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Conseils en Management et RH
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Conseils GRH

  • Favoriser le développement professionnel

     

    Combler les lacunes fondamentales pour favoriser le développement professionnel

    Combler les lacunes fondamentales, pour favoriser le développement professionnel, une nouvelle mission pour l’entreprise.

    La notion d’entreprise apprenante distingue depuis longtemps les employeurs attentifs au développement professionnel de leurs équipes, même si les offres de formation s’apparentent à des catalogues souvent méconnus des managers.

    L’entreprise apprenante joue de plus en plus un rôle social essentiel

    En ce sens, l’entreprise apprenante joue depuis toujours un rôle social essentiel en permettant autant à des profils non qualifiés qu’à des profils qualifiés, d’évoluer et de s’insérer parfaitement dans des environnements professionnels en changement permanent.
    Le succès de l’apprentissage permet lui aussi à des jeunes (et moins jeunes) non seulement de finaliser leurs études mais aussi et surtout de s’insérer efficacement. Six mois après leurs sorties d’études, deux apprentis sur trois sont en effet embauchés, dont plus de 60% en CDI et un quart dans l’entreprise qui les avait recrutés durant leurs études (source Cap métiers).

    Mais au-delà de cette réalité se dessinent de nouveaux défis liés directement à la baisse générale du niveau de culture et d’apprentissage des enseignements fondamentaux à l’école. Les collégiens/lycéens d’aujourd’hui maitrisent 40% de mots en moins que les jeunes des années 80. L’usage intensif des réseaux sociaux et autres activités en ligne génère des troubles de l’attention et un usage appauvri du langage au profit de raccourcis réducteurs. Le recours à l’IA avec son ambassadeur ChatGPT accélère la paupérisation de la pensée.

    C’est un fait et toutes les études le démontrent, le niveau général est en forte baisse, au point où le marché de l’enseignement supérieur ne cesse de développer des prépas à destination de bacheliers, non pas dans l’espoir d’intégrer les écoles de rang A, mais d’atteindre le niveau légitime d’un vrai référentiel de connaissance. Cette réalité heurte de plein fouet le développement futur des entreprises.

    Le monde professionnel ne peut se contenter de l’à-peu-près sur le plan des acquis

    Que ce soit en orthographe ou en conceptualisation, voire tout simplement en rigueur.
    Dans les années à venir, les Directions des Relations Humaines/les Directions du développement des Energies Humaines vont devoir inscrire dans leur feuille de route la remise à niveau des fondamentaux via des parcours de formation adaptés au cas par cas.

    Le débat sur les soft kills et les hard skills est bientôt dépassé, car de plus en plus intégré, au profit d’une exigence de niveau. Soit les humains sont de simples ressources interchangeables, soit ils représentent vraiment le capital immatériel de l’entreprise et, à ce titre, réclament un suivi adapté pour en faire fructifier les potentiels.
    Il sera de moins en moins rare de voir en entreprise des cours d’orthographe dispensés à des personnes de niveaux Bac+5 ou encore des cours de philosophie et de psychologie pour des managers confrontés à des situations où la sagesse primera sur l’expertise.
    Le choc générationnel n’est pas celui que l’on croit, à savoir celui des usages digitaux et les nouveaux comportements qui vont avec, mais se situe bien sur un enjeu de culture générale.

    Combler les lacunes fondamentales pour favoriser le développement professionnel, nouvelle mission de l’entreprise ?

    L’apprentissage, à l’exemple de ce qu’est pratiquée chez GIFI avec des dizaines de jeunes, est non seulement un apprentissage professionnel au sens «apprendre un métier» mais aussi un apprentissage de vie au sens des interactions relationnelles et de la culture.
    L’entreprise va devenir progressivement le prolongement pédagogique de l’école au sens de l’enseignement et va devoir adapter toute sa stratégie de recrutement pour ne plus subir la baisse de valeur due au niveau moyen.

    La notion de potentiel devra être évaluée comme un critère prioritaire en apportant des réponses concrètes d’accompagnement au-delà même de l’implication managériale. Tests, salaires, formations… Tout va devoir être repensé.

    Pour la majorité des jeunes désormais, le premier emploi est un test, un passage ; c’est de fait de plus en plus un défi économique pour les employeurs responsables qui intègrent des débutants entre le coût salarial, le coût de formation et d’intégration…
    La valeur ajoutée sur l’employabilité face à des publics volatils devra demain être explicitée et valorisée. L’emploi des jeunes est plus que jamais un enjeu pédagogique. L’entreprise pédagogue peut-elle vraiment exister face aux enjeux économiques ? L’avenir le dira.

    L’entreprise ne se nourrit pas de promesses, elle est légitime par ses résultats et ses engagements qui, par définition, sont censés être uniques. Elle doit rester pleinement une aventure humaine.

    Combler les lacunes fondamentales pour favoriser le développement professionnel, nouvelle mission de l’entreprise ?

  • RETOUR AU TRAVAIL

     

    Des conseils pour nous remettre en mode “travail” après les vacances

    Les vacances derrière nous, le temps est venu de reprendre le rythme de notre activité professionnelle. Dur, dur, après des journées, voire des semaines de farniente et d’horaires élastiques, de se remettre au travail. La pause était bien venue, le retour au bureau peut être aussi un événement heureux si nous prenons quelques dispositions qui le rendent plus facile.

    Anticipons notre retour au bureau

    Sans que cela porte atteinte à nos vacances, il peut être utile d’obtenir des infos sur les nouveaux développements et les questions d’actualité qui ont fait surface pendant notre absence. Nous pouvons par exemple contacter un collègue qui nous informera et nous donnera un aperçu des messages qui se sont accumulés, et des informations prioritaires.
    Non seulement cela nous évite les mauvaises surprises lorsque nous reviendrons au bureau, mais cela filtre déjà la masse des mails de manière plus rapide.

    Reprenons le rythme de notre activité

    La chose la plus difficile à faire après un temps plus ou moins long de vacances est de revenir à notre rythme quotidien normal.

    Pour y parvenir, réglons l’horloge de notre corps quelques jours avant de revenir au bureau en reprenant notre rythme de sommeil habituel, ce sera sûrement difficile, mais nous nous en féliciterons tant le premier jour de reprise sera plus confortable. Nous devons aussi reprendre notre régime alimentaire habituel et toutes les habitudes de remise en forme dès que possible, car cela nous aidera à retrouver nos repères.
    Une autre astuce consiste à aller au bureau le premier jour quelques heures plus tôt, nous serons en mesure de mieux gérer notre journée, et d’être plus efficace que nos collègues.

    Allégeons notre charge de travail

    La partie de notre cerveau qui mémorise les mots de passe, anesthésiée par les heures de farniente, est toujours en vacances. Pour commencer, choisissons les choses faciles, cela nous donnera un sentiment agréable et nous facilitera l’approche des tâches plus ardues. Lisons d’abord les e-mails qui ne nécessitent pas une action de notre part. Il est important de nous alléger de nouveau dans notre vie professionnelle.

    Évitons de retourner au bureau juste le lendemain de notre retour de vacances, ou revenons en milieu de semaine pour nous offrir un sas de jours chez nous pour régler notre organisation personnelle.

    Ne nous laissons pas déborder par l’arriéré des messages et des tâches qui requièrent notre intervention et notre temps. Faisons en sorte de limiter l’accès à ces sujets pendant les premiers jours, et traitons chaque sujet l’un après l’autre par priorité.
    C’est aussi une occasion de déléguer certaines tâches lorsque cela s’avère possible pour réduire notre charge de travail. Cela nous aidera à maîtriser la situation dans cette période de réadaptation.

    Traitons le retour au travail comme une occasion de repartir à zéro

    Traitons le retour au travail comme une occasion de repartir à zéro. Si cela est possible, lançons-nous dans un nouveau projet, ou prenons de nouvelles résolutions. Une activité nouvelle ou un thème inhabituel donnera un souffle nouveau à notre travail qui rompra l’éventuelle monotonie habituelle de notre vie professionnelle.

    Notre cerveau souffre d’avoir imprimer des images et des sensations agréables, ludiques et gratifiantes alors que nous devons l’habituer de nouveau aux coups de fouet de l’activité et de la compétition. La façon la plus simple d’en sortir est de visualiser pour le soir de notre reprise un avenir agréable, comme de nouvelles vacances, des mini-vacances, ou simplement une activité qui nous procure du plaisir pour la fin de la journée, cela nous donnera l’énergie dont nous avons besoin pour assumer cette journée.

    Continuons les vacances dans notre tête

    La reprise de notre activité ne doit pas entamer les souvenirs agréables de nos vacances. Parlons-en à notre entourage, montrons des photos sur notre smartphone, revivre nos activités estivales estompera la monotonie du travail.

    Bien sûr, dès que nous le pouvons, pensons à nos prochaines vacances pour nous donner une perspective agréable et un nouvel objectif à atteindre. Nous devons en tous cas vite revenir à notre rythme de travail pour retrouver notre efficacité.

  • Décrocher rapidement un entretien d'embauche

     

    Des conseils pour décrocher rapidement un entretien d’embauche

    L’entretien d’embauche est notre moment de briller et de sortir notre argumentaire pour convaincre le recruteur que nous sommes la personne qu’il recherche. Mais, faut-il encore arriver à cette étape si importante. Pour réussir à retenir l’attention et à être invité à cette rencontre cruciale, il faut, bien entendu, envoyer un dossier de candidature en béton, mais ce n’est pas la seule technique à notre disposition.

    Plusieurs stratégies à mettre en pratique pour recevoir un appel pour un entretien d’embauche en un clin d’œil et commencer notre prochaine aventure professionnelle.

    Rendons notre CV attractif et convaincant

    Le CV reste notre premier contact avec le recruteur et notre outil principal pour le convaincre de nous donner notre chance. Il est essentiel de le retravailler et de le dépoussiérer pour présenter notre profil sous son meilleur jour.

    Il est conseillé d’écrire un objectif professionnel dans notre CV (ou une phrase d’accroche), de sélectionner les expériences pertinentes pour le poste et d’indiquer les compétences (hard skills et soft skills) recherchées dans l’annonce, sans mentir bien évidemment.

    Veillons également à soigner la présentation de notre curriculum vitae pour faire en sorte que la lecture soit agréable. Créons une mise en page claire, épurée, aérée et lisible.

    Mettons à jour notre profil en ligne

    À l’heure actuelle, la recherche d’emploi passe aussi par les réseaux sociaux professionnels tels que LinkedIn.. Notre profil en ligne peut donc être la première impression que les recruteurs se font de nous, avant même de consulter notre CV.

    Avoir un profil complet et à jour, notamment sur LinkedIn, peut augmenter nos chances d’être contacté pour des opportunités d’emploi. En effet, les employeurs utilisent souvent les réseaux pour rechercher des candidats potentiels, en particulier pour des postes hautement qualifiés.

    Autre avantage à prendre en compte, les réseaux sociaux sont également utilisés pour créer des connexions avec des professionnels de notre secteur d’activité. En étant actif en ligne, nous pouvons élargir notre réseau et trouver des opportunités d’emploi « cachées ».

    Ne négligeons pas le réseautage

    Pour rebondir sur le point précédent, le réseautage peut être très avantageux pour trouver un emploi. Il peut s’agir de connexions en ligne sur LinkedIn ou autre, comme nous venons de le mentionner, mais aussi de rencontres en chair et en os.

    Nous pouvons notamment nous rendre à des salons professionnels, à des conférences ou à des événements, entre autres, pour rencontrer des personnes qui travaillent dans notre secteur d’activité.

    Ces nouveaux contacts peuvent nous présenter à des employeurs potentiels, nous recommander pour des postes vacants ou nous aider à rester au courant des dernières tendances et des évolutions dans notre domaine.

    Soyons actif et régulier

    Soyons régulier dans notre recherche d’emploi. Consultons les annonces de plusieurs sites au moins une fois par jour et, si une opportunité se présente, ne tardons pas trop de temps à envoyer notre candidature.

    Il est utile de mettre en place une veille, en créant des alertes « emploi » sur les sites d’annonces (LinkedIn, Indeed, Monster, etc.) ou en nous inscrivant à une newsletter, par exemple.

    N’oublions pas de consulter notre boîte mail régulièrement au cas où une alerte est intéressante ou si nous avons reçu une réponse à notre candidature.

    Faisons preuve d’audace et d’initiative

    Si une entreprise nous a tapé dans l’œil, car nous pensons que ses projets ou ses valeurs nous correspondent, mais qu’elle n’a publié aucune annonce de poste vacant, nous ne perdons rien à tenter d’envoyer notre candidature spontanée.

    En effet, il se peut que l’entreprise n’ait pas encore publié l’offre d’emploi pour notre fonction, mais s’apprête à le faire, ou que nos compétences correspondent à un manque de ressources détecté en interne.

    Il se peut que notre candidature n’aboutisse à rien, mais un peu d’initiative peut avoir un résultat positif inattendu. Les ressources humaines peuvent également décider de conserver notre profil au cas où un poste viendrait à se libérer au sein de l’entreprise.

    Relançons le recruteur (avec modération)

    Si nous avons les coordonnées du recruteur ou du responsable RH de l’entreprise auprès de laquelle nous avons postulé, nous pouvons reprendre contact avec lui par e-mail ou par téléphone pour indiquer que nous avons envoyé notre candidature et que nous sommes disponible pour un entretien.

    Faire le suivi de notre candidature de cette manière nous permettra de montrer notre motivation, notre détermination et notre réel intérêt pour le poste à pourvoir. Nous pourrons également vérifier que notre dossier a bien été reçu.

    À noter que les relances sont acceptables une ou deux fois maximum, faisons attention à ne pas tomber du côté du harcèlement et du forcing. Trop insister mènera à l’inverse de l’effet escompté.

  • Décrocher rapidement un entretien d'embauche

     

    Des conseils pour décrocher rapidement un entretien d’embauche

    L’entretien d’embauche est notre moment de briller et de sortir notre argumentaire pour convaincre le recruteur que nous sommes la personne qu’il recherche. Mais, faut-il encore arriver à cette étape si importante. Pour réussir à retenir l’attention et à être invité à cette rencontre cruciale, il faut, bien entendu, envoyer un dossier de candidature en béton, mais ce n’est pas la seule technique à notre disposition.

    Plusieurs stratégies à mettre en pratique pour recevoir un appel pour un entretien d’embauche en un clin d’œil et commencer notre prochaine aventure professionnelle.

    Rendons notre CV attractif et convaincant

    Le CV reste notre premier contact avec le recruteur et notre outil principal pour le convaincre de nous donner notre chance. Il est essentiel de le retravailler et de le dépoussiérer pour présenter notre profil sous son meilleur jour.

    Il est conseillé d’écrire un objectif professionnel dans notre CV (ou une phrase d’accroche), de sélectionner les expériences pertinentes pour le poste et d’indiquer les compétences (hard skills et soft skills) recherchées dans l’annonce, sans mentir bien évidemment.

    Veillons également à soigner la présentation de notre curriculum vitae pour faire en sorte que la lecture soit agréable. Créons une mise en page claire, épurée, aérée et lisible.

    Mettons à jour notre profil en ligne

    À l’heure actuelle, la recherche d’emploi passe aussi par les réseaux sociaux professionnels tels que LinkedIn.. Notre profil en ligne peut donc être la première impression que les recruteurs se font de nous, avant même de consulter notre CV.

    Avoir un profil complet et à jour, notamment sur LinkedIn, peut augmenter nos chances d’être contacté pour des opportunités d’emploi. En effet, les employeurs utilisent souvent les réseaux pour rechercher des candidats potentiels, en particulier pour des postes hautement qualifiés.

    Autre avantage à prendre en compte, les réseaux sociaux sont également utilisés pour créer des connexions avec des professionnels de notre secteur d’activité. En étant actif en ligne, nous pouvons élargir notre réseau et trouver des opportunités d’emploi « cachées ».

    Ne négligeons pas le réseautage

    Pour rebondir sur le point précédent, le réseautage peut être très avantageux pour trouver un emploi. Il peut s’agir de connexions en ligne sur LinkedIn ou autre, comme nous venons de le mentionner, mais aussi de rencontres en chair et en os.

    Nous pouvons notamment nous rendre à des salons professionnels, à des conférences ou à des événements, entre autres, pour rencontrer des personnes qui travaillent dans notre secteur d’activité.

    Ces nouveaux contacts peuvent nous présenter à des employeurs potentiels, nous recommander pour des postes vacants ou nous aider à rester au courant des dernières tendances et des évolutions dans notre domaine.

    Soyons actif et régulier

    Soyons régulier dans notre recherche d’emploi. Consultons les annonces de plusieurs sites au moins une fois par jour et, si une opportunité se présente, ne tardons pas trop de temps à envoyer notre candidature.

    Il est utile de mettre en place une veille, en créant des alertes « emploi » sur les sites d’annonces (LinkedIn, Indeed, Monster, etc.) ou en nous inscrivant à une newsletter, par exemple.

    N’oublions pas de consulter notre boîte mail régulièrement au cas où une alerte est intéressante ou si nous avons reçu une réponse à notre candidature.

    Faisons preuve d’audace et d’initiative

    Si une entreprise nous a tapé dans l’œil, car nous pensons que ses projets ou ses valeurs nous correspondent, mais qu’elle n’a publié aucune annonce de poste vacant, nous ne perdons rien à tenter d’envoyer notre candidature spontanée.

    En effet, il se peut que l’entreprise n’ait pas encore publié l’offre d’emploi pour notre fonction, mais s’apprête à le faire, ou que nos compétences correspondent à un manque de ressources détecté en interne.

    Il se peut que notre candidature n’aboutisse à rien, mais un peu d’initiative peut avoir un résultat positif inattendu. Les ressources humaines peuvent également décider de conserver notre profil au cas où un poste viendrait à se libérer au sein de l’entreprise.

    Relançons le recruteur (avec modération)

    Si nous avons les coordonnées du recruteur ou du responsable RH de l’entreprise auprès de laquelle nous avons postulé, nous pouvons reprendre contact avec lui par e-mail ou par téléphone pour indiquer que nous avons envoyé notre candidature et que nous sommes disponible pour un entretien.

    Faire le suivi de notre candidature de cette manière nous permettra de montrer notre motivation, notre détermination et notre réel intérêt pour le poste à pourvoir. Nous pourrons également vérifier que notre dossier a bien été reçu.

    À noter que les relances sont acceptables une ou deux fois maximum, faisons attention à ne pas tomber du côté du harcèlement et du forcing. Trop insister mènera à l’inverse de l’effet escompté.

  • Décrocher rapidement un entretien d'embauche

     

    Des conseils pour décrocher rapidement un entretien d’embauche

    L’entretien d’embauche est notre moment de briller et de sortir notre argumentaire pour convaincre le recruteur que nous sommes la personne qu’il recherche. Mais, faut-il encore arriver à cette étape si importante. Pour réussir à retenir l’attention et à être invité à cette rencontre cruciale, il faut, bien entendu, envoyer un dossier de candidature en béton, mais ce n’est pas la seule technique à notre disposition.

    Plusieurs stratégies à mettre en pratique pour recevoir un appel pour un entretien d’embauche en un clin d’œil et commencer notre prochaine aventure professionnelle.

    Rendons notre CV attractif et convaincant

    Le CV reste notre premier contact avec le recruteur et notre outil principal pour le convaincre de nous donner notre chance. Il est essentiel de le retravailler et de le dépoussiérer pour présenter notre profil sous son meilleur jour.

    Il est conseillé d’écrire un objectif professionnel dans notre CV (ou une phrase d’accroche), de sélectionner les expériences pertinentes pour le poste et d’indiquer les compétences (hard skills et soft skills) recherchées dans l’annonce, sans mentir bien évidemment.

    Veillons également à soigner la présentation de notre curriculum vitae pour faire en sorte que la lecture soit agréable. Créons une mise en page claire, épurée, aérée et lisible.

    Mettons à jour notre profil en ligne

    À l’heure actuelle, la recherche d’emploi passe aussi par les réseaux sociaux professionnels tels que LinkedIn.. Notre profil en ligne peut donc être la première impression que les recruteurs se font de nous, avant même de consulter notre CV.

    Avoir un profil complet et à jour, notamment sur LinkedIn, peut augmenter nos chances d’être contacté pour des opportunités d’emploi. En effet, les employeurs utilisent souvent les réseaux pour rechercher des candidats potentiels, en particulier pour des postes hautement qualifiés.

    Autre avantage à prendre en compte, les réseaux sociaux sont également utilisés pour créer des connexions avec des professionnels de notre secteur d’activité. En étant actif en ligne, nous pouvons élargir notre réseau et trouver des opportunités d’emploi « cachées ».

    Ne négligeons pas le réseautage

    Pour rebondir sur le point précédent, le réseautage peut être très avantageux pour trouver un emploi. Il peut s’agir de connexions en ligne sur LinkedIn ou autre, comme nous venons de le mentionner, mais aussi de rencontres en chair et en os.

    Nous pouvons notamment nous rendre à des salons professionnels, à des conférences ou à des événements, entre autres, pour rencontrer des personnes qui travaillent dans notre secteur d’activité.

    Ces nouveaux contacts peuvent nous présenter à des employeurs potentiels, nous recommander pour des postes vacants ou nous aider à rester au courant des dernières tendances et des évolutions dans notre domaine.

    Soyons actif et régulier

    Soyons régulier dans notre recherche d’emploi. Consultons les annonces de plusieurs sites au moins une fois par jour et, si une opportunité se présente, ne tardons pas trop de temps à envoyer notre candidature.

    Il est utile de mettre en place une veille, en créant des alertes « emploi » sur les sites d’annonces (LinkedIn, Indeed, Monster, etc.) ou en nous inscrivant à une newsletter, par exemple.

    N’oublions pas de consulter notre boîte mail régulièrement au cas où une alerte est intéressante ou si nous avons reçu une réponse à notre candidature.

    Faisons preuve d’audace et d’initiative

    Si une entreprise nous a tapé dans l’œil, car nous pensons que ses projets ou ses valeurs nous correspondent, mais qu’elle n’a publié aucune annonce de poste vacant, nous ne perdons rien à tenter d’envoyer notre candidature spontanée.

    En effet, il se peut que l’entreprise n’ait pas encore publié l’offre d’emploi pour notre fonction, mais s’apprête à le faire, ou que nos compétences correspondent à un manque de ressources détecté en interne.

    Il se peut que notre candidature n’aboutisse à rien, mais un peu d’initiative peut avoir un résultat positif inattendu. Les ressources humaines peuvent également décider de conserver notre profil au cas où un poste viendrait à se libérer au sein de l’entreprise.

    Relançons le recruteur (avec modération)

    Si nous avons les coordonnées du recruteur ou du responsable RH de l’entreprise auprès de laquelle nous avons postulé, nous pouvons reprendre contact avec lui par e-mail ou par téléphone pour indiquer que nous avons envoyé notre candidature et que nous sommes disponible pour un entretien.

    Faire le suivi de notre candidature de cette manière nous permettra de montrer notre motivation, notre détermination et notre réel intérêt pour le poste à pourvoir. Nous pourrons également vérifier que notre dossier a bien été reçu.

    À noter que les relances sont acceptables une ou deux fois maximum, faisons attention à ne pas tomber du côté du harcèlement et du forcing. Trop insister mènera à l’inverse de l’effet escompté.

  • Booster notre vie professionnelle

     

    Des intelligences pour booster notre vie professionnelle

    Rien ne prouve qu’un QI élevé est une condition préalable à la réussite. Des cursus prospères sont encore aujourd’hui l’atout de cadre avec pas ou peu de diplôme, démontrant que la « débrouillardise » l’emporte sur intelligence. Mais de quelle intelligence avons-nous besoin pour réussir ? Celui qui gagne doit bien sûr couvrir le plus large éventail des formes d’intelligence. Voici les  formes les plus communément reconnues comme prioritaires pour réussir dans notre vie active.

    L’intelligence des mots

    Celui qui a cet atout jouit d’une intelligence linguistique élevée qui lui facilite l’utilisation des mots et des langues. Il est généralement doué pour communiquer ses idées, lire, écrire et s’exprimer. Ces compétences lui sont nécessaires pour diriger une équipe, vendre des idées à des clients et à des  investisseurs ou rédiger un business plan convaincant.

    L’intelligence sociale

    Savoir interagir à un niveau élevé de manière très efficace nous permet de bien nous positionner vis-à-vis des autres car nous sommes capable d’empathie, pour sentir les sentiments, les motivations et les tempéraments de nos interlocuteurs. Nous parvenons ainsi aisément à gagner leur confiance et leur soutien, habile négociateur nous aimons travailler avec les autres.

    L’intelligence intra-personnelle

    C’est la capacité à comprendre nos propres forces, à identifier nos faiblesses et nos motivations, pour optimiser notre stratégie et la mise en œuvre de nos projets. Fort de cet enseignement, avec cet atout nous savons nous entourer des compétences qui nous manquent, de conseillers et partenaires qui compensent nos zones d’inconfort.

    L’intelligence logico-mathématique

    Elle recouvre notre capacité à calculer, quantifier et penser logiquement. Le cadre ainsi doué aime et sait résoudre des problèmes, il travaille avec les chiffres, pose des questions, et explore des modèles et des possibilités. En procédant de façon analytique et structurée, il parvient à élaborer et à développer des solutions spécifiques en cohérence avec les moyens de l’entreprise et les potentialités du marché.

    L’intelligence naturaliste

    Avec cette vision environnementale et culturelle, nous développons une compréhension sensible, éthique et holistique de l’environnement et de ses complexités. Nous nous servons de cette qualité pour identifier de nouveaux marchés, anticiper des tendances, élaborer des campagnes, nous savons mieux que les autres classifier les éléments d’une situation, les caractéristiques communes, observer, faire des analogies, comprendre la structure interne d’un process, ou d’une machine, identifier des repères…

    Cette intelligence nous rend sensible à ce qui vit autour de nous et nous facilite la compréhension de l’environnement dans lequel nous évoluons.

    L’intelligence spatiale

    Elle nous permet de penser en trois dimensions et de visualiser avec l’œil de l’esprit. Recouvrant l’imagerie mentale, le raisonnement spatial et l’imagination active, avec cette forme d’intelligence, nous aimons traiter l’information sous forme de graphiques et de schémas, ou de cartographie.

    Un atout important en matière de marketing, pour concevoir une solution et élaborer l’image de marque d’un produit, d’un service ou d’une entreprise.

    L’intelligence kinesthésique

    Elle implique le sens du timing et la coordination corps-esprit. C’est l’intelligence du mouvement qui facilite l’expression par l’action plus que par les mots. Elle nous permet généralement une bonne coordination des gestes, un langage corporel fort, a priori nous aimons la mise en scène, la théâtralisation de notre activité et les jeux de rôle.

    Un atout pour créer et lancer de nouveaux produits, mais aussi pour réussir un leadership s’appuyant sur une prise de parole aisée en public.

    L’intelligence musicale

    La sensibilité aux sons facilite l’entrée en relation avec les autres et le ressenti du rythme des événements. L’intelligence musicale nous permet d’apprécier un rythme, une tonalité ou un timbre chez une personne, dans une situation ou une ambiance. Nous sentons plus que nous ne comprenons, nous nous fions à la musique des paroles, aux symboles, aux rythmes des choses et à l’harmonie des actions. Ces qualités peuvent nous aider directement ou indirectement à très bien écouter, à orchestrer des événements et à développer des programmes de marketing.

    En plus de l’intelligence, tout cadre en herbe doit se pencher sur la mentalité. Le meilleur état d’esprit pour réussir est d’accueillir les défis  comme des aventures excitantes, les revers comme des opportunités d’apprendre et d’être convaincu que le travail, l’effort et la persévérance permettent de surmonter tous les obstacles. Si nous avons cet état d’esprit, avec certaines facettes des différentes intelligences décrites, nous sommes bien “équipé” pour devenir un cadre qui gagne.

  • Convaincre un recruteur

     

    Convaincre un recruteur

    En dehors des critères relatifs au poste, des conditions à remplir pour convaincre un recruteur de la pertinence de notre candidature. Et si cela ne marche pas du premier coup, n’en faisons pas une affaire, nous pouvons perdre la bataille d’un entretien et gagner la conquête de notre emploi.

    -Rassurons le recruteur sur notre candidature

    Quelle que soit l’étape du processus de recherche où nous nous trouvons, nous devons continuer à suivre le consultant, le chasseur ou le recruteur. Dès notre lettre ou mail de motivation nous devons manifester notre engagement, et prendre contact par téléphone quelques jours après notre entretien. Un suivi s’impose de manière régulière, par e-mail, téléphone, voire sms. Un suivi régulier et poli – éviter le harcèlement – fait souvent la différence et démontre notre ténacité, peut-être n’est-il pas encore trop tard. Et si nous n’obtenons pas un retour, au bout de quelques semaines, laissons tomber, nous avons eu affaire à un mauvais professionnel du recrutement ou un employeur. Nous l’avons finalement échappé belle.

    -Argumentons notre candidature

    Dès les premières minutes, évitons de montrer pas notre hâte à quitter l’entreprise dans laquelle nous nous trouvons, mettons plutôt en avant les atouts que retirera l’entreprise qui recrute en nous choisissant. Ne nous présenter pas comme un cadre en quête d’un poste, le recruteur cherche un cadre compétent et motivé, pas un demandeur d’emploi. Notre comportement ne doit pas susciter de questions à notre interlocuteur, préparons-nous à lui apporter des réponses, la bonne étant celle qui décrit la pertinence de notre éventuelle contribution à cette entreprise, et en quoi notre expérience fait de nous le candidat recherché. Cela implique qu’en amont de cet échange, nous ayons bien identifié nos atouts et nos déficits de compétences et expériences, pour pouvoir en parler en toute sincérité, ce qui montre au recruteur notre maturité, notre recul par rapport à nous même et notre sens des responsabilités, qui doivent le rassurer.

    -Passons vite à autre chose si une candidature interne est préférée

    Cela arrive à des cadres très professionnels. Nous n’y pouvons rien, c’est la faute à pas de chance, nous devons comprendre que le fait de recruter un cadre est un acte stressant pour le recruteur, il cherche donc à se rassurer et trouve une solution idéale par une cooptation interne. Passons vite à une autre opportunité, nos compétences et notre présentation sont hors de cause, et continuons nos actions.

    -Transmettons notre enthousiasme et notre intérêt

    Pendant cette rencontre, nous devons poser des questions pertinentes sur l’entreprise, ce qui implique que nous nous soyons bien préparé en menant des recherches adaptées, nous permettant de communiquer sur la valeur ajoutée que nous pouvons apporter. Oublions le temps de l’entretien notre situation de « sans emploi » si cela est le cas, elle nous tourne vers le passé. La recherche d’emploi est toujours plus ou moins longue et frustrante,  malgré tout nous devons faire preuve d’intérêt, d’énergie et de confiance pour nous positionner en candidat idéal.

    -Ecoutons, écoutons et écoutons encore

    Cela arrive souvent, parce que nous sommes trop occupé par notre cas, trop obsédé par notre recherche, nous nous écoutons tellement que nous n’entendons plus l’autre. Nous risquons à certains moments de mal répondre ou de le faire à côté de la plaque, ce qui indique au recruteur que nous manquons de concentration à cause d’une émotivité excessive, de discernement ou d’intérêt, ou que nous avons mal écouté, et par conséquent mal répondu. Bien nous préparer à un entretien exige de nous renseigner et d’anticiper les questions et les réponses à faire, pour le moment venu nous concentrer et réussir.

    -Racontons notre histoire professionnelle

    Tout le monde aime écouter une histoire, même un recruteur. C’est vrai, le débit chronologique de notre CV est des plus ennuyeux, alors que la narration de situations rencontrées, d’obstacles surmontés, de défis relevés… suscite l’écoute du recruteur.

    Le candidat conteur saisit son interlocuteur car il s’exprime de façon naturelle, tout ce qu’il dit semble si simple et si fluide.

    Efforçons-nous de préparer notre histoire, trouvons dans notre parcours les événements forts, intenses voire dramatiques, et mettons-nous en scène. Il ne s’agit pas d’inventer des aventures mais de nous raconter pour capter l’attention et l’intérêt. En pratiquant avec loyauté – par rapport à la réalité des faits – le storytelling, nous toucherons le recruteur qui se rappellera de nous. Truffons notre discours de petits détails qui aident à entrer dans l’histoire, nous ferons la différence avec les autres candidats qui ont débité leur parcours standardisé, à condition de posséder les pré-requis techniques et professionnel du poste bien sûr.

  • رجاء

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  • Ecrire un CV

    Débouchant sur un rendez-vous, les secrets de la lettre de motivation

    En rédigeant une lettre de motivation pour un poste, pour qu’elle débouche sur un rendez-vous, je dois m’oublier et parler plus de ce que recherche l’entreprise qui recrute.

    1 – Une lettre courte pour qu’elle soit lue en quelques secondes

    Il n’existe pas de règles de forme pour rédiger une lettre idéale. Pour certains, ils privilégient son organisation en trois paragraphes : le premier sert d’introduction, le deuxième communique l’essentiel du message, et le troisième présente une conclusion.

    Au-delà de ces considérations académiques, je dois me mettre à la place de celui qui va la lire. Son temps est précieux , le responsable de recrutement ou le dirigeant, s’il mène lui même l’opération, fait souvent une première lecture en diagonale, il veut se faire en quelques secondes une idée de celui qui présente sa candidature.

    Je marquerai un point si je lui adresse un courrier succinct.

    2 – Une première phrase qui accroche et bannir le mot “Je”

    Pour susciter l’intérêt, je dois déjà démarrer ma première phrase par « vous » et non par « je ». Le « vous » va l’interpeller et il sera enclin à poursuivre sa lecture. Cela ne sert à rien de lui asséner en lever de rideau que je sollicite tel poste parce que j’en ai les compétences. C’est évident, et tout le monde le fait. C’est le meilleur moyen de perdre son attention.

    L’idéal est d’écrire ma lettre de motivation en bannissant le mot “je”. Dans cette affaire, ce qui compte c’est l’intérêt de mon lecteur, son but, sa préoccupation, et surtout pas mon sort professionnel, ou moi qu’il ne connait pas et ne connaîtra peut-être jamais.

    3 – Ne pas dire du bien de mon CV mais le bien qu’en retirera l’entreprise qui recrute

    Cela ne sert à rien, si ce n’est lasser mon lecteur, de ressasser mon curriculum vitae dans ma lettre. Il a mon CV et, si je l’ai rédigé d’une manière efficace, il va s’en servir. La lettre d’accompagnement doit mettre en valeur l’intérêt que je porte à l’entreprise, et surtout les compétences et talents que j’apporte.

    Autant mettre en exergue à ce niveau les exigences du poste à pourvoir et démontrer l’adéquation entre ce qu’il cherche et ce que je suis présente professionnellement.

    4 – Adresser la lettre à une personne plus qu’à une entreprise

    N’oublions pas que je m’ adresse à une personne, plus qu’à une entreprise. Je parle à une femme ou un homme qui la représente, et sera sensible aux égards que je lui montrerai. Il faut se renseigner sur son destinataire avant de commencer la rédaction de ma lettre, trouver son nom et son prénom et l’intitulé exact de ses fonctions. Rien de plus facile aujourd’hui avec internet, Google et les réseaux sociaux.

    Cela va de soi, je ne m’adresse pas de la même manière à un ingénieur et à un psychologue, à un Directeur des Ressources Humaines et à un directeur général ou à un responsable de recrutement.

    Ce qui compte, c’est satisfaire le centre d’intérêt du recruteur, répondre à son objectif, et faire écho à sa sensibilité. Si à travers les mots que je lui adresse, il devine que je peux être un début de solution au problème qu’il a à résoudre, c’est gagné.

    Mon CV : je ne laisse pas les autres le faire à ma place !

    5 – Une lettre personnalisée selon la culture de l’entreprise

    Il va de soi que je ne m’adresse pas de la même manière à un recruteur d’un grand groupe qu’à celui d’une start up dans les nouvelles technologies. La culture d’une entreprise conditionne la personnalité du cadre qu’elle recrute. A partir de ce que je sais de la culture d’une entreprise, je décide de la forme de ma candidature.

    En me sentant en harmonie, je ferai facilement passer dans mon message des informations et un ton qui laissent supposer que je suis en phase avec la culture de cette entreprise.

    Pour connaître cette dernière, rien de plus facile que de mener mon enquête sur internet. Un ton direct et décontracté tombera à plat aux yeux du recruteur d’une entreprise à la culture conventionnelle, alors qu’il attirera le jeune patron d’une start up.

    Le vieux dicton qui se ressemble s’assemble. Ma lettre de motivation est en ce sens mon premier acte d’intégration à l’entreprise.

    Bien choisir les mots qui boostent mon cv !

    6 – Une lettre sans faute

    Attention aux cédilles, accents, ponctuations, traits d’union, accords du participe passé avec le verbe avoir… ma lettre de motivation n’est pas un SMS. Le recruteur considère l’orthographe comme un critère de sélection.

    Attention, si j’écris ma lettre directement sur mon PC et l’envoie par mail, sur un écran, à plus forte raison si je suis l’auteur du texte, je ne vois et ne perçois pas les fautes. L’imprimer et la lire, je verrai tout de suite ce qui ne va pas, ou la faire relire par un proche (une autre personne).

    La faute est irrecevable à plus forte raison pour un cadre, supérieur ou dirigeant. On ne peut pas confier la responsabilité d’un centre de profit à un cadre qui ne sait pas envoyer un mail correctement écrit à son équipe.

    Une faute trahit un manque de sérieux, d’organisation et de respect de la langue et du destinataire. Alors je relis attentivement, j’imagine que je correspondais parfaitement aux exigences du poste à pourvoir, ce serait stupide de le rater juste à cause d’une rédaction négligée.
    Le plus important : est tout le bien que retirera l’entreprise à acquérir mes compétences en me recrutant.

  • Rôle des RH dans l'entreprise

     

    Le rôle des RH dans l’entreprise

    La conception de la gestion des RH diffère d’une entreprise à une autre. Chacune la conçoit à sa façon,  ce qui influe sur le rôle dévolu aux responsables du personnel au sein de l’entreprise et dans le cadre de leurs activités et des entretiens qu'ils mènent.

    Principaux rôles du service RH dans l’entreprise

    Les trois rôles principaux du service RH dans l’entreprise sont:

    Stratégie M RH «Management Ressources Humaines»

    Les ressources humaines sont considérées comme le partenaire stratégique des responsables de ligne. Le personnel n’est plus (seulement) regardé comme un facteur-coûts mais comme une composante importante de la réussite de l’entreprise. Le management du personnel revêt donc une importance stratégique au même titre que la taille de l’entreprise, la part de marché, le niveau technologique des produits, la maitrise des coûts, etc. L’entreprise qui gère un personnel qualifié possède un avantage sur la concurrence. Ainsi par exemple, sécurité de l’emploi, commitment (attachement, loyauté), niveau salarial suffisant, évolution de carrière ciblée et leadership peuvent se révéler être des avantages concurrentiels. Intégrer la stratégie de l’entreprise dans la stratégie MRH devient donc une nécessité.

    Processus de management RH

    C’est le Rôle traditionnel des RH: définition, maintien et perfectionnement des procédures professionnelles et des instruments du recrutement,   du développement, de l’évaluation, de la rémunération et de la promotion du personnel.

    Les RH fixent, par exemple, le processus de sélection du personnel du profil requis jusqu’à l’initiation des employé(e)s et conviennent avec les responsables de ligne du rôle respectif des supérieurs hiérarchiques et des collaboratrices et collaborateurs RH dans le processus global. Ils soutiennent les supérieurs directs en fournissant les modèles de description de poste, les profils requis, les fils conducteurs d’entretiens, etc. et viennent en soutient des phases individuelles de sélection ou les prennent en charge dans leur totalité (p.ex. présélection, recherches de références, etc.). De même, pour le processus d’évaluation du personnel, les ressources humaines élaborent le processus, le calendrier et les instruments appropriés. Le système salarial et ses modalités d’application bien particulières ainsi que le processus de fixation des salaires pour les cas individuels et la tenue des négociations salariales sont d’autres exemples du même ordre.

    Coopération partenariale et administration des ressources humaines

    Comme les prestations globales pour tous les processus RH comme marketing du personnel, sélection du personnel, rémunération, etc. Les tâches ci-après font partie du domaine de l’administration: missions d’information telles que la gestion des dossiers du personnel et les statistiques, traitement des mouvements de personnel (entrées et sorties), etc., tenue des comptes tels que les bulletins de salaire et le décompte avec les assurances sociales, missions de signalement comme l’arrivée à terme d’une période d’essai, informations aux assurances sociales ainsi que les tâches de contrôle en cas de maladie, saisie du temps de travail, contrôle des congés, etc. Les RH peuvent en plus assumer d’autres prestations pour décharger les responsables de ligne. Par exemple, dans le domaine du marketing de personnel, en assurant l’approche ciblée et directe de candidat(e)s potentiel(le)s et en garantissant leur présélection de façon autonome.

    Aux rôles ci-dessus peuvent aussi être ajoutées les missions suivantes:

    • Centre de compétence: conseillère/conseiller de la ligne et des employé(e)s pour les questions spécifiques du droit du travail, les questions relatives aux assurances sociales, etc.
    • Interlocuteur des cadres dirigeants et du personnel pour répondre à toutes les demandes: en cas d’évolution négative, avocat(e) du personnel face aux responsables de ligne ou face à la direction.
    • Contrôle: définir ou fixer les objectifs dans le secteur du personnel, traiter et discuter les résultats. En cas d’évolution défavorable, rôle de police: surveillance des décisions prises par les lignes. Entre ces deux variantes se situe la difficile tâche de pouvoir imposer le respect des règles.  

  • La GRH

     

    Gestion des Ressources Humaines GRH

    La gestion des ressources humaines GRH, anciennement la gestion du personnel, est une des bases fondamentales qui permettent le développement de tout organisme professionnel, il s’agit d’une activité qui vise à améliorer la relation et la communication transversale, tout en faisant respecter l’organigramme de l’entreprise.

     

    Définition des Ressources Humaines

    Les ressources humaines peuvent être définies comme l'ensemble de pratiques du management, ayant pour objectif de mobiliser et développer les ressources humaines, afin d’obtenir une plus grande productivité et une meilleure qualité de travail.

    Ces pratiques  visent principalement la valorisation des compétences, de la motivation, l’information et l’organisation.

    Elles permettent, également, d'aborder la relation de l'organisation avec son collaborateur depuis son recrutement jusqu’à son départ de l'entreprise (retraite, licenciement, démission ...).

     

    Les Ressources Humaines et la stratégie de l’entreprise

    Les ressources humaines participent à la stratégie de l’entreprise.

    En plus de la gestion du personnel, la gestion des ressources humaines doit être le partenaire de la stratégie de l'entreprise au quotidien, en gérant et accompagnant le changement, avec des politiques de formation et de développement des compétences.

    Elle doit aussi administrer le quotidien c'est-à-dire régler la paye, gérer le tâches administratives et répondre aux obligations légales.

    Le service RH sait que la paie a un double enjeux dans l'entreprise. C'est une charge mais aussi un élément de motivation pour les salariés.

    Le DRH doit savoir gérer l'équilibre entre les deux caractéristiques de la paie.

    La gestion des ressources humaines inclus plusieurs postes, et leur nombre varie selon l’importance de l’entreprise et l’ampleur de ses activités. Les postes principaux sont ceux-ci :

    • responsable ressources humaines,
    • responsable recrutement,
    • responsable des relations sociales,
    • responsable et chargé formation,
    • chargé d'administration et système de paie,
    • gestionnaire des carrières et mobilités.

  • Ouverture du site de Bureau

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