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Conseils en Management et RH
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  • Favoriser le développement professionnel

     

    Combler les lacunes fondamentales pour favoriser le développement professionnel

    Combler les lacunes fondamentales, pour favoriser le développement professionnel, une nouvelle mission pour l’entreprise.

    La notion d’entreprise apprenante distingue depuis longtemps les employeurs attentifs au développement professionnel de leurs équipes, même si les offres de formation s’apparentent à des catalogues souvent méconnus des managers.

    L’entreprise apprenante joue de plus en plus un rôle social essentiel

    En ce sens, l’entreprise apprenante joue depuis toujours un rôle social essentiel en permettant autant à des profils non qualifiés qu’à des profils qualifiés, d’évoluer et de s’insérer parfaitement dans des environnements professionnels en changement permanent.
    Le succès de l’apprentissage permet lui aussi à des jeunes (et moins jeunes) non seulement de finaliser leurs études mais aussi et surtout de s’insérer efficacement. Six mois après leurs sorties d’études, deux apprentis sur trois sont en effet embauchés, dont plus de 60% en CDI et un quart dans l’entreprise qui les avait recrutés durant leurs études (source Cap métiers).

    Mais au-delà de cette réalité se dessinent de nouveaux défis liés directement à la baisse générale du niveau de culture et d’apprentissage des enseignements fondamentaux à l’école. Les collégiens/lycéens d’aujourd’hui maitrisent 40% de mots en moins que les jeunes des années 80. L’usage intensif des réseaux sociaux et autres activités en ligne génère des troubles de l’attention et un usage appauvri du langage au profit de raccourcis réducteurs. Le recours à l’IA avec son ambassadeur ChatGPT accélère la paupérisation de la pensée.

    C’est un fait et toutes les études le démontrent, le niveau général est en forte baisse, au point où le marché de l’enseignement supérieur ne cesse de développer des prépas à destination de bacheliers, non pas dans l’espoir d’intégrer les écoles de rang A, mais d’atteindre le niveau légitime d’un vrai référentiel de connaissance. Cette réalité heurte de plein fouet le développement futur des entreprises.

    Le monde professionnel ne peut se contenter de l’à-peu-près sur le plan des acquis

    Que ce soit en orthographe ou en conceptualisation, voire tout simplement en rigueur.
    Dans les années à venir, les Directions des Relations Humaines/les Directions du développement des Energies Humaines vont devoir inscrire dans leur feuille de route la remise à niveau des fondamentaux via des parcours de formation adaptés au cas par cas.

    Le débat sur les soft kills et les hard skills est bientôt dépassé, car de plus en plus intégré, au profit d’une exigence de niveau. Soit les humains sont de simples ressources interchangeables, soit ils représentent vraiment le capital immatériel de l’entreprise et, à ce titre, réclament un suivi adapté pour en faire fructifier les potentiels.
    Il sera de moins en moins rare de voir en entreprise des cours d’orthographe dispensés à des personnes de niveaux Bac+5 ou encore des cours de philosophie et de psychologie pour des managers confrontés à des situations où la sagesse primera sur l’expertise.
    Le choc générationnel n’est pas celui que l’on croit, à savoir celui des usages digitaux et les nouveaux comportements qui vont avec, mais se situe bien sur un enjeu de culture générale.

    Combler les lacunes fondamentales pour favoriser le développement professionnel, nouvelle mission de l’entreprise ?

    L’apprentissage, à l’exemple de ce qu’est pratiquée chez GIFI avec des dizaines de jeunes, est non seulement un apprentissage professionnel au sens «apprendre un métier» mais aussi un apprentissage de vie au sens des interactions relationnelles et de la culture.
    L’entreprise va devenir progressivement le prolongement pédagogique de l’école au sens de l’enseignement et va devoir adapter toute sa stratégie de recrutement pour ne plus subir la baisse de valeur due au niveau moyen.

    La notion de potentiel devra être évaluée comme un critère prioritaire en apportant des réponses concrètes d’accompagnement au-delà même de l’implication managériale. Tests, salaires, formations… Tout va devoir être repensé.

    Pour la majorité des jeunes désormais, le premier emploi est un test, un passage ; c’est de fait de plus en plus un défi économique pour les employeurs responsables qui intègrent des débutants entre le coût salarial, le coût de formation et d’intégration…
    La valeur ajoutée sur l’employabilité face à des publics volatils devra demain être explicitée et valorisée. L’emploi des jeunes est plus que jamais un enjeu pédagogique. L’entreprise pédagogue peut-elle vraiment exister face aux enjeux économiques ? L’avenir le dira.

    L’entreprise ne se nourrit pas de promesses, elle est légitime par ses résultats et ses engagements qui, par définition, sont censés être uniques. Elle doit rester pleinement une aventure humaine.

    Combler les lacunes fondamentales pour favoriser le développement professionnel, nouvelle mission de l’entreprise ?

  • Prendre la meilleure décision

     

    Prendre la meilleure décision avec la bonne méthode !

    Mieux vaut avoir une méthode pour prendre la meilleure décision. La stratégie, étape par étape, apporte clarté et satisfaction pour une décision insignifiante comme importante, en cadrant nos actions et nos priorités. Explications.

    Définissons un objectif avec précision

    Au départ, nous devons être clair sur notre objectif ou les résultats que nous voulons obtenir, les décrire clairement, préciser à quoi ils doivent ressembler, en fait c’est ce qui nous permettra de savoir que nous avons vraiment réussi. L’établissement d’un planning nous indique quand nous voulons atteindre l’objectif, si une autre personne peut être impliquée.

    Nous devons aussi pouvoir décrire ce qui sera différent dans notre vie lorsque l’objectif sera atteint. Ces grands avantages deviennent partie intégrante de notre stratégie de motivation pour nous tenir en haleine, même si les choses ne tournent pas rond.

    Collectons toutes les informations

    Soyons curieux, ouvert à l’apprentissage, recueillons tous les éléments liés à la décision que nous voulons prendre. Rassemblons les critères qui importent à propos de cet objectif, les limites qui existent ou les restrictions qui s’imposent, les choix ou les options à notre disposition pour atteindre notre objectif.

    Évaluons avantages et inconvénients

    Analysons avantages et inconvénients de la prise de décision par rapport à l’objectif ou au résultat souhaité. Faisons une liste des avantages d’un Plan A, ses inconvénients, et si nous ne le choisissons pas, de quelles autres options disposons-nous pour atteindre l’objectif ? Si nous prenons en compte un Plan B, vérifions bien ses avantages et inconvénients.

    Pour bien démarrer, mieux vaut disposer d’au moins 3 options pour une solution optimale. Avec un seul choix, nous risquons d’être « coincé », deux seulement peuvent nous enfermer dans un dilemme; au moins trois nous conduisent à penser plus large et à envisager tous les aspects de notre vie qui seront impactés par le choix que nous faisons.

    Priorisons le meilleur choix

    Quelles sont les meilleures options qui nous mèneront au résultat recherché ? Comparons-les et mesurons bien quel sera le meilleur choix. Le Plan A est meilleur que le Plan B ; le Plan C est meilleur que le Plan B, et ainsi de suite jusqu’à créer une hiérarchie complète entre tous nos plans.
    Avec chaque plan définissons comment nous saurons que nous avons atteint le but que nous nous assignons, si nous mesurons ce degré de satisfaction par un ressenti du corps, une impression personnelle ou un élément extérieur.

    A ce stade, nous pouvons nous poser trois (3) questions de réussite :

    – quelle est la meilleure chose qui peut arriver ? C’est un facteur de motivation ;

    – quelle est la pire chose qui peut survenir, et comment pourrons-nous y faire face ? C’est un moyen de nous maintenir mobilisé dans l’action ;

    – qu’est-ce qui est le plus susceptible d’arriver ?

    Cela nous donne un pourcentage général des risques et des avantages à mettre en balance. Si les risques dominent les bénéfices retirés, ce n’est pas une bonne décision pour atteindre l’objectif.

    Créons un plan d’action

    Maintenant, imaginons l’objectif exactement comme nous le voulons et faisons l’inventaire de ce qui existe et ce qui doit arriver pour l’atteindre correctement. C’est le moment d’élaborer un plan d’action qui trace le parcours, étape par étape, pour atteindre le résultat prévu.

    En avançant, nous devrons faire régulièrement un point sur les actions menées, et régler, corriger ou adapter ce qui est nécessaire pour la prochaine étape de notre plan, tout en gardant en perspective notre cible de réussite. Prendre toute décision, étape par étape, revient à prendre plusieurs mini-décisions. L’élément le plus souple dans un processus conditionne le plus le choix et influence le processus.

  • Reconnaître ses talents

     

    Je reconnais mes talents

    Reconnaître nos talents est le premier pas vers une réalisation personnelle véritable et profonde. Nous avons en nous des capacités uniques et des dons qui ne demandent qu'à être explorés et exprimés. Chaque talent que nous détenons est une pièce du puzzle qui constitue notre essence. En les valorisant, nous ne faisons pas seulement briller notre propre lumière, mais nous permettons également aux autres de voir le monde sous un angle nouveau et enrichi.

     Lorsque nous acceptons et développons nos talents, nous ouvrons la porte à des possibilités infinies.

    Utilisons ces dons pour forger un chemin qui nous est propre, un chemin où la satisfaction et l'épanouissement ne sont pas de lointains mirages, mais des réalités tangibles.

     En valorisant ce que nous faisons naturellement bien, nous donnons non seulement un sens à notre vie, mais nous contribuons aussi à enrichir celle des autres. Chaque talent reconnu et cultivé devient une source d'inspiration et une force qui propulse vers l'avant.

    Fructueuse  lecture et très belle journée !

  • Prendre la meilleure décision

     

    Prendre la meilleure décision avec la bonne méthode.

    Mieux vaut avoir une méthode pour prendre la meilleure décision. La stratégie, étape par étape, apporte clarté et satisfaction pour une décision insignifiante comme importante, en cadrant vos actions et vos priorités. Explications.

    Définir un objectif avec précision

    Au départ, vous devons être clair sur notre objectif ou les résultats que nous voulons obtenir, les décrire clairement, préciser à quoi ils doivent ressembler, en fait c’est ce qui nous permettra de savoir que nous avons vraiment réussi. L’établissement d’un planning nous indique quand nous voulons atteindre l’objectif, si une autre personne peut être impliquée.

    Nous devons aussi pouvoir décrire ce qui sera différent dans notre vie lorsque l’objectif sera atteint. Ces grands avantages deviennent partie intégrante de notre stratégie de motivation pour nous tenir en haleine, même si les choses ne tournent pas rond.
    Collectons toutes les informations

    Soyons curieux, ouvert à l’apprentissage, recueillons tous les éléments liés à la décision que nous voulons prendre. Rassemblons les critères qui importent à propos de cet objectif, les limites qui existent ou les restrictions qui s’imposent, les choix ou les options à notre disposition pour atteindre notre objectif.

    Évaluons avantages et inconvénients

    Analysons avantages et inconvénients de la prise de décision par rapport à l’objectif ou au résultat souhaité. Faisons une liste des avantages d’un Plan A, ses inconvénients, et si nous ne le choisissons pas, de quelles autres options disposons-nous pour atteindre l’objectif ? Si nous prenons en compte un Plan B, vérifions bien ses avantages et inconvénients.

    Pour bien démarrer, mieux vaut disposer d’au moins 3 options pour une solution optimale. Avec un seul choix, nous risquons d’être « coincé », deux seulement peuvent nous enfermer dans un dilemme; au moins trois nous conduisent à penser plus large et à envisager tous les aspects de notre vie qui seront impactés par le choix que nous faisons.
    Priorisons le meilleur choix

    Quelles sont les meilleures options qui nous mèneront au résultat recherché ? Comparons-les et mesurons bien quel sera le meilleur choix. Le Plan A est meilleur que le Plan B ; le Plan C est meilleur que le Plan B, et ainsi de suite jusqu’à créer une hiérarchie complète entre tous nos plans.

    Avec chaque plan définissons comment nous saurons que nous avons atteint le but que nous nous assignons, si nous mesurons ce degré de satisfaction par un ressenti du corps, une impression personnelle ou un élément extérieur.

    A ce stade, nous pouvons nous poser 3 questions de réussite :

    – quelle est la meilleure chose qui peut arriver ? C’est un facteur de motivation ;

    – quelle est la pire chose qui peut survenir, et comment pourrons-nous y faire face ?

    C’est un moyen de nous maintenir mobilisé dans l’action ;

    – qu’est-ce qui est le plus susceptible d’arriver ?

    Cela nous donne un pourcentage général des risques et des avantages à mettre en balance. Si les risques dominent les bénéfices retirés, ce n’est pas une bonne décision pour atteindre l’objectif.

    Créez un plan d’action

    Maintenant, imaginons l’objectif exactement comme nous le voulons et faisons l’inventaire de ce qui existe et ce qui doit arriver pour l’atteindre correctement. C’est le moment d’élaborer un plan d’action qui trace le parcours, étape par étape, pour atteindre le résultat prévu.

    En avançant, nous devrons faire régulièrement un point sur les actions menées, et régler, corriger ou adapter ce qui est nécessaire pour la prochaine étape de notre plan, tout en gardant en perspective notre cible de réussite. Prendre toute décision, étape par étape, revient à prendre plusieurs mini-décisions. L’élément le plus souple dans un processus conditionne le plus le choix et influence le processus.

  • Le coach professionnel

     

    Le métier de Coach Professionnel

    Le coach professionnel a pour mission d’accompagner des salariés, des équipes de travail ou des particuliers dans des progressions professionnelles qui passent par l’acquisition de nouvelles compétences.

    Par son expertise en matière de développement personnel, il accompagne l’individu, le guide et le conseille afin de l’aider à avoir de meilleures performances dans un domaine donné. Il intervient à la demande de personnes ou peut intervenir dans le cadre de plans de reclassements, de bilans de compétences…

    Le coach professionnel doit, dans un premier temps, réaliser un diagnostic de la situation et du niveau de compétences de son client afin d’identifier les compétences à développer.

    Dans son approche, il prend en compte les savoirs, les savoir-faire et les savoir-être.

    Expert en accompagnement, il sait motiver des personnes et les pousser à atteindre les objectifs fixés ensemble lors du cadrage initial de l’accompagnement.

    Dès le début de sa mission, il établit une relation de confiance et passe un contrat moral afin de disposer de tous les éléments nécessaires à la mise en œuvre du projet envisagé.

    Il prend en compte les motivations, les freins, les envies de la personne concernée et élabore un plan d’action, avec des échéances, des outils, des objectifs.

    Si son travail prend fin une fois les objectifs atteints (objectifs de la mission d’accompagnement), il œuvre également pour que ses clients soient suffisamment autonomes et disposent d’outils et de méthodes pour se coacher eux-mêmes et continuer à développer leurs compétences.

    Possibles débouchés

    • Coach en développement de compétences
    • Coach professionnel
    • Consultant coach
    • Consultant en développement personnel
    • Consultant en gestion de carrières
    • Outplacer
    • Coach en orientation professionnelle

    Cadres d’exercice

    Le métier de « Coach Professionnel », se réalise dans tout type d’entreprise et dans tous les secteurs d’activités.

  • CROIRE EN SOI

     

    Croire en soi

    Croire en soi, c’est croire en notre potentiel, en nos ressources personnelles et en nos capacités. Le manque de confiance en soi empêche l’épanouissement des individus. Par conséquent, il est bien difficile de concrétiser de grands projets sans une solide confiance en nos capacités.

    En plus, plus une personne croit en son potentiel, et plus elle prend des actions pour le développer. Ce cercle vertueux, idéalement, il ne faut jamais cesser de l’entretenir ! Mais comment le mettre en place lorsque l’on manque d’assurance ? Il existe des actions simples à réaliser qui nous aideront dans ce sens. Croire en soi est un état d’esprit que nous pouvons conquérir afin de vivre pleinement! <

    Qu’est-ce qui fait que l’on a de la difficulté à croire en soi?

    Le fait qu’il n’est pas toujours si simple de croire en soi provient en partie des événements de la vie. Un licenciement, une séparation, la perte d’un être cher sont autant d’exemples d’épreuves qui peuvent affecter la confiance personnelle.

    Et il y a un contrecoup à cela, car le manque de confiance à un impact direct sur l’estime de soi : lorsque l’on croit moins en nos capacités de réussir, cela à des répercussions sur l’estimation de notre valeur personnelle.

    D’autres phénomènes peuvent avoir une incidence sur la confiance en soi :

    • Les problèmes de santé
    • La peur du regard des autres
    • Un échec personnel
    • L’opinion de notre entourage
    • Les relations avec nos parents dans notre enfance
    • etc.

    À l’inverse, croire en soi signifie donner de la valeur à notre propre opinion. Ce qui aide à ne pas nous laisser influencer par des avis ou des critiques négatives. Toutefois, cela ne veut pas dire de ne plus prendre en compte le point de vue des personnes de confiance qui nous entourent.

    Mais il convient de nous arrêter pour évaluer qui est la personne que l’on est sur le point de laisser nous juger. Cette personne est également faillible et imparfaite, et notre propre jugement sur nous-même n’est pas inférieur au sien.

    Croire en soi-même est essentiel pour cesser de créer trop de pensées limitantes ou négatives. Il est important de prendre conscience que nous, comme chaque être humain unique sur Terre, avons la capacité de réaliser des projets de vie extraordinaire !

    Croire en soi à l’avantage de nous faire sortir plus facilement de notre zone de confort, ce qui nous permet :

    • De nous fixer des objectifs de vie pour incarner notre vision
    • D’avoir l’énergie de défendre ce en quoi nous croyons
    • De faire de nouvelles rencontres
    • De saisir les opportunités qui s’offrent à nous
    • De développer une meilleure connaissance de nous-même

    Comment faire? Croire en soi en mettant en valeur ses réussites

    Qu’importe l’âge d’une personne, elle a déjà accumulé un certain nombre de réussites !  Établissons une liste des réussites dont nous êtes le plus fier·s. Ce n’est pas la taille du défi qui compte ici, mais bien le sentiment d’accomplissement que nous avons ressenti.

    L’objectif de créer cette liste n’est pas de nous brosser dans le sens du poil. Cela dit, une petite tape dans le dos est toujours la bienvenue pour renforcer notre confiance en nous ! L’objectif est de nous aider à identifier nos compétences et nos forces.

    Une astuce qui peut nous aider est de noter en parallèle de nos réussites les ressources intérieures sollicitées pour y arriver. Tout le monde possède des compétences qui leur ont permis de réaliser des choses dans le passé.

    Faire l’inventaire de nos réussites nous permettra de savoir sur quelles ressources personnelles nous pouvons toujours compter pour avancer !

    Trouvons-nous cet exercice laborieux ? Nous ne sommes pas seul·s dans ce cas. Pour nous aider, nous pouvons nous tourner vers des personnes proches et leur demander leur avis!

    Croire en soi en prenant soin de notre bien-être physique et de notre mental

    Nous sentons-nous plus motivé·s à nous lever le matin lorsque le soleil brille ? Au niveau personnel, c’est la même chose. Quand notre corps rayonne de vitalité, nous nous sentons prêt·s à déplacer des montagnes !

    Une bonne dose de vitalité augmente nos capacités à :

    • Être sûr de nous
    • Croire en nos capacités
    • Cultiver une pensée positive
    • Oser prendre des initiatives
    • Aller vers les autres
    • Limiter la procrastination
    • Relativiser face aux difficultés et aux échecs
    • Améliorer notre image de soi de manière générale

    Et pour améliorer notre niveau d’énergie général, il n’y a pas de secret, nous avons besoin de temps pour nous. Il est vrai qu’avec le rythme effréné des journées, il n’est pas toujours facile de prendre soin de nous.

    Pourtant, c’est en planifiant dans notre agenda des moments où nous nous consacrons à notre bien-être physique et mental que nous nous assurons de recharger nos batteries.

    Ce temps n’est pas un luxe superflu. Ce ne sont pas non plus les 10 minutes qui nous resteront peut-être à la fin de la journée si nous arrivons au bout de notre liste de tâches. C’est un réel investissement pour notre santé globale.

    Et cela justifie largement d’y consacrer des plages horaires pour :

    • Nous cuisiner de bons petits plats maison et prendre le temps de manger avec des proches.
    • Bouger et ainsi oxygéner notre corps et notre esprit en faisant des activités qui nous font réellement plaisir : marcher, danser, pédaler !
    • Restaurer notre sommeil – ce qui demande parfois d’avoir un temps de détente au préalable pour pouvoir s’endormir plus facilement.
    • Nous détendre pour mieux gérer le stress quotidien – nous pouvons jardiner, méditer, nous étirer, sortir en nature, etc.
    • Prendre du temps pour réfléchir à ce qui nous motive et ce que nous souhaitons vraiment concrétiser dans les prochains mois et les prochaines années.

    Donnons-nous l’espace de lâcher-prise pour nous sentir mieux. Apprenons à poser nos limites et à identifier nos besoins pour pouvoir nous épanouir et grandir. Parce qu’il est plus facile d’être sûr de soi lorsque l’on se sent empli d’énergie.

    Croire en soi en étant dans la proactivité plutôt que la réactivité

    Savons-nous que le fait de croire en soi découle davantage de nos actions que de nous-même? En effet, le mot « en soi » pourrait nous amener à croire que pour augmenter notre confiance en soi, il faut que cela provienne d’un travail intérieur.

    C’est vrai en partie, mais le plus gros du processus se réalise à travers nos actes et nos prises de position pour défendre ce en quoi nous croyons.

    Œuvrer et contribuer pour le bien-être commun à travers notre travail, notre rôle parental ou notre engagement social participe à développer la confiance. Lorsqu’une personne doit défendre des valeurs qui lui sont chères, elle a plus de facilité à prendre la parole et à vaincre sa timidité.

    Alors, prenons le temps d’établir la liste de ce qui est important pour nous. Personne ne peut le faire à notre place et notre vie est tellement précieuse!

    L’affirmation de soi, osons dire non et aller de l’avant sont des actes du quotidien, mais ils sont loin d’être anodins. Chaque jour, nous avons des opportunités de défendre ce qui est vraiment important pour nous et de renforcer notre confiance. Soyons proactif·s plus que réactif·s !

    Croire en soi une action à la fois

    Douter de soi et avoir peur d’échouer sont des réactions humaines auxquelles nous sommes tous·tes confrontés·ées. Impossible de toujours regarder la vie à travers ses lunettes roses.

    Ainsi, la confiance en soi fluctue selon les événements. Mais prendre conscience que nous avons une emprise sur elle nous redonne plus de pouvoir personnel !

    En mettant en place quelques actions simples, le niveau de confiance augmente graduellement. Et cela change beaucoup de choses ! Parce que reprendre confiance en soi permet d’entrer plus facilement dans l’action pour profiter pleinement de notre vie.

    Une bonne confiance en nous nous aide à persévérer face aux défis et à mieux rebondir lorsque nous trébuchons. Autrement dit, que nous soyons parent·s, entrepreneur·s, employé·s, étudiant·s ou aventurier·s, mieux vaut en avoir en réserve en toutes circonstances !

  • Management: les tâches à ne pas déléguer !

     

    Managers: les tâches à ne pas déléguer !

    Diriger une entreprise ou un service passe en général par la délégation. Impossible d’être au four et au moulin, de jouer l’homme-orchestre longtemps, nous devons déléguer et nous concentrer sur l’avenir de notre entreprise ou de notre service.

    Pour bien déléguer, nous devons distinguer ce que nous pouvons confier à un collaborateur de ce que nous devons à tout prix garder pour nous.

    Eclairages…

    Inspirer la vision et la stratégie

    La vision est l’essence du leadership. Si nous déléguons le soin d’élaborer une vision à quelqu’un d’autre – un consultant, une équipe, un membre de notre équipe, un expert, voire un gourou – autant lui déléguer nos responsabilités. C’est nous qui montrons le but et le chemin pour y aller.

    En revanche, une des manières les plus efficaces pour impliquer, c’est de faire participer nos collaborateurs à son élaboration pour la leur faire partager plus vite.

    Décider de recruter les talents

    Nous avons envie de déléguer cette responsabilité – faire entrer du sang neuf dans notre organisation – à des consultants, des services ressources humaines. Trouver les talents et prendre des décisions de les recruter nous revient, c’est d’ailleurs une des choses les plus importantes à réussir.

    Pourquoi déléguer un processus aussi crucial, quand on sait qu’une erreur de casting coûte du temps, de l’argent, de l’énergie, de la désorganisation, de la démotivation, du manque à gagner voire une perte d’image…

    Accueillir un nouveau collaborateur

    Le patron doit prendre un rôle pratique pour qu’un nouveau collaborateur se sente bien accueilli. Nous devons jouer un rôle actif dans son plan d’intégration et sa formation, et nous rendre disponible pour consacrer le temps nécessaire à son accueil.

    Nous sommes « le patron », donc « le maître des lieux » et celui qui reçoit, accueille et met à l’aise dans notre organisation. C’est un signe de respect et de reconnaissance donc de motivation.

    Instaurer la discipline

    Composante essentielle au bon fonctionnement de notre organisation, nous devons l’inspirer et la faire régner. D’obligations pour l’ensemble, nous devons en faire des règles de conduite comprises de tous pour obtenir une bonne cohésion en terme d’organisation et de management.

    Reconnaitre le travail et les résultats

    Notre reconnaissance de l’existence d’un collaborateur est essentielle, cela veut dire que nous nous intéressons à lui et à son travail, ce qui lui donne le sentiment d’exister et d’être respecté comme tel. Reconnaître son comportement, ses compétences et qualités professionnelles le renforce dans ses compétences et ses qualités. Nous lui offrons la perception de ce qu’il est dans son travail dans l’organisation et pour sa hiérarchie. C’est aussi reconnaître ses contre-performances parce que nous nous intéressons à lui et lui donnons les moyens de se rattraper.

    Bénéfices : meilleure ambiance de travail, grande productivité et image positive pour notre organisation.

    Motiver les équipes

    Il nous appartient de créer un environnement motivant. La motivation du personnel est l’élément clé de la réussite d’une entreprise. Notre ressource la plus importante doit être au mieux de sa forme, il tient à nous pour rester compétitif d’avoir ou pas des collaborateurs compétents, loyaux, épanouis, fiers de travailler avec nous dans notre service ou notre organisation.

    En découlent une productivité élevée, un travail de qualité, le sens de l’urgence pour gérer le stress et une grande implication de chacun.

    Conduire le changement

    La peur du changement est à surmonter par nos équipes à plus forte raison en période de crise, avec des budgets serrés et une forte pression. La conduite du changement implique une réflexion stratégique. Nous sommes concernés au “premier chef” et l’effort principal vient de nous.

    Notre rôle de leader est d’élaborer la vision du changement, et dans ses différentes phases, il y a beaucoup de choses qui peuvent dévier, bien valider que le changement n’est pas dérouté en passant dans des comités d’experts, des consultants ou des groupes de travail.

    Optimiser la fonctionnement et l’organisation

    Qu’elle soit contrainte ou souhaitée, la réorganisation requiert une grande anticipation pour optimiser notre fonctionnement. Nous « seul » pouvons en déceler et en définir les limites, les lignes directrices pour réorganiser notre service ou notre entreprise. Comme pour d’autres responsabilités, la participation des autres est une bonne chose.

    Cependant, une équipe est rarement en mesure de se réorganiser objectivement, le leader doit intervenir pour donner des orientations fermes et précises, souvent mal accueillies, ce que d’ailleurs personne d’autre ne veut faire.

    Garder notre libre arbitre sur notre propre développement

    Notre développement, au sens large du terme, formation, coaching, tutorat, mentoring… celui de nos compétences-clés représente un enjeu majeur pour notre service ou entreprise et sa pérennité. Impossible à déléguer à qui ce soit.

    Les RH, le management des Energies Humaines, les coachs, les conseils de dirigeants sont des ressources sur lesquelles nous pouvons nous appuyer, mais gardons notre libre arbitre sur notre propre développement.

    Evaluer les résultats des collaborateurs

    C’est une activité essentielle au développement optimal de nos ressources humaines/énergies humaines. Nous devons nous réserver ce temps d’arrêt privilégié pour analyser le comportement et les résultats d’un collaborateur. C’est à nous de reconnaître sa contribution et de lui rappeler nos attentes pour les mois à venir, à plus forte raison si nous avons infléchi l’organisation ou la stratégie en impactant son poste.

    C’est aussi un moment d’engagement réciproque, nous, pour l’aider à s’améliorer, lui, pour faire les efforts dans le sens indiqué.

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