parallèle de nos réussites les ressources intérieures sollicitées pour y arriver. Tout le monde possède des compétences qui leur ont permis de réaliser des choses dans le passé.

    Faire l’inventaire de nos réussites nous permettra de savoir sur quelles ressources personnelles nous pouvons toujours compter pour avancer !

    Trouvons-nous cet exercice laborieux ? Nous ne sommes pas seul·s dans ce cas. Pour nous aider, nous pouvons nous tourner vers des personnes proches et leur demander leur avis!

    Croire en soi en prenant soin de notre bien-être physique et de notre mental

    Nous sentons-nous plus motivé·s à nous lever le matin lorsque le soleil brille ? Au niveau personnel, c’est la même chose. Quand notre corps rayonne de vitalité, nous nous sentons prêt·s à déplacer des montagnes !

    Une bonne dose de vitalité augmente nos capacités à :

    • Être sûr de nous
    • Croire en nos capacités
    • Cultiver une pensée positive
    • Oser prendre des initiatives
    • Aller vers les autres
    • Limiter la procrastination
    • Relativiser face aux difficultés et aux échecs
    • Améliorer notre image de soi de manière générale

    Et pour améliorer notre niveau d’énergie général, il n’y a pas de secret, nous avons besoin de temps pour nous. Il est vrai qu’avec le rythme effréné des journées, il n’est pas toujours facile de prendre soin de nous.

    Pourtant, c’est en planifiant dans notre agenda des moments où nous nous consacrons à notre bien-être physique et mental que nous nous assurons de recharger nos batteries.

    Ce temps n’est pas un luxe superflu. Ce ne sont pas non plus les 10 minutes qui nous resteront peut-être à la fin de la journée si nous arrivons au bout de notre liste de tâches. C’est un réel investissement pour notre santé globale.

    Et cela justifie largement d’y consacrer des plages horaires pour :

    • Nous cuisiner de bons petits plats maison et prendre le temps de manger avec des proches.
    • Bouger et ainsi oxygéner notre corps et notre esprit en faisant des activités qui nous font réellement plaisir : marcher, danser, pédaler !
    • Restaurer notre sommeil – ce qui demande parfois d’avoir un temps de détente au préalable pour pouvoir s’endormir plus facilement.
    • Nous détendre pour mieux gérer le stress quotidien – nous pouvons jardiner, méditer, nous étirer, sortir en nature, etc.
    • Prendre du temps pour réfléchir à ce qui nous motive et ce que nous souhaitons vraiment concrétiser dans les prochains mois et les prochaines années.

    Donnons-nous l’espace de lâcher-prise pour nous sentir mieux. Apprenons à poser nos limites et à identifier nos besoins pour pouvoir nous épanouir et grandir. Parce qu’il est plus facile d’être sûr de soi lorsque l’on se sent empli d’énergie.

    Croire en soi en étant dans la proactivité plutôt que la réactivité

    Savons-nous que le fait de croire en soi découle davantage de nos actions que de nous-même? En effet, le mot « en soi » pourrait nous amener à croire que pour augmenter notre confiance en soi, il faut que cela provienne d’un travail intérieur.

    C’est vrai en partie, mais le plus gros du processus se réalise à travers nos actes et nos prises de position pour défendre ce en quoi nous croyons.

    Œuvrer et contribuer pour le bien-être commun à travers notre travail, notre rôle parental ou notre engagement social participe à développer la confiance. Lorsqu’une personne doit défendre des valeurs qui lui sont chères, elle a plus de facilité à prendre la parole et à vaincre sa timidité.

    Alors, prenons le temps d’établir la liste de ce qui est important pour nous. Personne ne peut le faire à notre place et notre vie est tellement précieuse!

    L’affirmation de soi, osons dire non et aller de l’avant sont des actes du quotidien, mais ils sont loin d’être anodins. Chaque jour, nous avons des opportunités de défendre ce qui est vraiment important pour nous et de renforcer notre confiance. Soyons proactif·s plus que réactif·s !

    Croire en soi une action à la fois

    Douter de soi et avoir peur d’échouer sont des réactions humaines auxquelles nous sommes tous·tes confrontés·ées. Impossible de toujours regarder la vie à travers ses lunettes roses.

    Ainsi, la confiance en soi fluctue selon les événements. Mais prendre conscience que nous avons une emprise sur elle nous redonne plus de pouvoir personnel !

    En mettant en place quelques actions simples, le niveau de confiance augmente graduellement. Et cela change beaucoup de choses ! Parce que reprendre confiance en soi permet d’entrer plus facilement dans l’action pour profiter pleinement de notre vie.

    Une bonne confiance en nous nous aide à persévérer face aux défis et à mieux rebondir lorsque nous trébuchons. Autrement dit, que nous soyons parent·s, entrepreneur·s, employé·s, étudiant·s ou aventurier·s, mieux vaut en avoir en réserve en toutes circonstances !

  • Management: les tâches à ne pas déléguer !

     

    Managers: les tâches à ne pas déléguer !

    Diriger une entreprise ou un service passe en général par la délégation. Impossible d’être au four et au moulin, de jouer l’homme-orchestre longtemps, nous devons déléguer et nous concentrer sur l’avenir de notre entreprise ou de notre service.

    Pour bien déléguer, nous devons distinguer ce que nous pouvons confier à un collaborateur de ce que nous devons à tout prix garder pour nous.

    Eclairages…

    Inspirer la vision et la stratégie

    La vision est l’essence du leadership. Si nous déléguons le soin d’élaborer une vision à quelqu’un d’autre – un consultant, une équipe, un membre de notre équipe, un expert, voire un gourou – autant lui déléguer nos responsabilités. C’est nous qui montrons le but et le chemin pour y aller.

    En revanche, une des manières les plus efficaces pour impliquer, c’est de faire participer nos collaborateurs à son élaboration pour la leur faire partager plus vite.

    Décider de recruter les talents

    Nous avons envie de déléguer cette responsabilité – faire entrer du sang neuf dans notre organisation – à des consultants, des services ressources humaines. Trouver les talents et prendre des décisions de les recruter nous revient, c’est d’ailleurs une des choses les plus importantes à réussir.

    Pourquoi déléguer un processus aussi crucial, quand on sait qu’une erreur de casting coûte du temps, de l’argent, de l’énergie, de la désorganisation, de la démotivation, du manque à gagner voire une perte d’image…

    Accueillir un nouveau collaborateur

    Le patron doit prendre un rôle pratique pour qu’un nouveau collaborateur se sente bien accueilli. Nous devons jouer un rôle actif dans son plan d’intégration et sa formation, et nous rendre disponible pour consacrer le temps nécessaire à son accueil.

    Nous sommes « le patron », donc « le maître des lieux » et celui qui reçoit, accueille et met à l’aise dans notre organisation. C’est un signe de respect et de reconnaissance donc de motivation.

    Instaurer la discipline

    Composante essentielle au bon fonctionnement de notre organisation, nous devons l’inspirer et la faire régner. D’obligations pour l’ensemble, nous devons en faire des règles de conduite comprises de tous pour obtenir une bonne cohésion en terme d’organisation et de management.

    Reconnaitre le travail et les résultats

    Notre reconnaissance de l’existence d’un collaborateur est essentielle, cela veut dire que nous nous intéressons à lui et à son travail, ce qui lui donne le sentiment d’exister et d’être respecté comme tel. Reconnaître son comportement, ses compétences et qualités professionnelles le renforce dans ses compétences et ses qualités. Nous lui offrons la perception de ce qu’il est dans son travail dans l’organisation et pour sa hiérarchie. C’est aussi reconnaître ses contre-performances parce que nous nous intéressons à lui et lui donnons les moyens de se rattraper.

    Bénéfices : meilleure ambiance de travail, grande productivité et image positive pour notre organisation.

    Motiver les équipes

    Il nous appartient de créer un environnement motivant. La motivation du personnel est l’élément clé de la réussite d’une entreprise. Notre ressource la plus importante doit être au mieux de sa forme, il tient à nous pour rester compétitif d’avoir ou pas des collaborateurs compétents, loyaux, épanouis, fiers de travailler avec nous dans notre service ou notre organisation.

    En découlent une productivité élevée, un travail de qualité, le sens de l’urgence pour gérer le stress et une grande implication de chacun.

    Conduire le changement

    La peur du changement est à surmonter par nos équipes à plus forte raison en période de crise, avec des budgets serrés et une forte pression. La conduite du changement implique une réflexion stratégique. Nous sommes concernés au “premier chef” et l’effort principal vient de nous.

    Notre rôle de leader est d’élaborer la vision du changement, et dans ses différentes phases, il y a beaucoup de choses qui peuvent dévier, bien valider que le changement n’est pas dérouté en passant dans des comités d’experts, des consultants ou des groupes de travail.

    Optimiser la fonctionnement et l’organisation

    Qu’elle soit contrainte ou souhaitée, la réorganisation requiert une grande anticipation pour optimiser notre fonctionnement. Nous « seul » pouvons en déceler et en définir les limites, les lignes directrices pour réorganiser notre service ou notre entreprise. Comme pour d’autres responsabilités, la participation des autres est une bonne chose.

    Cependant, une équipe est rarement en mesure de se réorganiser objectivement, le leader doit intervenir pour donner des orientations fermes et précises, souvent mal accueillies, ce que d’ailleurs personne d’autre ne veut faire.

    Garder notre libre arbitre sur notre propre développement

    Notre développement, au sens large du terme, formation, coaching, tutorat, mentoring… celui de nos compétences-clés représente un enjeu majeur pour notre service ou entreprise et sa pérennité. Impossible à déléguer à qui ce soit.

    Les RH, le management des Energies Humaines, les coachs, les conseils de dirigeants sont des ressources sur lesquelles nous pouvons nous appuyer, mais gardons notre libre arbitre sur notre propre développement.

    Evaluer les résultats des collaborateurs

    C’est une activité essentielle au développement optimal de nos ressources humaines/énergies humaines. Nous devons nous réserver ce temps d’arrêt privilégié pour analyser le comportement et les résultats d’un collaborateur. C’est à nous de reconnaître sa contribution et de lui rappeler nos attentes pour les mois à venir, à plus forte raison si nous avons infléchi l’organisation ou la stratégie en impactant son poste.

    C’est aussi un moment d’engagement réciproque, nous, pour l’aider à s’améliorer, lui, pour faire les efforts dans le sens indiqué.

  • Attirer le positif

     

    Attirons le positif à nous

    Nous attirons ce que nous sommes, pas ce que nous voulons.

    Nous sommes des aimants puissants pour le positif. Chaque pensée, chaque émotion, chaque action que nous projetons dans l'univers revient vers nous sous forme de bénédictions et de possibilités.

    Lorsque nous rayonnons d'optimisme et de gratitude, nous attirons des expériences et des personnes qui renforcent cette positivité. Alors, croyons en notre pouvoir d'attirer le meilleur dans notre vie.

    Cultivons la confiance en nous, maintenons une attitude ouverte et laissons l'univers nous surprendre par tout ce qu'il a à nous offrir.

    EMBARQUONS POUR UN VOYAGE VERS LA DÉCOUVERTE DE SOI.

  • RETOUR AU TRAVAIL

     

    Des conseils pour nous remettre en mode “travail” après les vacances

    Les vacances derrière nous, le temps est venu de reprendre le rythme de notre activité professionnelle. Dur, dur, après des journées, voire des semaines de farniente et d’horaires élastiques, de se remettre au travail. La pause était bien venue, le retour au bureau peut être aussi un événement heureux si nous prenons quelques dispositions qui le rendent plus facile.

    Anticipons notre retour au bureau

    Sans que cela porte atteinte à nos vacances, il peut être utile d’obtenir des infos sur les nouveaux développements et les questions d’actualité qui ont fait surface pendant notre absence. Nous pouvons par exemple contacter un collègue qui nous informera et nous donnera un aperçu des messages qui se sont accumulés, et des informations prioritaires.
    Non seulement cela nous évite les mauvaises surprises lorsque nous reviendrons au bureau, mais cela filtre déjà la masse des mails de manière plus rapide.

    Reprenons le rythme de notre activité

    La chose la plus difficile à faire après un temps plus ou moins long de vacances est de revenir à notre rythme quotidien normal.

    Pour y parvenir, réglons l’horloge de notre corps quelques jours avant de revenir au bureau en reprenant notre rythme de sommeil habituel, ce sera sûrement difficile, mais nous nous en féliciterons tant le premier jour de reprise sera plus confortable. Nous devons aussi reprendre notre régime alimentaire habituel et toutes les habitudes de remise en forme dès que possible, car cela nous aidera à retrouver nos repères.
    Une autre astuce consiste à aller au bureau le premier jour quelques heures plus tôt, nous serons en mesure de mieux gérer notre journée, et d’être plus efficace que nos collègues.

    Allégeons notre charge de travail

    La partie de notre cerveau qui mémorise les mots de passe, anesthésiée par les heures de farniente, est toujours en vacances. Pour commencer, choisissons les choses faciles, cela nous donnera un sentiment agréable et nous facilitera l’approche des tâches plus ardues. Lisons d’abord les e-mails qui ne nécessitent pas une action de notre part. Il est important de nous alléger de nouveau dans notre vie professionnelle.

    Évitons de retourner au bureau juste le lendemain de notre retour de vacances, ou revenons en milieu de semaine pour nous offrir un sas de jours chez nous pour régler notre organisation personnelle.

    Ne nous laissons pas déborder par l’arriéré des messages et des tâches qui requièrent notre intervention et notre temps. Faisons en sorte de limiter l’accès à ces sujets pendant les premiers jours, et traitons chaque sujet l’un après l’autre par priorité.
    C’est aussi une occasion de déléguer certaines tâches lorsque cela s’avère possible pour réduire notre charge de travail. Cela nous aidera à maîtriser la situation dans cette période de réadaptation.

    Traitons le retour au travail comme une occasion de repartir à zéro

    Traitons le retour au travail comme une occasion de repartir à zéro. Si cela est possible, lançons-nous dans un nouveau projet, ou prenons de nouvelles résolutions. Une activité nouvelle ou un thème inhabituel donnera un souffle nouveau à notre travail qui rompra l’éventuelle monotonie habituelle de notre vie professionnelle.

    Notre cerveau souffre d’avoir imprimer des images et des sensations agréables, ludiques et gratifiantes alors que nous devons l’habituer de nouveau aux coups de fouet de l’activité et de la compétition. La façon la plus simple d’en sortir est de visualiser pour le soir de notre reprise un avenir agréable, comme de nouvelles vacances, des mini-vacances, ou simplement une activité qui nous procure du plaisir pour la fin de la journée, cela nous donnera l’énergie dont nous avons besoin pour assumer cette journée.

    Continuons les vacances dans notre tête

    La reprise de notre activité ne doit pas entamer les souvenirs agréables de nos vacances. Parlons-en à notre entourage, montrons des photos sur notre smartphone, revivre nos activités estivales estompera la monotonie du travail.

    Bien sûr, dès que nous le pouvons, pensons à nos prochaines vacances pour nous donner une perspective agréable et un nouvel objectif à atteindre. Nous devons en tous cas vite revenir à notre rythme de travail pour retrouver notre efficacité.

  • LEVIERS POUR DÉVELOPPER UN MANAGEMENT MOBILISATEUR

    Leviers pour développer un management mobilisateur

    Il convient d’associer les collaborateurs, de les faire participer, de coconstruire avec eux, ce qu’est appelé le management mobilisateur qui privilégie ses trois principaux axes d’action du dirigeant.

    a – Supportons l’émancipation des acteurs

    Tout comme les dirigeants et les cadres doivent développer des habiletés nouvelles pour passer du management en déclin à celui en devenir, il en va de même pour les membres du personnel. Il faut que ces derniers s’émancipent, c’est-à-dire cessent de se limiter à attendre les consignes pour agir. Ils doivent prendre conscience que dans un univers complexe, ils ne font pas que s’adapter à l’entreprise, ils participent à la façonner, à la construire.

    Les compétences sociales du personnel sont alors développées et promues, comme les habiletés réflexives, interpersonnelles, de même que l’écoute active et le réseautage. Mais, encore plus important, le contexte leur permet de les utiliser efficacement. Les réseaux développés par le personnel sont vus comme des processus organisationnels cruciaux. Ceux-ci peuvent être formels et apprenants, en permettant à l’information et au savoir de circuler dans tous les sens. Mais il y a tout autant les réseaux informels qui éclairent la maîtrise des tâches et précisent les rôles. Ils favorisent l’intégration sociale et l’engagement organisationnel. L’ensemble de ces réseaux sert également à véhiculer les attentes de l’individu envers l’entreprise et celles de cette dernière envers lui.

    Par ailleurs, ces réseaux ne doivent pas privilégier le débat, une bataille d’opinions où celui qui a les meilleurs arguments va probablement gagner; ni la persuasion où le but est d’essayer de convaincre les gens d’adopter un point de vue. Il importe plutôt qu’ils privilégient le dialogue, proposant un espace d’échange qui accueille les différents avis soumis par les participants, même ceux qui s’écartent radicalement de la majorité. En effet, l’objectif n’est pas de trouver la bonne façon de voir une problématique, mais plutôt celle avec laquelle les gens se sentent connectés et prêts à s’engager à la résoudre.

    Ce recours au dialogue se traduit par l’inclusion des gens concernés par une situation pour mettre en commun leurs multiples façons de la voir. Différentes compréhensions sont alors exprimées et utilisées de manière créative pour générer de nouvelles possibilités.

    b – Identifions et mettons en avant une vision

    La vision est absolument nécessaire pour susciter l’engagement, la collaboration et la passion. Les humains sont prêts à abandonner une partie de leur liberté individuelle et souscrire aux objectifs de l’entreprise, pourvu qu’ils aient une cause qui leur tienne à cœur. Par conséquent, les différents acteurs organisationnels doivent pouvoir apporter une réponse semblable à certaines questions comme : pourquoi sommes-nous ensemble ? Où allons-nous ? Pourquoi et comment y allons-nous ?

    Tout leadership efficace repose sur une vision. L’histoire est remplie d’exemples de femmes et d’hommes qui ont pu accomplir de grandes choses, même changer le monde, parce qu’ils proposaient un idéal évocateur. Comment ne pas citer celui du célèbre Martin Luther King, I have a dream : « Je rêve qu’un jour, sur les collines de terre rouge de la Géorgie, les fils des anciens esclaves et les fils des anciens propriétaires d’esclaves pourront s’asseoir ensemble à la table de la fraternité. » Ce rêve, c’était la vision, source d’inspiration et ligne directrice de son action pour les libertés civiles et, surtout, ce qui enflammait ceux qui le suivaient.

    Partager une vision et des objectifs, de même qu’avoir une compréhension commune du parcours à suivre pour les concrétiser sont autant de facteurs clefs dans le succès d’une entreprise, d’une équipe, d’un projet. Comme le soulignait un artiste autrichien « Si une personne rêve, c’est juste un rêve; mais si plusieurs rêvent ensemble, c’est le début de quelque chose de nouveau »

    c – Recourons à la coconstruction pour la résolution des problèmes

    La coconstruction met en valeur l’implication de l’ensemble des parties prenantes dans l’élaboration et la mise en œuvre de projets ou d’actions. Il s’agit de donner la parole à tous, aux différents niveaux hiérarchiques et ce, à toutes les étapes de la prise de décisions. En somme, ceux qui figurent d’ordinaire parmi les destinataires des actions prescrites par les dirigeants compétents se trouvent réinvestis de la capacité d’intervenir sur leur définition. La meilleure décision n’est alors pas celle qui repose sur l’observation ou la description la plus exacte possible de la problématique, des faits comme disent souvent les spécialistes. Elle est plutôt celle qui prend racine dans la mise en commun de la pluralité des perceptions que les différents acteurs ont de cette problématique.

    La coconstruction est un processus qui repose sur le dialogue pour partager les points de vue différents, où chaque acteur y a un rôle inédit. Mais, plus encore, c’est un mécanisme d’apprentissage, puisque chacun peut connaître la logique d’action des autres. C’est une méthode permettant d’arriver à un accord entre des acteurs ayant des fonctions et des intérêts distincts, voire même opposés. Cette entente prend forme dans une modélisation de la problématique qui est compatible avec la réalité de chaque acteur ou, au moins, pas irréconciliable avec ses enjeux et ses intérêts propres. On comprend alors qu’au terme du processus, chacun ait vraiment envie de s’engager dans les actions qui en découlent.
    La coconstruction s’applique même aux projets techniques qui prennent alors l’allure d’expérimentations dans lesquelles s’éprouvent, se négocient, se défont aussi, les assemblages socio-techniques sur lesquels ils reposent. Cela se fait à l’initiative des concepteurs ou, parce que les acteurs se saisissent inévitablement du dossier.
    Ce faisant, il n’y a pas de recette à la prise de décisions et la résolution de problèmes, qui deviennent d’abord et avant tout un art, reposant sur des paris. Elles peuvent profiter, sans jamais pouvoir s’y réduire, des connaissances et procédés cartésiens utiles pour décrire la gamme des solutions connues, possibles, probables, compte tenu de l’état de la situation, des jeux et des enjeux. Dans le même sens, les effets des décisions prises ne sont jamais entièrement prévisibles, car ils sont toujours contingents.

     

  • Se libérer des schémas qui ne servent plus

     

    Se libérer des schémas qui ne servent plus

    Nous ne pouvons pas espérer obtenir des résultats différents en adoptant les mêmes comportements. Si nous nous sentons pris dans une boucle sans fin, le moment est venu de nous libérer de nos schémas habituels.

     

    Ouvrons notre esprit à de nouvelles possibilités, osons sortir de notre zone de confort et embrassons le changement avec confiance. Chaque petit pas vers l'inconnu peut nous conduire vers des horizons plus lumineux et des accomplissements inattendus.

    Nous avons en nous le pouvoir de créer notre propre réalité, alors choisissons des actions qui nous rapprochent de nos rêves les plus chers.

     

    Soyons courageux, soyons audacieux et souvenons-nous que les miracles commencent là où les habitudes se terminent.

    Vous souhaitant la réussite !

  • Croire en son potentiel

     

    croire en son potentiel

    Au plus profond de nous, réside un pouvoir infini d'accomplissement et de réalisation.

    Laissons cette croyance en notre propre grandeur nous guider dans chaque action que nous entreprenons. N'ayons pas peur de rêver grand et de poursuivre nos aspirations les plus audacieuses.

    En cultivant une confiance inébranlable en notre potentiel, nous ouvrons la voie à des possibilités illimitées et à une vie épanouissante.

    Nous sommes capable de grandes choses, alors laissons notre lumière intérieure briller et inspirons le monde par notre exemple.

    Vous avez en vous une superbe réserve de potentiel inexploité, votre travail consiste à la libérer. –Brian Tracy

  • Créer un climat de confiance pour le personnel de la santé

     

    Créer un climat de confiance et faciliter le quotidien des professionnels de la santé

     

    C’est une réalité, le quotidien des remplaçants dans le secteur de la santé est contraignant. En plus des difficultés qu’ils partagent avec les autres professionnels  (surcharge de travail, stress, qualité de vie parfois dégradée, équilibre vie privée – vie professionnelle, etc.), ils doivent faire face à des contraintes spécifiques inhérentes aux missions de remplacements : organisation dans l’urgence de leur planning, gestion administrative récurrente notamment pour formaliser les contrats, sans parler de la capacité d’adaptation mise à l’épreuve régulièrement pour s’intégrer rapidement  au sein de nouvelles équipes et nouveaux services.

    Des missions de remplacement vs épanouissement professionnel ?

    La recherche de l’épanouissement professionnel est une réalité. Les candidats peinent à trouver des opportunités dans leur région et sur les plages horaires qu’ils souhaitent. Ils acceptent souvent des missions qui s’enchainent, cumulent des contrats sur des plannings serrés ou sur des horaires difficiles, dans des établissements parfois éloignés de leur domicile. A cet égard, la recherche de remplacement ne crée pas toujours les conditions propices à l’épanouissement du candidat.

    Des horaires et des plannings contraignants

    Les remplaçants sont en permanence confrontés au défi de concilier leurs obligations professionnelles avec leur vie personnelle. Ils manquent de visibilité sur leur planning et sont souvent obligés de se plier aux aléas des établissements dont les besoins varient au dernier moment. Ils doivent parfois accepter une mission au détriment d’un moment familial et à l’inverse, ils passent parfois à côté d’une opportunité en raison d’une contrainte personnelle. La charge mentale est intense du fait d’être souvent dans l’attente d’un appel d’un établissement et de ne pas maitriser sa recherche et son planning

    Une communication intrusive et stressante 

    Face à l’absentéisme et la pénurie du personnel soignant, les cadres de santé prennent généralement leur téléphone et contactent individuellement les candidats qu’ils connaissent, pendant et en dehors des horaires de travail (souvent en urgence la veille pour le lendemain ou pour palier un besoin dans l’heure). Ces sollicitations à l’improviste sont contraignantes à la fois pour le manager et les professionnels.

    Elles ont aussi tendance à nuire à la relation entre le candidat et l’établissement et peut entraîner une certaine lassitude voire un agacement chez le candidat dont la motivation peut se dégrader.

    Il est donc important pour les établissements de veiller à une communication fluide et moins intrusive afin de maintenir l’engagement des candidats.

    Pour faciliter leur quotidien, il est primordial de mettre en place des stratégies et des outils adaptés. Une plateforme de gestion des remplacements et de renforts peut être un outil efficace pour accompagner le candidat tout au long des différentes missions.

    Des astuces pour améliorer leur épanouissement 

    -La clé pour trouver facilement des missions de remplacement  

    Une plateforme de gestion des remplacements apporte un gain de temps pour accéder à des offres qualifiées qui correspondent au mieux aux attentes du candidat. La digitalisation de la recherche permet à chacun de trouver plus facilement des missions ouvertes dans sa région et correspondantes à son profil (horaires, compétences, etc.).  

    - En finir avec les sollicitations de dernière minute

    Grâce à une plateforme de gestion des remplacements, les candidats ne sont plus importunés par les sollicitations intrusives. Le paramétrage des notifications et le niveau de personnalisation permet aux utilisateurs de restreindre les sollicitations en fonction de leurs critères qu’il s’agisse de compétences requises, de localisation ou de plages horaires sur lesquelles ils sont disponibles. Ils peuvent également choisir le mode de notification (SMS, email, notification Push).

    - Garder le contrôle sur son planning

    Une plateforme permet aux remplaçants de garder la maîtrise de leur planning. Ils peuvent depuis leur téléphone gérer leurs disponibilités pour recevoir uniquement les missions adaptées à leur agenda. Elle aide le professionnel à concilier efficacement vie professionnelle et personnelle et permet d’améliorer le bien-être personnel ainsi que l’équilibre familial.

    De plus la plateforme de gestion des remplacements participe à soulager leur quotidien en digitalisant et automatisant de nombreuses tâches chronophages et pénibles. Elle place le candidat (et ses souhaits) au centre du processus de recherche : il est notifié uniquement si la mission proposée par un établissement correspond à l’ensemble de ses critères de recherche. Les candidats gagnent en sérénité et sont pleinement disponibles pour réaliser leur mission et se consacrer à leur métier : le soin !

  • Décrocher rapidement un entretien d'embauche

     

    Des conseils pour décrocher rapidement un entretien d’embauche

    L’entretien d’embauche est notre moment de briller et de sortir notre argumentaire pour convaincre le recruteur que nous sommes la personne qu’il recherche. Mais, faut-il encore arriver à cette étape si importante. Pour réussir à retenir l’attention et à être invité à cette rencontre cruciale, il faut, bien entendu, envoyer un dossier de candidature en béton, mais ce n’est pas la seule technique à notre disposition.

    Plusieurs stratégies à mettre en pratique pour recevoir un appel pour un entretien d’embauche en un clin d’œil et commencer notre prochaine aventure professionnelle.

    Rendons notre CV attractif et convaincant

    Le CV reste notre premier contact avec le recruteur et notre outil principal pour le convaincre de nous donner notre chance. Il est essentiel de le retravailler et de le dépoussiérer pour présenter notre profil sous son meilleur jour.

    Il est conseillé d’écrire un objectif professionnel dans notre CV (ou une phrase d’accroche), de sélectionner les expériences pertinentes pour le poste et d’indiquer les compétences (hard skills et soft skills) recherchées dans l’annonce, sans mentir bien évidemment.

    Veillons également à soigner la présentation de notre curriculum vitae pour faire en sorte que la lecture soit agréable. Créons une mise en page claire, épurée, aérée et lisible.

    Mettons à jour notre profil en ligne

    À l’heure actuelle, la recherche d’emploi passe aussi par les réseaux sociaux professionnels tels que LinkedIn.. Notre profil en ligne peut donc être la première impression que les recruteurs se font de nous, avant même de consulter notre CV.

    Avoir un profil complet et à jour, notamment sur LinkedIn, peut augmenter nos chances d’être contacté pour des opportunités d’emploi. En effet, les employeurs utilisent souvent les réseaux pour rechercher des candidats potentiels, en particulier pour des postes hautement qualifiés.

    Autre avantage à prendre en compte, les réseaux sociaux sont également utilisés pour créer des connexions avec des professionnels de notre secteur d’activité. En étant actif en ligne, nous pouvons élargir notre réseau et trouver des opportunités d’emploi « cachées ».

    Ne négligeons pas le réseautage

    Pour rebondir sur le point précédent, le réseautage peut être très avantageux pour trouver un emploi. Il peut s’agir de connexions en ligne sur LinkedIn ou autre, comme nous venons de le mentionner, mais aussi de rencontres en chair et en os.

    Nous pouvons notamment nous rendre à des salons professionnels, à des conférences ou à des événements, entre autres, pour rencontrer des personnes qui travaillent dans notre secteur d’activité.

    Ces nouveaux contacts peuvent nous présenter à des employeurs potentiels, nous recommander pour des postes vacants ou nous aider à rester au courant des dernières tendances et des évolutions dans notre domaine.

    Soyons actif et régulier

    Soyons régulier dans notre recherche d’emploi. Consultons les annonces de plusieurs sites au moins une fois par jour et, si une opportunité se présente, ne tardons pas trop de temps à envoyer notre candidature.

    Il est utile de mettre en place une veille, en créant des alertes « emploi » sur les sites d’annonces (LinkedIn, Indeed, Monster, etc.) ou en nous inscrivant à une newsletter, par exemple.

    N’oublions pas de consulter notre boîte mail régulièrement au cas où une alerte est intéressante ou si nous avons reçu une réponse à notre candidature.

    Faisons preuve d’audace et d’initiative

    Si une entreprise nous a tapé dans l’œil, car nous pensons que ses projets ou ses valeurs nous correspondent, mais qu’elle n’a publié aucune annonce de poste vacant, nous ne perdons rien à tenter d’envoyer notre candidature spontanée.

    En effet, il se peut que l’entreprise n’ait pas encore publié l’offre d’emploi pour notre fonction, mais s’apprête à le faire, ou que nos compétences correspondent à un manque de ressources détecté en interne.

    Il se peut que notre candidature n’aboutisse à rien, mais un peu d’initiative peut avoir un résultat positif inattendu. Les ressources humaines peuvent également décider de conserver notre profil au cas où un poste viendrait à se libérer au sein de l’entreprise.

    Relançons le recruteur (avec modération)

    Si nous avons les coordonnées du recruteur ou du responsable RH de l’entreprise auprès de laquelle nous avons postulé, nous pouvons reprendre contact avec lui par e-mail ou par téléphone pour indiquer que nous avons envoyé notre candidature et que nous sommes disponible pour un entretien.

    Faire le suivi de notre candidature de cette manière nous permettra de montrer notre motivation, notre détermination et notre réel intérêt pour le poste à pourvoir. Nous pourrons également vérifier que notre dossier a bien été reçu.

    À noter que les relances sont acceptables une ou deux fois maximum, faisons attention à ne pas tomber du côté du harcèlement et du forcing. Trop insister mènera à l’inverse de l’effet escompté.

  • Décrocher rapidement un entretien d'embauche

     

    Des conseils pour décrocher rapidement un entretien d’embauche

    L’entretien d’embauche est notre moment de briller et de sortir notre argumentaire pour convaincre le recruteur que nous sommes la personne qu’il recherche. Mais, faut-il encore arriver à cette étape si importante. Pour réussir à retenir l’attention et à être invité à cette rencontre cruciale, il faut, bien entendu, envoyer un dossier de candidature en béton, mais ce n’est pas la seule technique à notre disposition.

    Plusieurs stratégies à mettre en pratique pour recevoir un appel pour un entretien d’embauche en un clin d’œil et commencer notre prochaine aventure professionnelle.

    Rendons notre CV attractif et convaincant

    Le CV reste notre premier contact avec le recruteur et notre outil principal pour le convaincre de nous donner notre chance. Il est essentiel de le retravailler et de le dépoussiérer pour présenter notre profil sous son meilleur jour.

    Il est conseillé d’écrire un objectif professionnel dans notre CV (ou une phrase d’accroche), de sélectionner les expériences pertinentes pour le poste et d’indiquer les compétences (hard skills et soft skills) recherchées dans l’annonce, sans mentir bien évidemment.

    Veillons également à soigner la présentation de notre curriculum vitae pour faire en sorte que la lecture soit agréable. Créons une mise en page claire, épurée, aérée et lisible.

    Mettons à jour notre profil en ligne

    À l’heure actuelle, la recherche d’emploi passe aussi par les réseaux sociaux professionnels tels que LinkedIn.. Notre profil en ligne peut donc être la première impression que les recruteurs se font de nous, avant même de consulter notre CV.

    Avoir un profil complet et à jour, notamment sur LinkedIn, peut augmenter nos chances d’être contacté pour des opportunités d’emploi. En effet, les employeurs utilisent souvent les réseaux pour rechercher des candidats potentiels, en particulier pour des postes hautement qualifiés.

    Autre avantage à prendre en compte, les réseaux sociaux sont également utilisés pour créer des connexions avec des professionnels de notre secteur d’activité. En étant actif en ligne, nous pouvons élargir notre réseau et trouver des opportunités d’emploi « cachées ».

    Ne négligeons pas le réseautage

    Pour rebondir sur le point précédent, le réseautage peut être très avantageux pour trouver un emploi. Il peut s’agir de connexions en ligne sur LinkedIn ou autre, comme nous venons de le mentionner, mais aussi de rencontres en chair et en os.

    Nous pouvons notamment nous rendre à des salons professionnels, à des conférences ou à des événements, entre autres, pour rencontrer des personnes qui travaillent dans notre secteur d’activité.

    Ces nouveaux contacts peuvent nous présenter à des employeurs potentiels, nous recommander pour des postes vacants ou nous aider à rester au courant des dernières tendances et des évolutions dans notre domaine.

    Soyons actif et régulier

    Soyons régulier dans notre recherche d’emploi. Consultons les annonces de plusieurs sites au moins une fois par jour et, si une opportunité se présente, ne tardons pas trop de temps à envoyer notre candidature.

    Il est utile de mettre en place une veille, en créant des alertes « emploi » sur les sites d’annonces (LinkedIn, Indeed, Monster, etc.) ou en nous inscrivant à une newsletter, par exemple.

    N’oublions pas de consulter notre boîte mail régulièrement au cas où une alerte est intéressante ou si nous avons reçu une réponse à notre candidature.

    Faisons preuve d’audace et d’initiative

    Si une entreprise nous a tapé dans l’œil, car nous pensons que ses projets ou ses valeurs nous correspondent, mais qu’elle n’a publié aucune annonce de poste vacant, nous ne perdons rien à tenter d’envoyer notre candidature spontanée.

    En effet, il se peut que l’entreprise n’ait pas encore publié l’offre d’emploi pour notre fonction, mais s’apprête à le faire, ou que nos compétences correspondent à un manque de ressources détecté en interne.

    Il se peut que notre candidature n’aboutisse à rien, mais un peu d’initiative peut avoir un résultat positif inattendu. Les ressources humaines peuvent également décider de conserver notre profil au cas où un poste viendrait à se libérer au sein de l’entreprise.

    Relançons le recruteur (avec modération)

    Si nous avons les coordonnées du recruteur ou du responsable RH de l’entreprise auprès de laquelle nous avons postulé, nous pouvons reprendre contact avec lui par e-mail ou par téléphone pour indiquer que nous avons envoyé notre candidature et que nous sommes disponible pour un entretien.

    Faire le suivi de notre candidature de cette manière nous permettra de montrer notre motivation, notre détermination et notre réel intérêt pour le poste à pourvoir. Nous pourrons également vérifier que notre dossier a bien été reçu.

    À noter que les relances sont acceptables une ou deux fois maximum, faisons attention à ne pas tomber du côté du harcèlement et du forcing. Trop insister mènera à l’inverse de l’effet escompté.

  • Décrocher rapidement un entretien d'embauche

     

    Des conseils pour décrocher rapidement un entretien d’embauche

    L’entretien d’embauche est notre moment de briller et de sortir notre argumentaire pour convaincre le recruteur que nous sommes la personne qu’il recherche. Mais, faut-il encore arriver à cette étape si importante. Pour réussir à retenir l’attention et à être invité à cette rencontre cruciale, il faut, bien entendu, envoyer un dossier de candidature en béton, mais ce n’est pas la seule technique à notre disposition.

    Plusieurs stratégies à mettre en pratique pour recevoir un appel pour un entretien d’embauche en un clin d’œil et commencer notre prochaine aventure professionnelle.

    Rendons notre CV attractif et convaincant

    Le CV reste notre premier contact avec le recruteur et notre outil principal pour le convaincre de nous donner notre chance. Il est essentiel de le retravailler et de le dépoussiérer pour présenter notre profil sous son meilleur jour.

    Il est conseillé d’écrire un objectif professionnel dans notre CV (ou une phrase d’accroche), de sélectionner les expériences pertinentes pour le poste et d’indiquer les compétences (hard skills et soft skills) recherchées dans l’annonce, sans mentir bien évidemment.

    Veillons également à soigner la présentation de notre curriculum vitae pour faire en sorte que la lecture soit agréable. Créons une mise en page claire, épurée, aérée et lisible.

    Mettons à jour notre profil en ligne

    À l’heure actuelle, la recherche d’emploi passe aussi par les réseaux sociaux professionnels tels que LinkedIn.. Notre profil en ligne peut donc être la première impression que les recruteurs se font de nous, avant même de consulter notre CV.

    Avoir un profil complet et à jour, notamment sur LinkedIn, peut augmenter nos chances d’être contacté pour des opportunités d’emploi. En effet, les employeurs utilisent souvent les réseaux pour rechercher des candidats potentiels, en particulier pour des postes hautement qualifiés.

    Autre avantage à prendre en compte, les réseaux sociaux sont également utilisés pour créer des connexions avec des professionnels de notre secteur d’activité. En étant actif en ligne, nous pouvons élargir notre réseau et trouver des opportunités d’emploi « cachées ».

    Ne négligeons pas le réseautage

    Pour rebondir sur le point précédent, le réseautage peut être très avantageux pour trouver un emploi. Il peut s’agir de connexions en ligne sur LinkedIn ou autre, comme nous venons de le mentionner, mais aussi de rencontres en chair et en os.

    Nous pouvons notamment nous rendre à des salons professionnels, à des conférences ou à des événements, entre autres, pour rencontrer des personnes qui travaillent dans notre secteur d’activité.

    Ces nouveaux contacts peuvent nous présenter à des employeurs potentiels, nous recommander pour des postes vacants ou nous aider à rester au courant des dernières tendances et des évolutions dans notre domaine.

    Soyons actif et régulier

    Soyons régulier dans notre recherche d’emploi. Consultons les annonces de plusieurs sites au moins une fois par jour et, si une opportunité se présente, ne tardons pas trop de temps à envoyer notre candidature.

    Il est utile de mettre en place une veille, en créant des alertes « emploi » sur les sites d’annonces (LinkedIn, Indeed, Monster, etc.) ou en nous inscrivant à une newsletter, par exemple.

    N’oublions pas de consulter notre boîte mail régulièrement au cas où une alerte est intéressante ou si nous avons reçu une réponse à notre candidature.

    Faisons preuve d’audace et d’initiative

    Si une entreprise nous a tapé dans l’œil, car nous pensons que ses projets ou ses valeurs nous correspondent, mais qu’elle n’a publié aucune annonce de poste vacant, nous ne perdons rien à tenter d’envoyer notre candidature spontanée.

    En effet, il se peut que l’entreprise n’ait pas encore publié l’offre d’emploi pour notre fonction, mais s’apprête à le faire, ou que nos compétences correspondent à un manque de ressources détecté en interne.

    Il se peut que notre candidature n’aboutisse à rien, mais un peu d’initiative peut avoir un résultat positif inattendu. Les ressources humaines peuvent également décider de conserver notre profil au cas où un poste viendrait à se libérer au sein de l’entreprise.

    Relançons le recruteur (avec modération)

    Si nous avons les coordonnées du recruteur ou du responsable RH de l’entreprise auprès de laquelle nous avons postulé, nous pouvons reprendre contact avec lui par e-mail ou par téléphone pour indiquer que nous avons envoyé notre candidature et que nous sommes disponible pour un entretien.

    Faire le suivi de notre candidature de cette manière nous permettra de montrer notre motivation, notre détermination et notre réel intérêt pour le poste à pourvoir. Nous pourrons également vérifier que notre dossier a bien été reçu.

    À noter que les relances sont acceptables une ou deux fois maximum, faisons attention à ne pas tomber du côté du harcèlement et du forcing. Trop insister mènera à l’inverse de l’effet escompté.

  • Booster notre vie professionnelle

     

    Des intelligences pour booster notre vie professionnelle

    Rien ne prouve qu’un QI élevé est une condition préalable à la réussite. Des cursus prospères sont encore aujourd’hui l’atout de cadre avec pas ou peu de diplôme, démontrant que la « débrouillardise » l’emporte sur intelligence. Mais de quelle intelligence avons-nous besoin pour réussir ? Celui qui gagne doit bien sûr couvrir le plus large éventail des formes d’intelligence. Voici les  formes les plus communément reconnues comme prioritaires pour réussir dans notre vie active.

    L’intelligence des mots

    Celui qui a cet atout jouit d’une intelligence linguistique élevée qui lui facilite l’utilisation des mots et des langues. Il est généralement doué pour communiquer ses idées, lire, écrire et s’exprimer. Ces compétences lui sont nécessaires pour diriger une équipe, vendre des idées à des clients et à des  investisseurs ou rédiger un business plan convaincant.

    L’intelligence sociale

    Savoir interagir à un niveau élevé de manière très efficace nous permet de bien nous positionner vis-à-vis des autres car nous sommes capable d’empathie, pour sentir les sentiments, les motivations et les tempéraments de nos interlocuteurs. Nous parvenons ainsi aisément à gagner leur confiance et leur soutien, habile négociateur nous aimons travailler avec les autres.

    L’intelligence intra-personnelle

    C’est la capacité à comprendre nos propres forces, à identifier nos faiblesses et nos motivations, pour optimiser notre stratégie et la mise en œuvre de nos projets. Fort de cet enseignement, avec cet atout nous savons nous entourer des compétences qui nous manquent, de conseillers et partenaires qui compensent nos zones d’inconfort.

    L’intelligence logico-mathématique

    Elle recouvre notre capacité à calculer, quantifier et penser logiquement. Le cadre ainsi doué aime et sait résoudre des problèmes, il travaille avec les chiffres, pose des questions, et explore des modèles et des possibilités. En procédant de façon analytique et structurée, il parvient à élaborer et à développer des solutions spécifiques en cohérence avec les moyens de l’entreprise et les potentialités du marché.

    L’intelligence naturaliste

    Avec cette vision environnementale et culturelle, nous développons une compréhension sensible, éthique et holistique de l’environnement et de ses complexités. Nous nous servons de cette qualité pour identifier de nouveaux marchés, anticiper des tendances, élaborer des campagnes, nous savons mieux que les autres classifier les éléments d’une situation, les caractéristiques communes, observer, faire des analogies, comprendre la structure interne d’un process, ou d’une machine, identifier des repères…

    Cette intelligence nous rend sensible à ce qui vit autour de nous et nous facilite la compréhension de l’environnement dans lequel nous évoluons.

    L’intelligence spatiale

    Elle nous permet de penser en trois dimensions et de visualiser avec l’œil de l’esprit. Recouvrant l’imagerie mentale, le raisonnement spatial et l’imagination active, avec cette forme d’intelligence, nous aimons traiter l’information sous forme de graphiques et de schémas, ou de cartographie.

    Un atout important en matière de marketing, pour concevoir une solution et élaborer l’image de marque d’un produit, d’un service ou d’une entreprise.

    L’intelligence kinesthésique

    Elle implique le sens du timing et la coordination corps-esprit. C’est l’intelligence du mouvement qui facilite l’expression par l’action plus que par les mots. Elle nous permet généralement une bonne coordination des gestes, un langage corporel fort, a priori nous aimons la mise en scène, la théâtralisation de notre activité et les jeux de rôle.

    Un atout pour créer et lancer de nouveaux produits, mais aussi pour réussir un leadership s’appuyant sur une prise de parole aisée en public.

    L’intelligence musicale

    La sensibilité aux sons facilite l’entrée en relation avec les autres et le ressenti du rythme des événements. L’intelligence musicale nous permet d’apprécier un rythme, une tonalité ou un timbre chez une personne, dans une situation ou une ambiance. Nous sentons plus que nous ne comprenons, nous nous fions à la musique des paroles, aux symboles, aux rythmes des choses et à l’harmonie des actions. Ces qualités peuvent nous aider directement ou indirectement à très bien écouter, à orchestrer des événements et à développer des programmes de marketing.

    En plus de l’intelligence, tout cadre en herbe doit se pencher sur la mentalité. Le meilleur état d’esprit pour réussir est d’accueillir les défis  comme des aventures excitantes, les revers comme des opportunités d’apprendre et d’être convaincu que le travail, l’effort et la persévérance permettent de surmonter tous les obstacles. Si nous avons cet état d’esprit, avec certaines facettes des différentes intelligences décrites, nous sommes bien “équipé” pour devenir un cadre qui gagne.