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Des règles pour la réussite
- Par bureau_cmrh
- Le 15/02/2023
- Dans Conseils management
Des règles d’or de la définition d’un objectif de réussite
Que nous soyons patron ou cadre dans une entreprise, nous travaillons comme un fou pour atteindre nos objectifs et même les dépasser. Nous réussirons plus vite si nous structurons bien notre action avec une cible et des jalons.
Des règles d’or de la définition d’un objectif de réussite.
Les vertus de la définition d’un objectif
Dans les affaires si nous sommes entrepreneur, ou dans la vie professionnelle si nous sommes cadre, nous agissons pour soi-même, personne ne nous aide à rester sur la bonne voie. Livré à soi-même, nous devons être suffisamment discipliné pour avancer et réussir.
En cela un objectif est utile, il nous aide à nous concentrer sur une ligne, nous oriente et nous évite tout errement. Il nous permet de mesurer le degré de notre réussite, et nous fournit un repère tangible pour nous en rendre compte.
D’où l’importance de définir un objectif de succès. Et tout commence à ce stade fondateur, nous avons à préciser les conditions de notre « satisfaction », il ne s’agit pas de nous donner un but large comme « gagner beaucoup d’argent », ou « avoir plus de responsabilités ». Il est simplement question de fixer quand, comment et combien. Quels que soient nos ambitions et nos objectifs, il nous revient de respecter un certain nombre de règles pour réussir.
– Fixons un objectif qui nous motive
L’objectif que nous nous fixons doit posséder une signification particulière pour nous. Si nous nous donnons un but qui a peu d’importance à nos yeux, il y a de fortes probabilités pour que nous le rations. Trouver un but qui nous interpelle est le meilleur moyen de déclencher une action vers sa réalisation.
Et si nous avons plusieurs objectifs, investissons-nous en priorité sur celui qui nous motive le plus, celui qui parle le plus à nos tripes.
– Précisons les critères d’un objectif aisé à atteindre
Un objectif atteignable répond à des critères précis, il doit être :
– facilement identifiable, aussi précis que possible, sinon il ne nous donne pas suffisamment de directives à suivre ; un but est une lumière qui éclaire notre chemin, et plus elle est claire, plus notre cheminement devient évident.
– mesurable, donnons-nous un délai réaliste à atteindre avec une date, des chiffres, des mois ou des années, des délais précis, nous rendons ainsi nos progrès quantifiables et visualisons plus facilement la ligne d’arrivée. Une échéance donne un sentiment d’urgence qui manque quand l’objectif est vague.
– réalisable, restons honnête avec soi, fixons un objectif ambitieux mais réaliste, et identifions les moyens à mettre en œuvre, les ressources nécessaire pour l’atteindre.
– pertinent, confrontons notre objectif de business ou la direction que nous voulons donner à notre carrière, et évaluons-en la cohérence avec nos possibilités et les conditions du marché à court et long terme.
– Publions et écrivons notre objectif
Peut-être faisons-nous tous les jours ou chaque semaine une liste de « tâches à faire ». Ces marques visibles facilitent la réalisation de nos objectifs quotidiens car nous pouvons en vérifier l’avancement et nous situer dans le temps qui nous reste.
Faisons la même chose pour un objectif à long terme, concrétisons-le en l’écrivant, cette pratique le rend tangible et nous responsabilise.
Si nous préférons, nous pouvons annoncer haut et fort notre objectif à notre entourage, collègue ou amis, ils nous le rappelleront et cela nous motivera à poursuivre notre cible car nous aurons à cœur de ne pas les décevoir.
– Détaillons notre plan d’action en feuille de route
Nous pouvons être si concentré sur le résultat à atteindre et en oublier les différentes étapes nécessaires pour y parvenir. C’est rassurant de noter chaque étape, cela nous montre implicitement comment notre but va être atteint, en fait cela s’appelle une feuille de route qui en cas de désarroi, de découragement ou d’indécision nous aide à repartir et à retrouver le bon cheminement.
– Visons le long terme et agissons à court terme
Encore une fois, le plan d’action que nous avons élaboré officialise notre action pour soi et pour les autres. Alors suivons-le pour réussir, au fur et à mesure de notre progression, car si les choses ne vont pas comme nous voulons, nous pouvons être tenté d’en changer.
Sauf cas de force majeure ou événements exceptionnels, suivons notre ambition, faisons confiance à notre instinct, visons le long terme et agissons à court terme en nous adaptant aux contingences de l’immédiat.
Faisons confiance à notre plan à long terme, suivons-le en restant flexible sur les modalités pour l‘atteindre et nous y arriverons. -
Les critiques renforcent notre capacité de réussir
- Par bureau_cmrh
- Le 15/01/2023
- Dans Conseils management
Comment les critiques renforcent notre capacité de réussir
Peu importe notre projet, si nous avons un rêve et engageons notre énergie pour le réaliser, nous devons malgré tout faire face à des critiques et des remarques décourageantes. Nombreux sont ceux qui repoussent les idées peu ou pas en harmonie avec les leurs, qu’ils ne comprennent pas ou parce qu’elles s’éloignent de leurs valeurs.
1 – Une force émotionnelle incomparable
La poursuite de notre action malgré les obstacles rencontrés garantit la réalisation de notre objectif. La plupart du temps nous tomberons sur des défaitistes dont nous devons nous protéger. La poursuite d’un rêve nous dote d’une force émotionnelle incomparable, car plus nous sommes motivés pour agir différemment et changer le monde, plus nous nous approchons de la réussite.
Plus nous créons et dirigeons, plus le dénigrement et la critique surgissent pour nous dérouter du but. C’est justement l’occasion de développer nos compétences, d’affiner notre stratégie et de booster notre volonté de continuer à avancer. Nous transformerons ainsi nos opposants en grands facteurs de motivation et leur montrerons à quel point ils se trompent à notre sujet et sur notre action. Un dénigreur nous rabaisse souvent pour ne plus se sentir si peu dynamique ou performant.2 – L’occasion de développer la maîtrise de soi
Essuyer des critiques et des conseils d’abandon est courant lorsqu’on poursuit un grand projet qui va changer les choses. Prenons du recul par rapport à ces défaitistes, malveillants et dénigreurs pour bien maîtriser nos réactions émotionnelles. Les personnes négatives ont en partie raison, en réalité rien n’est facile à plus forte raison quand on vise des sommets, mais leur tentative de découragement nous offre l’occasion de développer notre maîtrise de soi.
On aime déstabiliser pour avoir un sentiment de puissance. A partir de ce constat, nous devons nous concentrer sur notre projet pour lui montrer qu’il n’a aucun pouvoir sur nous. Plus nous nous exposons à la négativité des autres, plus nous allons apprendre à bien contrôler nos réactions émotionnelles pour nous mettre à l’abri.
3 – Recentrons notre énergie sur l’action
A chaque dénigrement ou critique, prenons l’habitude de tourner la page. Le rejet n’est pas la fin du monde ni la preuve que notre idée mérite d’être jetée à la poubelle. Profitons de ces remarques à priori décourageantes pour évaluer les atouts de notre projet et éventuellement en tirer un avantage ou une amélioration, puis passons à autre chose. Chaque rejet nous rapproche de l’approbation que nous recherchons, et nous aide à améliorer le processus de réalisation de notre rêve.
Sans le savoir, il recentre notre énergie qui gagne aussi en créativité, nous pouvons ainsi affiner, reformater et perfectionner.
4 – Le courage croît à chaque action courageuse
Le chemin du succès est jalonné de risques, rejets, critiques, et revers de tout genre. Seule la résilience nous fait nous relever et risquer à nouveau. Chaque fois que nous prenons un risque nous devenons émotionnellement plus fort, et chaque revers nous fournit les informations nécessaires à la poursuite de notre action.
Le risque exige le courage, et le courage croît à chaque action courageuse. Baisser les bras requiert zéro effort, alors qu’entreprendre de nouveau forge notre résilience. Le plaisir dérivé du succès n’est pas monétaire, mais psychologique en termes de confiance construite et confortée.
5 – La foi inébranlable dans notre but
Croire profondément à ce que nous faisons et en nos idées développe une forme de résilience qui nous fait résister à tout rejet ou critique. Rien n’est aussi nécessaire au succès que la foi inébranlable dans notre but. Nous croiserons certains qui minimiseront nos idées, d’autres les déroberont tout en nous affirmant qu’elles ne valent rien. Restons vigilant sur les personnes rencontrées et leurs intentions, et protégeons nos idées en les partageant exclusivement avec ceux en qui nous avons toute confiance et respectons.
Partageons éventuellement nos actions avec d’autres acteurs entreprenants et innovants comme nous.
6 – La seule opinion qui compte est la nôtreNul succès ne vient sans effort, travail, chagrins et sueurs. La réussite fréquente peu le faible. Le chemin de la réussite hérissé de doutes, de questionnements et de revers est un vrai défi : restons engagé, résistons, même et surtout quand les circonstances s’assombrissent. Si nous agissons avec passion, nous viendrons à bout de toutes les vicissitudes, car finalement la seule opinion sur notre rêve qui compte est la nôtre, les commentaires négatifs et décourageants des autres reflétant simplement leurs limites, surtout pas les nôtres.
Mieux encore, nous pouvons les remercier car leurs rejets, difficiles à encaisser, ou leurs critiques sévères et déstabilisantes nous apprennent à contrôler nos émotions et à nous en servir à notre avantage. Le succès à la fin est notre plus grande récompense.
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Garder les talents
- Par bureau_cmrh
- Le 21/11/2022
- Dans Conseils management
Comment garder ses talents
Aujourd’hui, les entreprises sont confrontées à ce qui est sans nul doute leur plus grand défi des temps modernes : retenir leurs salariés et recruter les bons profils alors que les attitudes et les perceptions du travail ont été profondément chamboulées.
Si la grande démission est due, dans une certaine mesure, à un examen de conscience induit par les restrictions, de nombreuses organisations n’ont tout simplement pas su gérer la pandémie de manière adéquate. Manquant de flexibilité et de visibilité, elles n’ont pas été suffisamment attentives au burn out numérique de leurs collaborateurs et en paient aujourd’hui le prix fort.
Un Turnover accentué par la pandémie
Que signifie le mot « travail » en 2022 ? À quoi devrait servir le bureau ? Aucun d’entre nous ne peut y répondre avec certitude. Néanmoins, une récente étude de Poly a révélé que plus de la moitié (58 %) des entreprises ont constaté une augmentation de la rotation du personnel, tandis qu’un nombre similaire d’entre elles a averti risquer de mettre la clé sous la porte. Il y a deux ans, la rotation élevée du personnel était compréhensible ; il n’y avait pas de plan directeur ni de guide d’utilisation pour assurer la continuité des activités pendant la Covid-19. Cependant, compte tenu de l’ampleur et de la durée de la crise sanitaire, ainsi que de sa rapide expansion, la société peut à nouveau sombrer dans la tourmente. Les approches de type « attendons de voir » ne suffiront donc pas dans le monde du travail de demain.
Équiper les collaborateurs
Aujourd’hui, les entreprises doivent désormais se préparer à cette éventualité et être capables de passer à l’action, au pied levé. Disposer d’une stratégie pour permettre le travail hybride est donc devenu un impératif. En effet, 68 % des entreprises interrogées estiment que leurs salariés devraient avoir le droit de demander de la flexibilité dans leur travail dès leur premier jour. Ainsi, les collaborateurs ne veulent pas attendre que leurs employeurs s’organisent, mais souhaitent être écoutés et pouvoir poursuivre leur travail, où qu’ils soient. Dès lors qu’ils ne se sentent pas soutenus ou valorisés, ils perdront leur motivation et partiront.
Les entreprises qui ont équipé leur personnel d’appareils et de technologies de réunion de qualité ont considérablement amélioré l’expérience de leurs employés en période de grande incertitude. Cette stratégie a permis de fidéliser les employés et s’est avérée judicieuse sur le plan commercial, car une technologie plus intelligente augmente la productivité. En effet, on constate que plus de 65 % des entreprises françaises pensent que si elles ne s’attaquent pas à leurs plans et processus de travail hybrides, elles commenceront à perdre du personnel et seront donc par conséquent incapables d’attirer de nouveaux talents. En se concentrant sur des stratégies de fidélisation qui fonctionnent réellement et qui sont rapides et faciles à mettre en œuvre, on réduit le travail que les entreprises doivent effectuer pour recruter de nouvelles personnes.
Placer le bureau comme lieu de collaboration
Le bureau que nous connaissions avant la pandémie – un endroit défini et spécifique où nous travaillions une journée entière, rencontrions des collègues et collaborions sur des projets – n’existe plus !
Aujourd’hui, 77 % des organisations prévoient de repenser ou de réaménager le bureau pour adopter de nouvelles méthodes de travail. La façon dont le bureau de demain sera utilisé changera radicalement avec moins de bureaux, plus d’espaces ouverts et de collaboration, ainsi que des lieux dédiés pour se retrouver entre collègues.
La plus grande et la plus longue expérience de travail à domicile a montré aux entreprises qu’elles peuvent et doivent mieux utiliser l’espace, les employés et la technologie. Comme il y aura moins de personnes présentes à l’instant T, une solution évidente pourrait être de réaménager l’espace de bureau pour répondre à un ensemble plus large de besoins des employés : introduisez des zones d’apprentissage ou de tranquillité, créez davantage de salles de réunion de tailles différentes et, enfin, introduisez des zones sociales pour le réseautage et les discussions informelles dont on a tant besoin. De plus, rendez-les réservables afin d’encourager vos équipes à réfléchir réellement à ce qu’elles utilisent, quand et où. Cette avancée a effectivement une portée générale car 76 % des entreprises réaménagent leurs bureaux en y ajoutant des espaces ouverts, des espaces de collaboration, des zones de calme et des espaces de socialisation.
Mettre le collaborateur au premier plan
Le réaménagement du lieu de travail ne doit pas se limiter à la technologie et à l’espace ; ce processus doit être fondamentalement centré sur les salariés. Les lieux de travail de demain doivent être conçus en fonction des besoins individuels de flexibilité, d’accessibilité et d’égalité. Le personnel s’est exprimé et souhaite des possibilités de travail flexible. Il est donc temps pour les employeurs de transformer ce désir en une réalité compétitive et réellement attrayante !
Enfin, les entreprises qui permettent le travail à distance et le travail hybride ouvrent le marché de l’emploi – permettant potentiellement le recrutement depuis n’importe où. Cela contribue à rendre la recherche de talents beaucoup plus inclusive, garantissant un meilleur accès au travail pour tous. Il est également judicieux pour les employeurs de concentrer leurs ressources pour se positionner comme étant un lieu de travail attrayant, plutôt que de gérer des situations où le personnel démotivé finit par partir et doit donc être remplacé. Le travail hybride est essentiel pour retenir et recruter les meilleurs talents !
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Le changement de vie professionnelle : Comment surmonter la peur de l’inconnu ?
- Par bureau_cmrh
- Le 16/10/2022
- Dans Conseils management
Le changement de vie professionnelle :
Comment surmonter la peur de l’inconnu ?
1 – Décomposons le changement pour nous l’approprier
C’est la peur de l’incertitude qui souvent nous fait rester dans notre emploi actuel car nous redoutons l’inconnu, les situations que nous ne connaissons pas, qui peuvent pourtant s’avérer plus faciles à assumer que celles que nous vivons aujourd’hui.
La solution pour dépasser cette inquiétude consiste à planifier notre projet dans le détail. Cela revient à nous approprier le changement en le décomposant au maximum en étapes et processus à mettre en œuvre, petit à petit nous allons nous habituer au changement projeté jusqu’à l’envisager avec confiance et la conviction qu’il doit tout naturellement se produire.
2 – Nous préparer à accepter le rejet de notre candidature
C’est une réaction normale, quitter notre emploi actuel dans lequel nous avons fait nos preuves, nous fait craindre de ne pas être approuvé ailleurs et d’essuyer des rebuffades à répétition. Nous allons en voir de toutes les couleurs et entendre tous les prétextes plus ou moins bien fondés. Pour éliminer cette peur du rejet, préparons-nous à affronter inévitablement ces défis qui vont jalonner notre démarche, en faisant preuve de réalisme. Si nous envisageons un changement de carrière total, nous devrons bien jauger les compétences qui nous manquent, nous former et nous initier à ce nouveau job, avec la conviction que nous devons nous améliorer dans tel ou tel domaine pour devenir un candidat fiable, cela nous préparera à trouver plus justifiée une réponse négative, à accepter plus facilement le rejet de notre candidature, et à moins redouter cette peur.
3 – Oser bousculer une tradition ou un tabou
L’avenir professionnel tel que nous le rêvons se trouve peut-être dans l’entreprise dans laquelle nous sommes déjà. Jusqu’à présent, nous n’avons pas réussi à atteindre la position désirée peut-être parce que nous sommes bloqué par un a priori ou une tradition, si nous sommes une femme, le poste que nous visons n’a jamais été occupé par une femme, et nous avons jusque-là accepté, et suivi le courant. Si ce prétexte est le seul obstacle à notre action, nous nous mettons nous-même un plafond de verre pour ne pas évoluer. Nous devons analyser notre projet non à l’aune de notre sexe mais avec le prisme de notre supérieur hiérarchique qui juge l’opportunité de notre démarche en fonction de la valeur ajoutée que nous apportons à l’entreprise. Et si malgré notre professionnalisme avéré notre seul statut de femme bloque notre avenir, il est urgent d’envisager un autre changement, celui de l’entreprise.
4 – Décider de changer et agir
Comme la plupart des cadres, nous n’aimons pas trop le changement. Nous travaillons dans une certaine routine qui nous rassure et rend selon nous notre réussite plus réalisable, nous lancer dans une nouvelle carrière bousculera cette routine, dans l’accomplissement du travail comme dans notre organisation personnelle (temps de trajet, horaires…). Au lieu de laisser ces appréhensions fort légitimes nous envahir, cherchons à les comprendre pour mieux les surmonter. Nous avons déjà vécu des changements importants, repensons à leur déroulement et nous nous rendrons compte souvent que nos peurs de l’époque ont disparu dès que le changement s’était réalisé. Inspirons-nous de ces expériences réussies pour apprivoiser notre peur d’aujourd’hui. Le meilleur moyen d’avoir moins peur du changement est d’en prendre nous-même la décision, avant que d’autres le fassent pour nous et le plus souvent contre nous.
5 – Jauger objectivement nos atouts
Souvent avant de décider de changer, nous restons paralysé en pensant que nos compétences, nos atouts professionnels sont insuffisants par rapport aux exigences du poste plus important que nous briguons. Le plus souvent c’est un prétexte pour ne pas changer. La peur nous empêche d’y voir clair, il nous revient de chasser de notre esprit ces connotations négatives pour regarder d’un oeil positif nos expériences, et analyser comment chaque job déjà occupé, chaque responsabilité assumée, chaque expérience vécue peuvent nous aider à faire le premier pas, et à nous servir de leviers pour réussir ce changement.
6 – Se méfier des jaloux et des envieux
Prendre une décision, qui bouleverse notre vie professionnelle va bien évidement suscité autour de nous des réactions, nombreuses et très différentes, de notre famille, de nos amis ou nos collègues. Certains n’y croiront pas, mais disons-nous bien que cette réaction reflète leur état d’esprit et pas le nôtre. D’autres sont des envieux – nous faisons ce qu’ils auraient aimé faire – ou des jaloux incapables de gérer leur propre frustration professionnelle. Dans cette période de turbulence, mieux vaut sélectionner notre entourage avec des personnes qui partagent nos idées et sont bienveillantes à notre égard même dans leurs critiques, elles nous apportent leur soutien parce qu’elles nous comprennent et n’envient pas nos aspirations.
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SURMONTER LES ECHECS
- Par bureau_cmrh
- Le 15/10/2022
- Dans Je partage
Nous pouvons tous facilement surmonter les échecs ou les revers.
Savions-nous que Levi Strauss était à l'origine un fabricant de tentes dans les années 1850 ?
Pour fabriquer des tentes, il utilisait un tissu denim résistant qu'il avait inventé. Il a échoué dans son entreprise de fabrication de tentes. Il a utilisé ce tissu pour fabriquer des jeans. Nous nous demandons ce que nous porterions tous s'il avait réussi dans son entreprise de fabrication de tentes ?
Possible que nous aimons tous ce genre d'histoires.La plupart des histoires de réussite sont des voyages qui comportent des obstacles, des échecs, des détours, des barrages... mais ces obstacles sont des ingrédients clés de la réussite.
Nous ne pouvons pas réussir dans une entreprise personnelle ou professionnelle sans ces ingrédients. Les difficultés nous apprennent à élargir notre réflexion, à recadrer nos situations et à étendre nos possibilités.
Si nous étions l'éditeur du dictionnaire, nous définirions le succès comme une série d'erreurs, de petits pas, d'accomplissements, de détours, de barrages, de rêves et de persévérance qui nous mènent finalement au but souhaité.
Peut-être que si nous nous attendions à ces échecs, nous pourrions les accepter au lieu de penser qu'ils sont des raisons d'abandonner notre objectif.
Ce n'est pas le cas ! Ils ne sont qu'une étape supplémentaire vers le résultat final.
Adoptons cette nouvelle définition du succès et faisons un pas dans la direction souhaitée. -
Clés de la réussite
- Par bureau_cmrh
- Le 13/09/2022
- Dans Conseils management
De bonnes habitudes que nous devons adopter pour réussir
Nous apprenons à devenir physiquement plus fort par de l’exercice de toute activité physique (ex : la fréquentation d’une salle de gym), et pour le mental nous sommes le plus souvent laissé seul. Il ne s’agit pas de faire de la gonflette psychologique, mais d’adopter des habitudes bénéfiques qui nous renforcent. Focus sur les principales pensées à adopter de toute urgence.
Prendre la responsabilité de notre rôle dans la vie
C’est vieux comme le monde, cela ne sert à rien de pleurer sur ce qui nous arrive. Les événements injustes se produisent malheureusement tous les jours, et nous morfondre à leur sujet est un gaspillage d’énergie.
Au lieu de cela, prenons la responsabilité de notre rôle dans la vie et admettons une bonne fois pour toutes qu’elle n’est pas toujours facile ou juste. Certes nous pouvons rétorquer que se montrer bienveillant par rapport à soi peut apporter une forme de réconfort et apprendre de cette expérience. Mais cela va un temps, un temps très court, au risque de tomber dans l’auto complaisance, il faut vite tourner la page et prendre la responsabilité d’avancer.
Investir nos forces pour nous adapter
Ce qui peut expliquer notre résistance, c’est la peur de l’inconnu. Autrement dit nous ne parvenons pas à nous mobiliser dans une action parce que nous estimons le risque de nous maintenir dans la situation actuelle moins grave que celui d’avancer dans une nouvelle direction.
Il y a pourtant une bataille perdue d’avance, celle de vouloir éviter le changement, car il va s’imposer. Au lieu d’investir nos forces en nous y opposant, félicitons-nous de ces évolutions, faisons preuve de souplesse, et adaptons-nous. Le meilleur moyen de bien vivre le changement est encore de le provoquer.
Arrêter de vouloir plaire à tout le monde
Essayer de plaire à tout le monde signifie souvent que nous avons le plus grand mal à nous plaire. Si nous sommes mentalement fort, nous respectons les autres, il n’y a donc pas lieu de faire cette erreur.
N’ayons pas peur de leur dire non ou de défendre notre point de vue quand c’est nécessaire. Bien sûr dans notre démarche efforçons-nous d’être bon et juste, ne cherchons pas à plaire à tout le monde, c’est le meilleur moyen de plaire à personne, et surtout de perdre notre vraie nature.Avoir le droit de nous tromper et de ré-essayer de manière différente
« La folie c’est de répéter les mêmes erreurs en espérant des résultats différents » traduction de l’américain « Insanity is repeating the same mistakes and expecting different results » attribué à Franklin ou à Einstein. Si nous continuons à nous comporter de manière identique sans tenir compte des mauvais résultats, nous nous retrouvons dans les mêmes situations difficiles. Le sentiment d’échec renforce notre conviction intérieure, et inconsciemment nous recommençons les mêmes erreurs.
Sortons de cette « zone de confort » où tout se répète parce que cela nous rassure, nous connaissons d’avance les résultats, si bien que nous en avons oublié la possibilité de changer. Rien n’est définitif dans la vie, nous avons le droit de nous tromper et de ré-essayer de manière différente.
Arrêter de nous comparer aux autres
Comparaison n’est pas raison, et toute pensée qui nous verse dans ce jeu de fausse compétition avec les autres est vaine, car elle sous tend un fond de jalousie ou suppose un sentiment d’injustice complètement inapproprié. Nous le savons, cela ne sert à rien de nous sentir floué quand d’autres nous dépassent.
Au lieu de cela, concentrons-nous sur les efforts à faire pour obtenir le succès, et investissons-nous à fond pour augmenter nos chances de réussite. « La chance : plus je travaille, plus elle me sourit. » Stephen Leacock
Ne laisser pas les autres décider à notre place
Attendre de nos parents, de nos maîtres, de notre hiérarchie, de la société et de l’Etat providence, et nous voilà sur la pente de l’assistance et de la dépendance. Nous travaillons pour nous et comptons surtout sur nous pour atteindre nos objectifs. Fuyons cet alibi trop répandu à la prise de responsabilité, et ne laissons pas les autres décider à notre place.
Si nous sommes addict des autres, ils nous voleront tout jusqu’à nos réussites.
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La RSE
- Par bureau_cmrh
- Le 21/08/2022
- Dans Conseils management
La démarche RSE: le levier pour impliquer nos équipes et fidéliser nos clients !
« Nous n’héritons pas de la Terre de nos ancêtres, nous l’empruntons à nos enfants » Antoine de Saint Exupéry.
Quid de la Responsabilité Sociétale des Entreprises ?
La Responsabilité Sociétale (ou sociale) des Entreprises (RSE) est « l’intégration volontaire par les entreprises de préoccupations sociales et environnementales à leurs activités commerciales et leurs relations avec leurs parties prenantes », selon l’Union Européenne. En effet, la RSE est le fait d’avoir, pour une entreprise, un comportement responsable, éthique, sociale et humain vis à vis de ses salariés, des clients, des fournisseurs, des partenaires sociaux, de l’environnement…
Sans aucun doute, la RSE est un acte volontaire où chacun d’entre nous est responsable, que ce soit nos équipes ou nous en tant que chef d’entreprise. La RSE est un réel facteur de croissance et de développement. Cette démarche vertueuse va permettre également de renforcer notre image et la confiance que nous témoignent nos clients.
Et avec les collaborateurs ?
Quoi de mieux que d’avoir des équipes motivées ? La RSE contribue à favoriser le bien-être et la qualité de vie au travail. C’est aussi être à l’écoute de nos collaborateurs, développer les compétences de chacun, promouvoir la diversité et l’égalité des chances et également éviter le recours abusif à des contrats entraînant la précarité. Quotidiennement, il est important de nous assurer du respect des droits fondamentaux entre collaborateurs et avec nos collaborateurs.
La communication, c’est la clé de la relation avec nos équipes : anticiper les problèmes, proposer des formations pour rester performant ou évoluer. Plus le climat est serein, plus il sera propice au développement de l’entreprise. Un salarié bien au travail est aussi un salarié bien dans sa vie personnelle, en confiance et fier d’appartenir à son entreprise. De plus, avoir un comportement responsable et social renforce sa marque employeur auprès des clients, fournisseurs, futurs recrus.
Et avec nos clients, nos fournisseurs et nos partenaires ?
La démarche RSE, c’est aussi respecter les intérêts de nos clients, partenaires et fournisseurs. Il est primordial d’établir des relations durables avec les sous-traitants et les fournisseurs. Pour avoir une démarche RSE irréprochable, nous nous devons d’agir avec loyauté sur les marchés, et refusons toutes formes de corruption. C’est un moyen imparable pour la prévenir au quotidien.
Avoir un comportement RSE pour une entreprise, c’est tenir ses engagements envers ses clients (prix, délais, livraisons, services…), c’est être à l’écoute afin de proposer la meilleure solution, c’est être transparent sur les produits (les origines, les compositions…) et proposer des produits qui répondent aux préoccupations sociales et environnementales.
Plus notre entreprise adoptera un comportement responsable et social, plus elle sera transparente, plus elle aura une meilleure image et une notoriété et donc plus elle inspirera confiance à des investisseurs ou à des organismes bancaires.
Et l’environnement dans tout cela ?
La RSE, c’est aussi être dans une démarche de développement durable pour l’environnement. C’est maîtriser les consommations d’énergie, d’eau et de matières premières, réduire les émissions dans l’air, les sols et l’eau, favoriser la réduction et la valorisation des déchets et prendre en compte les impacts environnementaux dans la conception des produits et services sans oublier l’amélioration de la performance environnementale des bâtiments.
Pour nous la démarche RSE, c’est aussi contribuer au développement économique et social. C’est aussi privilégier les achats auprès de fournisseurs locaux, agir sur les freins à l’emploi et favoriser l’insertion. Il est important d’accueillir des jeunes pour leur faire découvrir les métiers de l’entreprise. L’objectif est également de contribuer à des initiatives d’intérêt général dans le domaine de l’éducation, de la culture, de la santé et du sport.
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Evolution du management
- Par bureau_cmrh
- Le 30/07/2022
- Dans Conseils management
Evolution du management : Le manager de demain
La révolution de l’information et de la communication transforme l’entreprise qui doit désormais se développer avec des équipes multiculturelles et souvent dispatchées, tout en composant avec des aspirations personnelles tendant vers toujours plus d’individualisme et de liberté.
Dans cette organisation du travail bouleversée, le rôle du manager, avec ses compétences et ses soft skills, évolue. Voici le profil du manager de demain.
La coordination et la résolution des problèmes
Avec les nouvelles organisations du travail, des équipes aux compétences transverses, aux postes dispersés sur plusieurs sites ou en télétravail, le rôle du manager en tant que coordinateur n’a jamais été aussi déterminant. Dans ce mouvement qui va croissant, créativité et ingéniosité deviennent deux aptitudes à acquérir, particulièrement pour résoudre des problèmes. Cela est d’autant plus vrai pour gérer une équipe à distance, lorsque le manager n’est pas physiquement confronté aux situations qu’il affronte.
Dans le même esprit, l’adaptabilité – on parle aujourd’hui « d’agilité » – s’impose comme une qualité à posséder dès maintenant compte tenu de la rapidité avec laquelle les organisations, les modes de travail, les technologies et les outils évoluent.
Une intelligence émotionnelle et sociale décuplée
Le manager, référent et représentant de ses collaborateurs vis-à-vis de l’organisation, doit accompagner ses équipes vers l’épanouissement et la réussite. Ce rôle s’avère de plus en plus compliqué à mesure que le travail s’exporte en dehors des murs de l’entreprise. Le manager de demain doit alors être doté d’une forte intelligence sociale et émotionnelle, couplée à une grande empathie pour comprendre les besoins de ses collaborateurs, leur attribuer le bon poste, leur offrir une évolution, sans même les côtoyer au quotidien. Avec ses facultés d’écoute et de communication, il propose des missions à la hauteur des aspirations de chacun et trouve des compromis qui conviennent à tous.
Un niveau d’encadrement « à la carte »
Dans le même esprit, le manager de demain proposera à ses collaborateurs un degré d’autonomie adapté à la capacité et aux aspirations de chacun. Le vrai challenge sera, non seulement d’encadrer des personnalités physiquement absentes, mais aussi de réussir à leur proposer un niveau d’encadrement « à la carte ».
Intuition et leadership
Pour réussir à piloter à distance, le manager de demain possèdera une forte intuition, le
« nez » pour choisir les bonnes personnes, bâtir une équipe cohérente et à fort potentiel d’évolution. Enfin, force de conviction et leadership lui seront nécessaires pour maintenir les collaborateurs soudés malgré des changements constants.Les grandes tendances du management
Si les qualités du manager sont vouées à évoluer, qu’en est-il du mode de management de demain ? On peut penser que la gestion des personnes dans un environnement complexe, nécessitant instinct et intelligence sociale, ira de pair avec un management plus empathique et bienveillant, où l’expression des émotions constituera le socle de la communication. La rationalité implacable du management d’hier n’aura plus lieu d’être. Plus pragmatiquement, les grandes tendances annoncées en matière de management pour les décennies à venir reposent sur deux piliers : formation continue et gaming. Les entreprises capables de former leurs effectifs, en continu, aux évolutions de leur marché seront les plus productives.
En parallèle, la réalité virtuelle et les nouveaux formats d’apprentissage (micro-learning, e-learning…) devraient tendre vers une entreprise de plus en plus ludique (gaming), tout du moins dans sa manière d’appréhender la formation et les challenges organisés en internes.
A priori le manager de demain possèdera les mêmes aptitudes et les mêmes soft skills que celui d’aujourd’hui. Simplement, le niveau de ses qualités sera décuplé compte tenu du dispersement des équipes, des bouleversements incessants de l’entreprise et des aspirations de carrière plus complexes et plus variées qu’auparavant. L’intelligence émotionnelle et la flexibilité cognitive, au cœur de sa fonction d’encadrant, faciliteront sa compréhension de son environnement et de ses équipes.