Créer un site internet
Conseils en Management et RH
Conseils en Management et RH

Articles de bureau_cmrh

  • Embrasser la vie

     

    REVES ET AVENIR,

    EMBRASSER LA VIE

    En ce qui concerne nos rêves et notre avenir, nous ne nous retenons pas.

    Avons-nous déjà eu envie de dire quelque chose, mais nous l'avons refoulé ? Avons-nous déjà eu l'impression que nous devions passer à l'action, mais nous restions immobiles ? Avons-nous senti l'appel de notre cœur vers un rêve, mais nous l'avons noyé dans le doute ?

     

    S'il est vrai que le changement et le hasard peuvent être effrayants, ils peuvent aussi être exaltants. Le changement et le hasard ont le pouvoir de nous faire découvrir de nouveaux endroits. Si nous n'aimons pas certains aspects de notre situation actuelle, il est temps de sauter sur le radeau du changement et du hasard.

      

    Dans quels domaines de notre vie nous sommes-nous retenus ?

     

    Nous ne pouvons pas récolter les fruits de la vie sans nous donner à fond. Prenons aujourd'hui une mesure, une seule, qui nous aidera à étouffer notre hésitation et à aller de l'avant pour embrasser la vie.

  • LA RECONNAISSANCE PROFESSIONNELLE

     

    Développons la reconnaissance dans notre sphère professionnelle.

    Le compliment permet de développer le positivisme dans les relations humaines. Des conseils pour valoriser le travail de notre équipe

    Reconnaissons le travail de nos collaborateurs

    Si les impacts positifs du compliment en entreprise n’ont plus à être démontrés – sur la valorisation, le sentiment d’utilité, et plus largement la motivation – le sujet reste un véritable défi au quotidien pour le manager. Preuve en est, 44% des Français estiment que leur travail n’est pas reconnu à sa juste valeur.

    Manque de temps, d’intégration à la culture d’entreprise, voire de compatibilité avec les habitudes nationales, de nombreux freins viennent peser sur ces élans positivistes et ne permettent pas de voir se développer durablement de vrais réflexes en la matière.

    Félicitons-les par des actions concrètes

    Pour inscrire cet état d’esprit dans le cœur de l’entreprise, quelques actions concrètes, faciles à mettre en place, existent et peuvent se révéler très efficaces.

    1 – Apprécions chaque succès !

    Il est tout d’abord important de féliciter chaque petite ou grande victoire d’un collaborateur, un contrat signé, un partenariat conclu, ou toute autre action positive pour l’entreprise doit être reconnue et soulignée pour marquer les esprits.

    Mettre en place un mail automatique ou personnalisé, adressé à l’ensemble de l’équipe, pour mettre en valeur le collaborateur auteur du succès, est une action simple à développer et qui renvoie du positif et de l’émulation pour le collectif, tout en reconnaissant l’effort individuel.

    Le message entraine des félicitations de la part des coéquipiers et peut aussi susciter un enthousiasme dans tout le bureau, créer du lien, des gens qui se parlent, se remercient, se reconnaissent. C’est tout le sens de la démarche.

    2 – Allons chercher ce qui fonctionne et fêtons-le…

    Il peut aussi s’agir, lors des teams buildings, ou autres événements informels organisés dans l’équipe, de trouver un moment pour réfléchir à ce qui a été réalisé de positif dans la semaine ou le mois passé.

    Faire ce travail d’exégèse du succès a des vertus en termes de bien-être, il provoque le sentiment d’accomplissement, d’épanouissement des salariés. Cette réflexion peut sembler à première vue quelque peu artificielle, pourtant elle s’avère salvatrice dans une société qui a tendance à mettre en avant les échecs et s’appesantir sur les difficultés. Elle force en quelque sorte l’enthousiasme en convoquant les souvenirs positifs et les réussites. In fine, elle donne un sens à l’action, l’indispensable clé du succès.

    3 – Développons des plateformes pour encourager les échanges positifs

    Enfin, l’entreprise peut essayer d’encourager le processus de compliment, via des plateformes par exemple, sur lesquelles salariés et managers, quels que soient leurs niveaux hiérarchiques, sont amenés à reconnaître et apprécier le travail de leurs collègues. Les différents profils sont répertoriés et peuvent être salués par tout membre de l’entreprise. Chacun peut ainsi témoigner sa reconnaissance pour le travail effectué par autrui, son intégration des valeurs, ou tout simplement tenir à mettre en avant une personne pour la remercier. 

    Cette démarche permet de faire prendre du recul à chacun et de se demander à qui il pourrait envoyer un compliment. Loin d’être impersonnel ou galvaudé, un tel outil renforce l’attention portée au travail de ses coéquipiers, et met en lumière le fait que le succès d’une entreprise repose avant tout sur de belles victoires humaines.
    Manière de reconnaître en filigrane l’importance de féliciter pour encourager, plutôt que de s’attarder sur les points négatifs.

  • Etre positif

     

    Mettre en valeur le positif.

    L'une des méthodes les plus souvent utilisées dans les thérapies de couple consiste à louer ce que nous voyons de bon chez notre conjoint. Nous pouvons avoir tendance à nous attarder sur les points négatifs. Nous pouvons tomber dans les mêmes schémas avec nos amis, nos enfants et nos collègues. Cependant, cette négativité ne fait que renforcer les actions ou les comportements qui nous déplaisent.

    La meilleure stratégie - et une façon beaucoup plus agréable de vivre -consiste à rechercher le positif - même s'il est difficile à voir - et à le chérir.

    Pensons-y de cette façon : tout ce à quoi nous accordons de l'attention se développe. Si nous accordons de l'attention à des comportements ou des actions négatives, ils se développeront. Si nous accordons de l'attention au positif, il se développera.

    Aujourd'hui, étouffons le négatif et nourrissons le positif. Cherchons quelque chose à apprécier chez chaque personne avec laquelle nous sommes en contact. Regardons comment notre attitude et notre journée s'éclaircissent également !

  • Devenir la meilleure version de soi-même

     

    Nous sommes plus forts que tous nos problèmes.

    Il n'y a rien de plus gratifiant que le jour où le nous nous rendons compte que nous avons tout ce dont nous avons besoin en nous et que nous sommes parfaitement capable de surmonter tout ce que la vie met sur notre chemin.

    Lorsque nous arrivons au point où nous pouvons accueillir toute la vie - la bonne et la mauvaise - avec confiance, nous connaissons une paix sans mesure.
     
    Réalisons que nous ne pouvons pas fuir les problèmes ; ils font inévitablement partie de la vie. Cependant, nous pouvons apprendre à les surmonter.

     Accueillons toutes les expériences de la vie. Mettons-nous au défi de regarder ces expériences dans les yeux et de les utiliser comme catalyseurs pour devenir la meilleure version de nous-mêmes.

     Les obstacles ne doivent pas nous arrêter. Si nous nous heurtons à un mur, ne nous retournons pas et n’abandonnons pas. Trouvons comment l’escalader, le traverser ou le contourner.

     Libérons tout notre potentiel et devenons la meilleure version de nous-mêmes. 

  • Des règles pour la réussite

     

    Des règles d’or de la définition d’un objectif de réussite

    Que nous soyons patron ou cadre dans une entreprise, nous travaillons comme un fou pour atteindre nos objectifs et même les dépasser. Nous réussirons plus vite si nous structurons bien notre action avec une cible et des jalons.

    Des règles d’or de la définition d’un objectif de réussite.

    Les vertus de la définition d’un objectif

    Dans les affaires si nous sommes entrepreneur, ou dans la vie professionnelle si nous sommes cadre, nous agissons pour soi-même, personne ne nous aide à rester sur la bonne voie. Livré à soi-même, nous devons être suffisamment discipliné pour avancer et réussir.

    En cela un objectif est utile, il nous aide à nous concentrer sur une ligne, nous oriente et nous évite tout errement. Il nous permet de mesurer le degré de notre réussite, et nous fournit un repère tangible pour nous en rendre compte.

    D’où l’importance de définir un objectif de succès. Et tout commence à ce stade fondateur, nous avons à préciser les conditions de notre « satisfaction », il ne s’agit pas de nous donner un but large comme  « gagner beaucoup d’argent », ou « avoir plus de responsabilités ». Il est simplement question de fixer quand, comment et combien. Quels que soient nos ambitions et nos objectifs, il nous revient de respecter un certain nombre de règles pour réussir.

    – Fixons un objectif qui nous motive

    L’objectif que nous nous fixons doit posséder une signification particulière pour nous. Si nous nous donnons un but qui a peu d’importance à nos yeux, il y a de fortes probabilités pour que nous le rations. Trouver un but qui nous interpelle est le meilleur moyen de déclencher une action vers sa réalisation.

    Et si nous avons plusieurs objectifs, investissons-nous en priorité sur celui qui nous motive le plus, celui qui parle le plus à nos tripes. 

    – Précisons les critères d’un objectif aisé à atteindre

    Un objectif atteignable répond à des critères précis, il doit être :

    – facilement identifiable, aussi précis que possible, sinon il ne nous donne pas suffisamment de directives à suivre ; un but est une lumière qui éclaire notre chemin, et plus elle est claire, plus notre cheminement devient évident.

    – mesurable, donnons-nous un délai réaliste à atteindre avec une date, des chiffres, des mois ou des années, des délais précis, nous rendons ainsi nos progrès quantifiables et visualisons plus facilement la ligne d’arrivée. Une échéance donne un sentiment d’urgence qui manque quand l’objectif est vague.

    – réalisable, restons honnête avec soi, fixons un objectif ambitieux mais réaliste, et identifions les moyens à mettre en œuvre, les ressources nécessaire pour l’atteindre.

    – pertinent, confrontons notre objectif de business ou la direction que nous voulons donner à notre carrière, et évaluons-en la cohérence avec nos possibilités et les conditions du marché à court et long terme.

    – Publions et écrivons notre objectif

    Peut-être faisons-nous tous les jours ou chaque semaine une liste de « tâches à faire ». Ces marques visibles facilitent la réalisation de nos objectifs quotidiens car nous pouvons en vérifier l’avancement et nous situer dans le temps qui nous reste.

    Faisons la même chose pour un objectif à long terme, concrétisons-le en l’écrivant, cette pratique le rend tangible et nous responsabilise.

    Si nous préférons, nous pouvons annoncer haut et fort notre objectif à notre entourage, collègue ou amis, ils nous le rappelleront et cela nous motivera à poursuivre notre cible car nous aurons à cœur de ne pas les décevoir.

    – Détaillons notre plan d’action en feuille de route

    Nous pouvons être si concentré sur le résultat à atteindre et en oublier les différentes étapes nécessaires pour y parvenir. C’est rassurant de noter chaque étape, cela nous montre implicitement comment notre but va être atteint, en fait cela s’appelle une feuille de route qui en cas de désarroi, de découragement ou d’indécision nous aide à repartir et à retrouver le bon cheminement.

    – Visons le long terme et agissons à court terme

    Encore une fois, le plan d’action que nous avons élaboré officialise notre action pour soi et pour les autres. Alors suivons-le pour réussir, au fur et à mesure de notre progression, car si les choses ne vont pas comme nous voulons, nous pouvons être tenté d’en changer.

    Sauf cas de force majeure ou événements exceptionnels, suivons notre ambition, faisons confiance à notre instinct, visons le long terme et agissons à court terme en nous adaptant aux contingences de l’immédiat.
    Faisons confiance à notre plan à long terme, suivons-le en restant flexible sur les modalités pour l‘atteindre et nous y arriverons.

  • Les critiques renforcent notre capacité de réussir

     

    Comment les critiques renforcent notre capacité de réussir

    Peu importe notre projet, si nous avons un rêve et engageons notre énergie pour le réaliser, nous devons malgré tout faire face à des critiques et des remarques décourageantes. Nombreux sont ceux qui repoussent les idées peu ou pas en harmonie avec les leurs, qu’ils ne comprennent pas ou parce qu’elles s’éloignent de leurs valeurs.

    1 – Une force émotionnelle incomparable

    La poursuite de notre action malgré les obstacles rencontrés garantit la réalisation de notre objectif. La plupart du temps nous tomberons sur des défaitistes dont nous devons nous protéger. La poursuite d’un rêve nous dote d’une force émotionnelle incomparable, car plus nous sommes motivés pour agir différemment et changer le monde, plus nous nous approchons de la réussite.
    Plus nous créons et dirigeons, plus le dénigrement et la critique surgissent pour nous dérouter du but. C’est justement l’occasion de développer nos compétences, d’affiner notre stratégie et de booster notre volonté de continuer à avancer. Nous transformerons ainsi nos opposants en grands facteurs de motivation et leur montrerons à quel point ils se trompent à notre sujet et sur notre action. Un dénigreur nous rabaisse souvent pour ne plus se sentir si peu dynamique ou performant.

    2 – L’occasion de développer la maîtrise de soi

    Essuyer des critiques et des conseils d’abandon est courant lorsqu’on poursuit un grand projet qui va changer les choses. Prenons du recul par rapport à ces défaitistes, malveillants et dénigreurs pour bien maîtriser nos réactions émotionnelles. Les personnes négatives ont en partie raison, en réalité rien n’est facile à plus forte raison quand on vise des sommets, mais leur tentative de découragement nous offre l’occasion de développer notre maîtrise de soi.

    On aime déstabiliser pour avoir un sentiment de puissance. A partir de ce constat, nous devons nous concentrer sur notre projet pour lui montrer qu’il n’a aucun pouvoir sur nous. Plus nous nous exposons à la négativité des autres, plus nous allons apprendre à bien contrôler nos réactions émotionnelles pour nous mettre à l’abri.

    3 – Recentrons notre énergie sur l’action

    A chaque dénigrement ou critique, prenons l’habitude de tourner la page. Le rejet n’est pas la fin du monde ni la preuve que notre idée mérite d’être jetée à la poubelle. Profitons de ces remarques à priori décourageantes pour évaluer les atouts de notre projet et éventuellement en tirer un avantage ou une amélioration, puis passons à autre chose. Chaque rejet nous rapproche de l’approbation que nous recherchons, et nous aide à améliorer le processus de réalisation de notre rêve.

    Sans le savoir, il recentre notre énergie qui gagne aussi en créativité, nous pouvons ainsi affiner, reformater et perfectionner.

    4 – Le courage croît à chaque action courageuse

    Le chemin du succès est jalonné de risques, rejets, critiques, et revers de tout genre. Seule la résilience nous fait nous relever et risquer à nouveau. Chaque fois que nous prenons un risque nous devenons émotionnellement plus fort, et chaque revers nous  fournit les informations nécessaires à la poursuite de notre action.

    Le risque exige le courage, et le courage croît à chaque action courageuse. Baisser les bras requiert zéro effort, alors qu’entreprendre de nouveau forge notre résilience. Le plaisir dérivé du succès n’est pas monétaire, mais psychologique en termes de confiance construite et confortée.

    5 – La foi inébranlable dans notre but

    Croire profondément à ce que nous faisons et en nos idées développe une forme de résilience qui nous fait résister à tout rejet ou critique. Rien n’est aussi nécessaire au succès que la foi inébranlable dans notre but. Nous croiserons certains qui minimiseront nos idées, d’autres les déroberont tout en nous affirmant qu’elles ne valent rien. Restons vigilant sur les personnes rencontrées et leurs intentions, et protégeons nos idées en les partageant exclusivement avec ceux en qui nous avons toute confiance et respectons.

    Partageons éventuellement nos actions avec d’autres acteurs entreprenants et innovants comme nous.
    6 – La seule opinion qui compte est la nôtre

    Nul succès ne vient sans effort, travail, chagrins et sueurs. La réussite fréquente peu le faible. Le chemin de la réussite hérissé de doutes, de questionnements et de revers est un vrai défi : restons engagé, résistons, même et surtout quand les circonstances s’assombrissent. Si nous agissons avec passion, nous viendrons à bout de toutes les vicissitudes, car finalement la seule opinion sur notre rêve qui compte est la nôtre, les commentaires négatifs et décourageants des autres reflétant simplement leurs limites, surtout pas les nôtres.

    Mieux encore, nous pouvons les remercier car leurs rejets, difficiles à encaisser, ou leurs critiques sévères et déstabilisantes nous apprennent à contrôler nos émotions et à nous en servir à notre avantage. Le succès à la fin est notre plus grande récompense.

  • Garder les talents

     

    Comment garder ses talents

    Aujourd’hui, les entreprises sont confrontées à ce qui est sans nul doute leur plus grand défi des temps modernes : retenir leurs salariés et recruter les bons profils alors que les attitudes et les perceptions du travail ont été profondément chamboulées.

    Si la grande démission est due, dans une certaine mesure, à un examen de conscience induit par les restrictions, de nombreuses organisations n’ont tout simplement pas su gérer la pandémie de manière adéquate. Manquant de flexibilité et de visibilité, elles n’ont pas été suffisamment attentives au burn out numérique de leurs collaborateurs et en paient aujourd’hui le prix fort.

    Un Turnover accentué par la pandémie

    Que signifie le mot « travail » en 2022 ? À quoi devrait servir le bureau ? Aucun d’entre nous ne peut y répondre avec certitude. Néanmoins, une récente étude de Poly a révélé que plus de la moitié (58 %) des entreprises ont constaté une augmentation de la rotation du personnel, tandis qu’un nombre similaire d’entre elles a averti risquer de mettre la clé sous la porte. Il y a deux ans, la rotation élevée du personnel était compréhensible ; il n’y avait pas de plan directeur ni de guide d’utilisation pour assurer la continuité des activités pendant la Covid-19. Cependant, compte tenu de l’ampleur et de la durée de la crise sanitaire, ainsi que de sa rapide expansion, la société peut à nouveau sombrer dans la tourmente. Les approches de type « attendons de voir » ne suffiront donc pas dans le monde du travail de demain.

    Équiper les collaborateurs

    Aujourd’hui, les entreprises doivent désormais se préparer à cette éventualité et être capables de passer à l’action, au pied levé. Disposer d’une stratégie pour permettre le travail hybride est donc devenu un impératif. En effet, 68 % des entreprises interrogées estiment que leurs salariés devraient avoir le droit de demander de la flexibilité dans leur travail dès leur premier jour. Ainsi, les collaborateurs ne veulent pas attendre que leurs employeurs s’organisent, mais souhaitent être écoutés et pouvoir poursuivre leur travail, où qu’ils soient. Dès lors qu’ils ne se sentent pas soutenus ou valorisés, ils perdront leur motivation et partiront.

    Les entreprises qui ont équipé leur personnel d’appareils et de technologies de réunion de qualité ont considérablement amélioré l’expérience de leurs employés en période de grande incertitude. Cette stratégie a permis de fidéliser les employés et s’est avérée judicieuse sur le plan commercial, car une technologie plus intelligente augmente la productivité. En effet, on constate que plus de 65 % des entreprises françaises pensent que si elles ne s’attaquent pas à leurs plans et processus de travail hybrides, elles commenceront à perdre du personnel et seront donc par conséquent incapables d’attirer de nouveaux talents. En se concentrant sur des stratégies de fidélisation qui fonctionnent réellement et qui sont rapides et faciles à mettre en œuvre, on réduit le travail que les entreprises doivent effectuer pour recruter de nouvelles personnes.

    Placer le bureau comme lieu de collaboration

    Le bureau que nous connaissions avant la pandémie – un endroit défini et spécifique où nous travaillions une journée entière, rencontrions des collègues et collaborions sur des projets – n’existe plus !

    Aujourd’hui, 77 % des organisations prévoient de repenser ou de réaménager le bureau pour adopter de nouvelles méthodes de travail. La façon dont le bureau de demain sera utilisé changera radicalement avec moins de bureaux, plus d’espaces ouverts et de collaboration, ainsi que des lieux dédiés pour se retrouver entre collègues.

    La plus grande et la plus longue expérience de travail à domicile a montré aux entreprises qu’elles peuvent et doivent mieux utiliser l’espace, les employés et la technologie. Comme il y aura moins de personnes présentes à l’instant T, une solution évidente pourrait être de réaménager l’espace de bureau pour répondre à un ensemble plus large de besoins des employés : introduisez des zones d’apprentissage ou de tranquillité, créez davantage de salles de réunion de tailles différentes et, enfin, introduisez des zones sociales pour le réseautage et les discussions informelles dont on a tant besoin. De plus, rendez-les réservables afin d’encourager vos équipes à réfléchir réellement à ce qu’elles utilisent, quand et où. Cette avancée a effectivement une portée générale car 76 % des entreprises réaménagent leurs bureaux en y ajoutant des espaces ouverts, des espaces de collaboration, des zones de calme et des espaces de socialisation.  

    Mettre le collaborateur au premier plan

    Le réaménagement du lieu de travail ne doit pas se limiter à la technologie et à l’espace ; ce processus doit être fondamentalement centré sur les salariés. Les lieux de travail de demain doivent être conçus en fonction des besoins individuels de flexibilité, d’accessibilité et d’égalité. Le personnel s’est exprimé et souhaite des possibilités de travail flexible. Il est donc temps pour les employeurs de transformer ce désir en une réalité compétitive et réellement attrayante !

    Enfin, les entreprises qui permettent le travail à distance et le travail hybride ouvrent le marché de l’emploi – permettant potentiellement le recrutement depuis n’importe où. Cela contribue à rendre la recherche de talents beaucoup plus inclusive, garantissant un meilleur accès au travail pour tous. Il est également judicieux pour les employeurs de concentrer leurs ressources pour se positionner comme étant un lieu de travail attrayant, plutôt que de gérer des situations où le personnel démotivé finit par partir et doit donc être remplacé. Le travail hybride est essentiel pour retenir et recruter les meilleurs talents !

  • Le changement de vie professionnelle : Comment surmonter la peur de l’inconnu ?

     

    Le changement de vie professionnelle :

    Comment surmonter la peur de l’inconnu ?

    1 – Décomposons le changement pour nous l’approprier

    C’est la peur de l’incertitude qui souvent nous fait rester dans notre emploi actuel car nous redoutons l’inconnu, les situations que nous ne connaissons pas, qui peuvent pourtant s’avérer plus faciles à assumer que celles que nous vivons aujourd’hui.

    La solution pour dépasser cette inquiétude consiste à planifier notre projet dans le détail. Cela revient à nous approprier le changement en le décomposant au maximum en étapes et processus à mettre en œuvre, petit à petit nous allons nous habituer au changement projeté jusqu’à l’envisager avec confiance et la conviction qu’il doit tout naturellement se produire.

    2 – Nous préparer à accepter le rejet de notre candidature

    C’est une réaction normale, quitter notre emploi actuel dans lequel nous avons fait nos preuves, nous fait craindre de ne pas être approuvé ailleurs et d’essuyer des rebuffades à répétition. Nous allons en voir de toutes les couleurs et entendre tous les prétextes plus ou moins bien fondés. Pour éliminer cette peur du rejet, préparons-nous à affronter inévitablement ces défis qui vont jalonner notre démarche, en faisant preuve de réalisme. Si nous envisageons un changement de carrière total, nous devrons bien jauger les compétences qui nous manquent, nous former et nous initier à ce nouveau job, avec la conviction que nous devons nous améliorer dans tel ou tel domaine pour devenir un candidat fiable, cela nous préparera à trouver plus justifiée une réponse négative, à accepter plus facilement le rejet de notre candidature, et à moins redouter cette peur.

    3 –  Oser bousculer une tradition ou un tabou

    L’avenir professionnel tel que nous le rêvons se trouve peut-être dans l’entreprise dans laquelle nous sommes déjà. Jusqu’à présent, nous n’avons pas réussi à atteindre la position désirée peut-être parce que nous sommes bloqué par un a priori ou une tradition, si nous sommes une femme, le poste que nous visons n’a jamais été occupé par une femme, et nous avons jusque-là accepté, et suivi le courant. Si ce prétexte est le seul obstacle à notre action, nous nous mettons nous-même un plafond de verre pour ne pas évoluer. Nous devons analyser notre projet non à l’aune de notre sexe mais avec le prisme de notre supérieur hiérarchique qui juge l’opportunité de notre démarche en fonction de la valeur ajoutée que nous apportons à l’entreprise. Et si malgré notre professionnalisme avéré notre seul statut de femme bloque notre avenir, il est urgent d’envisager un autre changement, celui de l’entreprise.

    4 – Décider de changer et agir

    Comme la plupart des cadres, nous n’aimons pas trop le changement. Nous travaillons dans une certaine routine qui nous rassure et rend selon nous notre réussite plus réalisable, nous lancer dans une nouvelle carrière bousculera cette routine, dans l’accomplissement du travail comme dans notre organisation personnelle (temps de trajet, horaires…). Au lieu de laisser ces appréhensions fort légitimes nous envahir, cherchons à les comprendre pour mieux les surmonter. Nous avons déjà vécu des changements importants, repensons à leur déroulement et nous nous rendrons compte souvent que nos peurs de l’époque ont disparu dès que le changement s’était réalisé.  Inspirons-nous de ces expériences réussies pour apprivoiser notre peur d’aujourd’hui.  Le meilleur moyen d’avoir moins peur du changement est d’en prendre nous-même la décision, avant que d’autres le fassent pour nous et le plus souvent contre nous.

    5 –  Jauger objectivement nos atouts

    Souvent avant de décider de changer, nous restons paralysé en pensant que nos compétences, nos atouts professionnels sont insuffisants par rapport aux exigences du poste plus important que nous briguons. Le plus souvent c’est un prétexte pour ne pas changer. La peur nous empêche d’y voir clair, il nous revient de chasser de notre esprit ces connotations négatives pour regarder d’un oeil positif nos expériences, et analyser comment chaque job déjà occupé, chaque responsabilité assumée, chaque expérience vécue peuvent nous aider à faire le premier pas, et à nous servir de leviers pour réussir ce changement.

    6 – Se méfier des jaloux et des envieux

    Prendre une décision, qui bouleverse notre vie professionnelle va bien évidement suscité autour de nous des réactions, nombreuses et très différentes, de notre famille, de nos amis ou nos collègues. Certains n’y croiront pas, mais disons-nous bien que cette réaction reflète leur état d’esprit et pas le nôtre. D’autres sont des envieux – nous faisons ce qu’ils auraient aimé faire – ou des jaloux incapables de gérer leur propre frustration professionnelle. Dans cette période de turbulence, mieux vaut sélectionner notre entourage avec des personnes qui partagent nos idées et sont bienveillantes à notre égard même dans leurs critiques, elles nous apportent leur soutien parce qu’elles nous comprennent et n’envient pas nos aspirations.

  • SURMONTER LES ECHECS

     

    Surmonter les echecs

     

    Nous pouvons tous facilement surmonter les échecs ou les revers.

    Savions-nous que Levi Strauss était à l'origine un fabricant de tentes dans les années 1850 ?

    Pour fabriquer des tentes, il utilisait un tissu denim résistant qu'il avait inventé. Il a échoué dans son entreprise de fabrication de tentes. Il a utilisé ce tissu pour fabriquer des jeans. Nous nous demandons ce que nous porterions tous s'il avait réussi dans son entreprise de fabrication de tentes ?


    Possible que nous aimons tous ce genre d'histoires.

    La plupart des histoires de réussite sont des voyages qui comportent des obstacles, des échecs, des détours, des barrages... mais ces obstacles sont des ingrédients clés de la réussite.

     Nous ne pouvons pas réussir dans une entreprise personnelle ou professionnelle sans ces ingrédients. Les difficultés nous apprennent à élargir notre réflexion, à recadrer nos situations et à étendre nos possibilités.

    Si nous étions l'éditeur du dictionnaire, nous définirions le succès comme une série d'erreurs, de petits pas, d'accomplissements, de détours, de barrages, de rêves et de persévérance qui nous mènent finalement au but souhaité.

    Peut-être que si nous nous attendions à ces échecs, nous pourrions les accepter au lieu de penser qu'ils sont des raisons d'abandonner notre objectif.

    Ce n'est pas le cas ! Ils ne sont qu'une étape supplémentaire vers le résultat final.
    Adoptons cette nouvelle définition du succès et faisons un pas dans la direction souhaitée.

  • Clés de la réussite

     

    De bonnes habitudes que nous devons adopter pour réussir

    Nous apprenons à devenir physiquement plus fort par de l’exercice de toute activité physique (ex : la fréquentation d’une salle de gym), et pour le mental nous sommes le plus souvent laissé seul. Il ne s’agit pas de faire de la gonflette psychologique, mais d’adopter des habitudes bénéfiques qui nous renforcent.  Focus sur les principales pensées à adopter de toute urgence.

    Prendre la responsabilité de notre rôle dans la vie

    C’est vieux comme le monde, cela ne sert à rien de pleurer sur ce qui nous arrive. Les événements injustes se produisent malheureusement tous les jours, et nous morfondre à leur sujet est un gaspillage d’énergie.

    Au lieu de cela, prenons la responsabilité de notre rôle dans la vie et admettons une bonne fois pour toutes qu’elle n’est pas toujours facile ou juste. Certes nous pouvons rétorquer que se montrer bienveillant par rapport à soi peut apporter une forme de réconfort et apprendre de cette expérience. Mais cela va un temps, un temps très court, au risque de tomber dans l’auto complaisance, il faut vite tourner la page et prendre la responsabilité d’avancer.

    Investir nos forces pour nous adapter

    Ce qui peut expliquer notre résistance, c’est la peur de l’inconnu. Autrement dit nous ne parvenons pas à nous mobiliser dans une action parce que nous estimons le risque de nous maintenir dans la situation actuelle moins grave que celui d’avancer dans une nouvelle direction.

    Il y a pourtant une bataille perdue d’avance, celle de vouloir éviter le changement, car il va s’imposer. Au lieu d’investir nos forces en nous y opposant, félicitons-nous de ces évolutions, faisons preuve de souplesse, et adaptons-nous. Le meilleur moyen de bien vivre le changement est encore de le provoquer.

    Arrêter de vouloir plaire à tout le monde

    Essayer de plaire à tout le monde signifie souvent que nous avons le plus grand mal à nous plaire. Si nous sommes mentalement fort, nous respectons les autres, il n’y a donc pas lieu de faire cette erreur.
    N’ayons pas peur de leur dire non ou de défendre notre point de vue quand c’est nécessaire. Bien sûr dans notre démarche efforçons-nous d’être bon et juste, ne cherchons pas à plaire à tout le monde, c’est le meilleur moyen de plaire à personne, et surtout de perdre notre vraie nature.

    Avoir le droit de nous tromper et de ré-essayer de manière différente

    « La folie c’est de répéter les mêmes erreurs en espérant des résultats différents »  traduction de l’américain « Insanity is repeating the same mistakes and expecting different results » attribué à Franklin ou à Einstein.  Si nous continuons à nous comporter de manière identique sans tenir compte des mauvais résultats, nous nous retrouvons dans les mêmes situations difficiles. Le sentiment d’échec renforce notre conviction intérieure, et inconsciemment nous recommençons les mêmes erreurs.

    Sortons de cette « zone de confort » où tout se répète parce que cela nous rassure, nous connaissons d’avance les résultats, si bien que nous en avons oublié la possibilité de changer. Rien n’est définitif dans la vie, nous avons le droit de nous tromper et de ré-essayer de manière différente.

    Arrêter de nous comparer aux autres

    Comparaison n’est pas raison, et toute pensée qui nous verse dans ce jeu de fausse compétition avec les autres est vaine, car elle sous tend un fond de jalousie ou  suppose un sentiment d’injustice complètement inapproprié. Nous le savons, cela ne sert à rien de nous sentir floué quand d’autres nous dépassent.

    Au lieu de cela, concentrons-nous sur les efforts à faire pour obtenir le succès, et investissons-nous à fond pour augmenter nos chances de réussite. « La chance : plus je travaille, plus elle me sourit. » Stephen Leacock

    Ne laisser pas les autres décider à notre place

    Attendre de nos parents, de nos maîtres, de notre hiérarchie, de la société et de l’Etat providence, et nous voilà sur la pente de l’assistance et de la dépendance. Nous travaillons pour nous et comptons surtout sur nous pour atteindre nos objectifs. Fuyons cet alibi trop répandu à la prise de responsabilité, et ne laissons pas les autres décider à notre place.

    Si nous sommes addict des autres, ils nous voleront tout jusqu’à nos réussites.

  • La RSE

     

    La démarche RSE: le levier pour impliquer nos équipes et fidéliser nos clients !

    « Nous n’héritons pas de la Terre de nos ancêtres, nous l’empruntons à nos enfants » Antoine de Saint Exupéry.

    Quid de la Responsabilité Sociétale des Entreprises ?

    La Responsabilité Sociétale (ou sociale) des Entreprises (RSE) est « l’intégration volontaire par les entreprises de préoccupations sociales et environnementales à leurs activités commerciales et leurs relations avec leurs parties prenantes », selon l’Union Européenne. En effet, la RSE est le fait d’avoir, pour une entreprise, un comportement responsable, éthique, sociale et humain vis à vis de ses salariés, des clients, des fournisseurs, des partenaires sociaux, de l’environnement…

    Sans aucun doute, la RSE est un acte volontaire où chacun d’entre nous est responsable, que ce soit nos équipes ou nous en tant que chef d’entreprise. La RSE est un réel facteur de croissance et de développement. Cette démarche vertueuse va permettre également de renforcer notre image et la confiance que nous témoignent nos clients.

    Et avec les collaborateurs ?

    Quoi de mieux que d’avoir des équipes motivées ? La RSE contribue à favoriser le bien-être et la qualité de vie au travail. C’est aussi être à l’écoute de nos collaborateurs, développer les compétences de chacun, promouvoir la diversité et l’égalité des chances et également éviter le recours abusif à des contrats entraînant la précarité. Quotidiennement, il est important de nous assurer du respect des droits fondamentaux entre collaborateurs et avec nos collaborateurs.

    La communication, c’est la clé de la relation avec nos équipes : anticiper les problèmes, proposer des formations pour rester performant ou évoluer. Plus le climat est serein, plus il sera propice au développement de l’entreprise. Un salarié bien au travail est aussi un salarié bien dans sa vie personnelle, en confiance et fier d’appartenir à son entreprise. De plus, avoir un comportement responsable et social renforce sa marque employeur auprès des clients, fournisseurs, futurs recrus.

    Et avec nos clients, nos fournisseurs et nos partenaires ?

    La démarche RSE, c’est aussi respecter les intérêts de nos clients, partenaires et fournisseurs. Il est primordial d’établir des relations durables avec les sous-traitants et les fournisseurs. Pour avoir une démarche RSE irréprochable, nous nous devons d’agir avec loyauté sur les marchés, et refusons toutes formes de corruption. C’est un moyen imparable pour la prévenir au quotidien.

    Avoir un comportement RSE pour une entreprise, c’est tenir ses engagements envers ses clients (prix, délais, livraisons, services…), c’est être à l’écoute afin de proposer la meilleure solution, c’est être transparent sur les produits (les origines, les compositions…) et  proposer des produits qui répondent aux préoccupations sociales et environnementales.

    Plus notre entreprise adoptera un comportement responsable et social, plus elle sera transparente, plus elle aura une meilleure image et une notoriété et donc plus elle inspirera confiance à des investisseurs ou à des organismes bancaires.

    Et l’environnement dans tout cela ?

    La RSE, c’est aussi être dans une démarche de développement durable pour l’environnement. C’est maîtriser les consommations d’énergie, d’eau et de matières premières, réduire les émissions dans l’air, les sols et l’eau, favoriser la réduction et la valorisation des déchets et prendre en compte les impacts environnementaux dans la conception des produits et services sans oublier l’amélioration de la performance environnementale des bâtiments.

    Pour nous la démarche RSE, c’est aussi contribuer au développement économique et social. C’est aussi privilégier les achats auprès de fournisseurs locaux, agir sur les freins à l’emploi et favoriser l’insertion. Il est important d’accueillir des jeunes pour leur faire découvrir les métiers de l’entreprise. L’objectif est également de contribuer à des initiatives d’intérêt général dans le domaine de l’éducation, de la culture, de la santé et du sport.

  • Evolution du management

     

    Evolution du management : Le manager de demain

    La révolution de l’information et de la communication transforme l’entreprise qui doit désormais se développer avec des équipes multiculturelles et souvent dispatchées, tout en composant avec des aspirations personnelles tendant vers toujours plus d’individualisme et de liberté.

    Dans cette organisation du travail bouleversée, le rôle du manager, avec ses compétences et ses soft skills, évolue. Voici le profil du manager de demain.

    La coordination et la résolution des problèmes

    Avec les nouvelles organisations du travail, des équipes aux compétences transverses, aux postes dispersés sur plusieurs sites ou en télétravail, le rôle du manager en tant que coordinateur n’a jamais été aussi déterminant. Dans ce mouvement qui va croissant, créativité et ingéniosité deviennent deux aptitudes à acquérir, particulièrement pour résoudre des problèmes. Cela est d’autant plus vrai pour gérer une équipe à distance, lorsque le manager n’est pas physiquement confronté aux situations qu’il affronte.

    Dans le même esprit, l’adaptabilité – on parle aujourd’hui « d’agilité » – s’impose comme une qualité à posséder dès maintenant compte tenu de la rapidité avec laquelle les organisations, les modes de travail, les technologies et les outils évoluent.

    Une intelligence émotionnelle et sociale décuplée

    Le manager, référent et représentant de ses collaborateurs vis-à-vis de l’organisation, doit accompagner ses équipes vers l’épanouissement et la réussite. Ce rôle s’avère de plus en plus compliqué à mesure que le travail s’exporte en dehors des murs de l’entreprise. Le manager de demain doit alors être doté d’une forte intelligence sociale et émotionnelle, couplée à une grande empathie pour comprendre les besoins de ses collaborateurs, leur attribuer le bon poste, leur offrir une évolution, sans même les côtoyer au quotidien. Avec ses facultés d’écoute et de communication, il propose des missions à la hauteur des aspirations de chacun et trouve des compromis qui conviennent à tous.

    Un niveau d’encadrement « à la carte »

    Dans le même esprit, le manager de demain proposera à ses collaborateurs un degré d’autonomie adapté à la capacité et aux aspirations de chacun. Le vrai challenge sera, non seulement d’encadrer des personnalités physiquement absentes, mais aussi de réussir à leur proposer un niveau d’encadrement « à la carte ».

    Intuition et leadership

    Pour réussir à piloter à distance, le manager de demain possèdera une forte intuition, le
    « nez » pour choisir les bonnes personnes, bâtir une équipe cohérente et à fort potentiel d’évolution. Enfin, force de conviction et leadership lui seront nécessaires pour maintenir les collaborateurs soudés malgré des changements constants.

    Les grandes tendances du management

    Si les qualités du manager sont vouées à évoluer, qu’en est-il du mode de management de demain ? On peut penser que la gestion des personnes dans un environnement complexe, nécessitant instinct et intelligence sociale, ira de pair avec un management plus empathique et bienveillant, où l’expression des émotions constituera le socle de la communication. La rationalité implacable du management d’hier n’aura plus lieu d’être. Plus pragmatiquement, les grandes tendances annoncées en matière de management pour les décennies à venir reposent sur deux piliers : formation continue et gaming. Les entreprises capables de former leurs effectifs, en continu, aux évolutions de leur marché seront les plus productives.

    En parallèle, la réalité virtuelle et les nouveaux formats d’apprentissage (micro-learning, e-learning…) devraient tendre vers une entreprise de plus en plus ludique (gaming), tout du moins dans sa manière d’appréhender la formation et les challenges organisés en internes.

    A priori le manager de demain possèdera les mêmes aptitudes et les mêmes soft skills que celui d’aujourd’hui. Simplement, le niveau de ses qualités sera décuplé compte tenu du dispersement des équipes, des bouleversements incessants de l’entreprise et des aspirations de carrière plus complexes et plus variées qu’auparavant. L’intelligence émotionnelle et la flexibilité cognitive, au cœur de sa fonction d’encadrant, faciliteront sa compréhension de son environnement et de ses équipes.

  • Atteindre son objectif

     

    Remplir ses journées avec des buts

    et non des problèmes.

    Lorsque nous "sortons de notre quotidien" et que "nous nous concentrons" sur notre objectif, nos problèmes sont souvent plus faciles à surmonter.

    Mais beaucoup d'entre nous ont une approche opposée : Nous nous concentrons sur les problèmes qui se présentent et croyons que nous "atteindrons notre but" une fois les problèmes résolus.

    Nous ne réalisons pas que c'est l'inverse. Nous devons nous concentrer sur l'objectif à atteindre, car notre objectif est bien plus important que nos problèmes.

    Lorsque nous restons centrés sur notre objectif et notre vision, les problèmes diminuent au lieu de croître. Lorsque nous faisons passer nos problèmes avant notre vision, ils deviennent des obstacles.

    Comment passez-vous vos journées ? Vous concentrez-vous sur votre objectif ou sur les problèmes ?

    Essayez de remplir votre journée avec un objectif, et observez le changement spectaculaire que cela va créer dans votre vie.

    Très belle journée.

  • Devenir trés intéressant et productif

     

    Devenir très intéressant et productif en améliorant notre puissance d’écoute

    Utiliser le langage du corps 

    Notre langage corporel révèle notre intérêt ou désintérêt dans un échange. Si nous voulons montrer que nous écoutons attentivement quelqu’un, penchons-nous légèrement vers l’avant et établissons un contact visuel. Un simple sourire et un signe des yeux montreront que nous sommes intéressé et engagé dans l’échange. Dans les situations où nous nous sentons un peu inconfortable, lorsque l’on nous présente quelqu’un nous pouvons avoir tendance à croiser les bras, mettre nos mains dans les poches ou montrer quelque nervosité. Soyons vigilant, car ces petits signes physiques peuvent décourager l’autre de se confier plus avant.

    Rester impliqué dans l’échange

    Si nous nous trouvons dans un endroit animé et bruyant, concentrons-nous davantage sur la personne que nous voulons écouter et essayez de faire abstraction de ce qui se passe autour de nous. Le téléphone ne doit pas nous interrompre, tournons le dos à notre ordinateur et consacrons-nous totalement à notre interlocuteur. Si nous sommes distrait par la technologie, il se sentira sans importance.

    Résister à l’envie d’interrompre

    Il peut être tentant de finir la phrase de quelqu’un pour montrer que nous comprenons son message, mais cela peut être perçu comme une impolitesse. Si nous le faisons, même avec les meilleures intentions, nous refusons à notre interlocuteur l’occasion d’exprimer pleinement ses sentiments ou ses idées. Pour nous assurer de ne pas couper la parole en la prenant, habituons-nous à faire une pause de quelques secondes avant de répondre.

    Poser des questions ouvertes

    Les deux mots les plus puissants dans une conversation sont «Dites-moi ». Nous allons enthousiasmer notre interlocuteur si nous lui posons des questions pertinentes et écouter attentivement ses réponses. Si nous lui montrons un véritable intérêt pour ce qu’il fait et dit, il nous en sera reconnaissant. Les questions ouvertes nous offrent une excellente occasion de l’inviter sur un sujet qui lui plaît et qu’il développera avec plaisir. Et si nous ne comprenons pas un point, empressons-nous de lui demander des précisions ou des exemples qui illustrent ses propos.

    Pratiquer l’écoute empathique

    N’écoutons pas seulement avec nos oreilles, mais aussi et même surtout avec nos yeux et notre cœur. Nous pouvons ne pas être d’accord avec l’orateur, mais imaginons comment il ressent ce qu’il nous déclare. Mettons-nous à sa place pour bien comprendre son point de vue. Ecoutons pour comprendre et ne nous concentrons pas sur ce que nous allons dire, cela diminue notre capacité d’écoute et gêne la fluidité de la conversation. Concentrons-nous sur son histoire et demandons-nous comme nous réagirions s’il nous arrivait la même chose. Une fois que nous avons bien appréhendé ce qu’il nous dit, nous pouvons répondre avec justesse.

  • Manipulateur et manipulé

     

    Est-ce vous êtes facilement manipulable

    Le manipulateur ne choisit pas sa cible au hasard, il la sélectionne en fonction de sa faiblesse mentale, morale et/ou son isolement.

    Voici des manières de savoir si vous êtes facilement manipulable.

    Le couple manipulateur/manipulé

    Dans chaque action de manipulation il y a un couple ; un manipulateur et un manipulé. Le premier cible sa victime parce qu’elle a un profil particulier. Donc si vous avez un profil à risque, en le changeant, vous serez moins pris pour cible. Dans la plupart des manipulations, vous avez une petite part de responsabilité – pas dans tous les cas – et quand c’est le cas il est de votre devoir, pour vous protéger, de changer certains de vos comportements pour que le manipulateur ne soit plus intéressé par votre profil et parte chercher une autre proie ailleurs.

    La faible estime de soi

    L’estime de soi est l’amour que l’on a pour soi. Il se construit à travers le regard de l’autre, l’amour que vos proches vous portent et vous montrent, et le fait d’en avoir pleinement conscience ou non.

    L’enfance est une période cruciale pour l’estime de soi mais elle peut se construire à tout âge. Elle est étroitement liée au besoin d’être aimé que nous éprouvons tous. Mais si vous avez une faible estime de vous-même ou que votre besoin d’être aimé soit très fort, vous devenez une proie facile pour le manipulateur qui n’a qu’à nous dire « Je t’aime, tu es beau/belle, tu mérites le meilleur, etc. » pour endormir vos défenses et vous embobiner. Développer l’estime de soi est une forme d’autodéfense émotionnelle.

    L’incroyable besoin de faire confiance

    Vous avez naturellement tendance à avoir besoin de faire confiance, cela simplifie vos prises de décision, économise votre énergie, mais une fois la confiance accordée se remettre en question n’est pas naturel voire désagréable. Partez donc du principe que vous accordez peut-être trop facilement votre confiance.

    La confiance est précieuse, elle se mérite et elle doit être donnée avec parcimonie.

    La vulnérabilité dans les périodes difficiles

    Vous êtes plus facilement manipulable quand vous êtes fatigué, votre niveau de vigilance et d’attention diminuant. C’est la même chose durant les périodes difficiles de la vie (on en connaît tous) comme la perte d’un être cher, les périodes de déprime voire de dépression, de difficultés financières etc.

    Affaibli mentalement, votre méfiance et vos mécanismes de défense sont bas, et votre besoin d’être soutenu fort, ce qui fait le lit de la manipulation. 

    De la même manière qu’un prédateur chasse en priorité un animal blessé et fatigué, le manipulateur s’en prend aux personnes vulnérables.

    Le faible esprit critique

    Avoir l’esprit critique ne signifie pas tout critiquer sans discernement, mais ne pas être crédule et avaler tout ce que l’on vous dit, ne pas accepter une « vérité » sans y réfléchir soi-même et remettre en question les raisonnements des autres. Bref, cela signifie réfléchir par soi-même même si cela prend du temps et que cela demande un effort. 

    Développer l’esprit critique est une forme d’autodéfense intellectuelle.

    L’isolement physique fait de vous une proie facile

    Quand un prédateur s’attaque à un groupe d’animaux, il cherche d’abord le plus faible puis il l’isole. Seul vous êtes est nettement plus vulnérable, alors que le groupe vous protège dans la plupart des cas.

    Si vous vous trouvez isolé physiquement ou avec peu d’entourage, vous avez plus de risque d’être approché par une personne mal intentionnée.

    Le besoin d’être compris

    Celle ou celui qui se sent incompris est une cible privilégiée pour le manipulateur. Il lui suffit de comprendre le sujet sur lequel vous vous sentez mal compris(e) par votre entourage et de vous faire croire qu’il vous comprend, voire qu’il ressent les mêmes choses que vous.

    Vous vous sentez alors tellement bien que vous baissez votre garde et la manipulation peut commencer.
     

  • Regarder l'ensemble de la situation

     

    Nous ne nous contentons pas de regarder les choses évidentes, nous regardons l'ensemble de la situation.

    Nous savons tous que la perfection n'est pas possible, mais beaucoup d'entre nous la recherchent quand même.

    Lorsque nous recherchons la perfection, nous ne regardons que "l'évident". Nous négligeons rapidement tous les avantages qui découlent de la "vue d'ensemble" - de la courbe d'apprentissage, des erreurs, de l'espace pour l'imperfection. C'est "l'ensemble" qui crée une vie riche. C'est le "tableau complet" qui contient les fissures qui permettent d'apprendre et de vivre.

    Aujourd'hui, ne nous contentons pas de regarder ce qui est "évident", regardons le "tableau complet" de chaque situation dans laquelle nous nous trouvons.

  • Augmentons notre intelligence émotionnelle et notre performance

     

    Augmentons notre intelligence émotionnelle

    et notre performance

     -

    Pour réussir nous devons éviter des comportements et des émotions qui nous privent de tout contrôle. Focus sur une liste non exhaustive d’exemples dont nous pouvons nous inspirer pour augmenter notre intelligence émotionnelle et notre performance.

    -Notre estime de soi vient de nous, pas des autres

    Ne laissons personne y mettre des limites. Lorsque nous ressentons du plaisir et de la satisfaction, cela ne sert à rien de nous comparer aux autres. Nous devons rester maîtres de notre bonheur. Si nous nous sentons bien dans ce que nous faisons, les opinions ou les réalisations des autres ne doivent pas avoir prise sur nous. Bien qu’il soit impossible de les ignorer, rien ne sert de nous comparer à eux, nous pouvons prendre leur avis avec des pincettes.

    Peu importe ce que les autres pensent ou font, notre estime de soi vient de l’intérieur, indépendamment de leur point de vue sur nous à un moment donné.

    Une certitude : nous ne sommes jamais aussi bon ou mauvais que ce qu’ils disent.

    -Pardonnons, mais ne pas oublier

    Nous devons nous montrer prompt à pardonner, cela ne signifie pas oublier. Le pardon exige de laisser derrière nous ce qui s’est passé. Cela ne veut pas dire que nous donnons à ceux qui nous ont nui une autre chance d’accomplir leur méfait. Nous ne sommes pas disposés à nous laisser embourber dans leurs erreurs ou fautes et tenons à nous libérer de leur nuisance pour nous protéger à l’avenir et rassembler toutes nos forces vers le succès.

    -Gardons la maîtrise de nous-mêmes

    Nous savons combien il est important de vivre pour combattre demain. En cas de conflit, l’émotion incontrôlée nous entraîne dans une bataille stérile qui nous nuit gravement. Si nous nous libérons de l’empire de nos émotions, nous sommes en mesure de faire des choix judicieux, de maîtriser notre pensée et nos paroles, d’avancer et battre en retraite quand il le faut.

    -Ne visons pas la perfection

    Ne la ciblons pas car elle n’existe pas. L’être humain est faillible de nature. Avoir la perfection pour objectif laisse toujours un sentiment d’échec, ce qui pollue de lamentations notre temps. Au lieu de déplorer comment nous aurions dû agir différemment, concentrons-nous sur ce que nous étions en mesure d’atteindre.

    -Vivons dans le présent

    L’échec érode la confiance en soi et notre espoir d’obtenir un meilleur résultat à l’avenir. Le succès réside dans notre capacité à nous relever après un échec, ce qui est impossible si nous vivons dans le passé. Toute réalisation oblige à prendre des risques, nous devons donc avoir tout notre potentiel de réussite.

    Vivre dans le passé transforme notre présent en passé, ce qui nous déconnecte de la réalité du moment et de ce qu‘il faut y faire.

    -Ne nous attardons pas sur les problèmes

    Si nous nous focalisons sur les problèmes auxquels nous sommes confrontés, nous prolongeons les émotions négatives et le stress, qu’ils ont engendrés chez nous, et entravons encore plus notre performance.
    Mieux vaut nous concentrer sur l’action et les circonstances qui l’entourent, pour mieux ressentir notre efficacité personnelle ce qui produit des émotions positives et améliore notre performance.

    -Mettons-nous à l’écart des négatifs et des toxiques

    Celui qui geint est en soi une mauvaise nouvelle, il se vautre dans ses problèmes et ne parvient pas à se concentrer sur les solutions. Il veut nous entraîner dans la pitié et l’apitoiement dans son seul intérêt. Nous sommes tentés de l’écouter pour ne pas être considéré comme insensibles ou grossiers, nous devons fixer et respecter la limite entre prêter une oreille attentive et nous enfoncer dans sa spirale émotionnelle négative. Et de nous éloigner si besoin.
    Si un fumeur empeste notre atmosphère, nous ne nous asseyons pas à ses côtés pour l’encourager à en allumer une autre.

    La meilleure façon de poser une limite est de lui demander comment il entend régler son problème. Soit il se tait soit il entame une conversation dans un sens productif.

    -Ayons le courage de dire « non »

    Des recherches menées montrent que le plus difficile est de dire « non », une réponse bondée d’émotions et de stress. C’est en effet un défi majeur pour la plupart, tant le mot est puissant.

    Nous ne devons pas avoir peur de l’exprimer, et quand il est temps de dire non, évitons des circonvolutions du type « Je ne pense pas pouvoir » ou « Je ne suis pas certain. »

    Dire « non » honore nos engagements précédents et nous donne la possibilité de réussir.

  • Convaincre un recruteur

     

    Convaincre un recruteur

    En dehors des critères relatifs au poste, des conditions à remplir pour convaincre un recruteur de la pertinence de notre candidature. Et si cela ne marche pas du premier coup, n’en faisons pas une affaire, nous pouvons perdre la bataille d’un entretien et gagner la conquête de notre emploi.

    -Rassurons le recruteur sur notre candidature

    Quelle que soit l’étape du processus de recherche où nous nous trouvons, nous devons continuer à suivre le consultant, le chasseur ou le recruteur. Dès notre lettre ou mail de motivation nous devons manifester notre engagement, et prendre contact par téléphone quelques jours après notre entretien. Un suivi s’impose de manière régulière, par e-mail, téléphone, voire sms. Un suivi régulier et poli – éviter le harcèlement – fait souvent la différence et démontre notre ténacité, peut-être n’est-il pas encore trop tard. Et si nous n’obtenons pas un retour, au bout de quelques semaines, laissons tomber, nous avons eu affaire à un mauvais professionnel du recrutement ou un employeur. Nous l’avons finalement échappé belle.

    -Argumentons notre candidature

    Dès les premières minutes, évitons de montrer pas notre hâte à quitter l’entreprise dans laquelle nous nous trouvons, mettons plutôt en avant les atouts que retirera l’entreprise qui recrute en nous choisissant. Ne nous présenter pas comme un cadre en quête d’un poste, le recruteur cherche un cadre compétent et motivé, pas un demandeur d’emploi. Notre comportement ne doit pas susciter de questions à notre interlocuteur, préparons-nous à lui apporter des réponses, la bonne étant celle qui décrit la pertinence de notre éventuelle contribution à cette entreprise, et en quoi notre expérience fait de nous le candidat recherché. Cela implique qu’en amont de cet échange, nous ayons bien identifié nos atouts et nos déficits de compétences et expériences, pour pouvoir en parler en toute sincérité, ce qui montre au recruteur notre maturité, notre recul par rapport à nous même et notre sens des responsabilités, qui doivent le rassurer.

    -Passons vite à autre chose si une candidature interne est préférée

    Cela arrive à des cadres très professionnels. Nous n’y pouvons rien, c’est la faute à pas de chance, nous devons comprendre que le fait de recruter un cadre est un acte stressant pour le recruteur, il cherche donc à se rassurer et trouve une solution idéale par une cooptation interne. Passons vite à une autre opportunité, nos compétences et notre présentation sont hors de cause, et continuons nos actions.

    -Transmettons notre enthousiasme et notre intérêt

    Pendant cette rencontre, nous devons poser des questions pertinentes sur l’entreprise, ce qui implique que nous nous soyons bien préparé en menant des recherches adaptées, nous permettant de communiquer sur la valeur ajoutée que nous pouvons apporter. Oublions le temps de l’entretien notre situation de « sans emploi » si cela est le cas, elle nous tourne vers le passé. La recherche d’emploi est toujours plus ou moins longue et frustrante,  malgré tout nous devons faire preuve d’intérêt, d’énergie et de confiance pour nous positionner en candidat idéal.

    -Ecoutons, écoutons et écoutons encore

    Cela arrive souvent, parce que nous sommes trop occupé par notre cas, trop obsédé par notre recherche, nous nous écoutons tellement que nous n’entendons plus l’autre. Nous risquons à certains moments de mal répondre ou de le faire à côté de la plaque, ce qui indique au recruteur que nous manquons de concentration à cause d’une émotivité excessive, de discernement ou d’intérêt, ou que nous avons mal écouté, et par conséquent mal répondu. Bien nous préparer à un entretien exige de nous renseigner et d’anticiper les questions et les réponses à faire, pour le moment venu nous concentrer et réussir.

    -Racontons notre histoire professionnelle

    Tout le monde aime écouter une histoire, même un recruteur. C’est vrai, le débit chronologique de notre CV est des plus ennuyeux, alors que la narration de situations rencontrées, d’obstacles surmontés, de défis relevés… suscite l’écoute du recruteur.

    Le candidat conteur saisit son interlocuteur car il s’exprime de façon naturelle, tout ce qu’il dit semble si simple et si fluide.

    Efforçons-nous de préparer notre histoire, trouvons dans notre parcours les événements forts, intenses voire dramatiques, et mettons-nous en scène. Il ne s’agit pas d’inventer des aventures mais de nous raconter pour capter l’attention et l’intérêt. En pratiquant avec loyauté – par rapport à la réalité des faits – le storytelling, nous toucherons le recruteur qui se rappellera de nous. Truffons notre discours de petits détails qui aident à entrer dans l’histoire, nous ferons la différence avec les autres candidats qui ont débité leur parcours standardisé, à condition de posséder les pré-requis techniques et professionnel du poste bien sûr.